JULIA

Mercredi 1 août 3 01 /08 /Août 20:31
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L’homme sortait à nouveau de la salle de bain en robe de chambre. Il pénétra dans le salon au milieu duquel se tenait la jeune femme. Elle était toujours nue avec ses chaussures, le visage couvert de sperme à moitié séché maintenant. Elle avait tout rangé et attendait les mains dans le dos le bon vouloir de l’homme.
- Pendant les quelques jours que nous allons passer ensemble, lui dit l’homme en tournant autour d’elle en l’inspectant de haut en bas, tu devras respecter un petit nombre de règles incontournables qui régiront ta liaison avec ton mari, ainsi qu’avec moi, et ce quelles que soient les circonstances.

1.- Ne porter que des robes ou des jupes. Jamais de pantalons ou de shorts.
2.- Pas de collants, sauf ordre contraire. Juste des bas ou rien.
3.- Ne porter que des chaussures à talons aiguilles d’une hauteur d’au moins dix centimètres.
4.- Tes soutient gorges ne devront être que des demi ou quart de balcon laissant les tétons libres.
5.- Afin d’avoir le cul toujours disponible et ce à tout moment, procéder tous les jours à un lavement anal.
6.- TRES IMPORTANT ! Il est évident que tu ne porteras jamais de culottes ou de slips. Il faudra toujours être le cul et le vagin à l’air.
L’homme alla s’asseoir dans le canapé et continua :
- Chaque manquement à ces règles entraînera une punition. Le dressage se présentera sous deux formes: la torture psychologique où l’humiliation deviendra ton pain quotidien et la torture physique afin de bien faire comprendre à ton corps et à ton esprit qui est le maître. Cette dernière sera beaucoup à base de bondage, c’est à dire de frustrations. Frustration du mouvement d’abord grâce à des liens, menottes, ceintures et autres chaînes. Frustration de la vue à l’aide de cagoules ou de bandeaux. Frustration de la parole par des bâillons de toutes sortes et frustration du sexe parfois par l’utilisation de ceintures de chasteté et autres slips spéciaux.
L’homme pris une cigarette et l’alluma.
Immobilisée, ne pouvant te soustraire à mes actions, reprit-il, tu subiras différents sévices, aucun n’apportant de dommages corporels graves, seulement de la douleur et de la jouissance: coups, étirements, pincements,... Il est évident que les instruments les plus utilisés seront le fouet, le martinet et la cravache. Tu seras aussi pénétrée par différents objets de tailles et de formes diverses. Le dressage se déroulera progressivement et n’aura d’autre but que ta soumission complète.

Voilà pour le programme.
Il se leva et se rendit dans la chambre.
- Rhabille-toi ! Non partons dans ma maison de campagne. Elle est isolée, précisa-t-il, et nous y serons tranquilles. Au fait, quel est ton prénom ?
- Julia, Seigneur.
La jeune femme, Julia donc, s’assit dans un fauteuil et entreprit d’enlever ses chaussures pour remettre ses bas.
- Il y a un problème, Seigneur, dit-elle.
- Lequel, demande-t-il ?
- C’est que, répondit-elle, j’ai promis de passer le Week-end avec une amie que je n’ai pas vu depuis longtemps et je ne pense pas que mon mari le sache.
- Téléphones lui pour annuler, alors. Nous partirons tout de suite après.
- Mais je...
- Tu commences très mal Julia, l’interrompit-il! Maintenant mes désirs sont des ordres et tu viens de commettre ta première faute en les discutant!
Elle le regardait, étonnée par sa réaction, ne semblant pas encore avoir compris qu’elle fût désormais son esclave.
- Cela te vaudra cinq coups de cravache, lui expliqua-t-il. Un sur les seins, le ventre, les reins, les fesses et l’arrière des cuisses où la peau est bien sensible. Si tu continues dans cette voie, tu vas en goûter de la cravache.
Julia baissa le regard et ses yeux fixèrent le sol.
- Oui Seigneur, excuse-moi, lui dit-elle avec une moue de petite fille prise en faute.
- C’est la cravache qui t’excusera! Tu m’appartiens désormais. Ce sera peut-être à force de coups, mais tu l’apprendras! En attendant, dépêches-toi de téléphoner.
Pendant qu’elle était au téléphone, l’homme n’avait d’yeux que pour elle. Julia était vraiment splendide. Elle avait un corps à faire bander un eunuque.
Pendant qu’ils marchaient dans la rue vers la voiture de l’homme, l’ondulation des hanches de Julia et le balancement de ses fesses le rendit fou de désir.
Elle avait son bras autour de sa taille et une main de l’homme massait, palpait et pétrissait ses fesses sans aucune retenue à travers sa jupe, au grand étonnement des gens derrière eux.
Ils arrivèrent à la voiture et partirent vers la Normandie. Une heure plus tard, ils roulaient au pas sur l’autoroute avec les gens qui, comme eux, se rendaient le vendredi soir à la campagne.
- Julia?
- Oui!
- Je voudrais voir autre chose que la gueule triste de ses gens derrière leur volant. Baisses ton siège et couches-toi sur le ventre!
Elle chercha la molette du dossier, transforma le siège en couchette et s’y installa comme il le lui avait dit.
- Lève ta jupe maintenant et montres moi ton cul!
- Mais les gens vont me voir, objecta-t-elle!
- Encore des discussions! Ca commence à rouler à présent. Ils penseront avoir eut une vision. Aller! Lève ta jupe!
Avec hésitation, ses mains tirèrent la jupe vers le haut lui découvrant les deux miches superbes d’une blancheur surnaturelle sous l’éclairage nocturne. Il y eut un claquement sonore lorsque sa main droite s’abattit violemment sur les fesses fermes et douces. Julia émit un petit cri de surprise plus que de douleur.
- Une petite fessée pour l’hésitation te fera comprendre que l’on exécute mes souhaits sans attendre, lui expliqua-t-il!
Tout en roulant, il continuait la fessée jusqu’à ce son cul fût bien rouge. Il est vrai que de chaque voiture qu’il doublait, les occupants avaient une vue imprenable sur les fesses de Julia ainsi que sur le traitement qu’il leur infligeait. Julia dont les mains s’agrippaient désespérément au dossier de la banquette arrière, s’en rendait bien compte et l’humiliation autant que la brûlure vive de ses chaires lui tirait des cris et des larmes. Elle comprenait que le Week-end allait être long et qu’elle n’était plus une femme, mais son jouet.
Il entreprit de masser les muscles endoloris. Le contact de ces rondeurs chaudes sous sa main et le fait de savoir qu’elles étaient à sa disposition, lui procurait un plaisir d’une volupté inouïe.
- Ecarte un peu les jambes pour que j’aille voir un peu plus loin ce qui se passe, lui ordonna-t-il!
Elle s’exécuta immédiatement, levant son adorable croupion et adopta pour ce faire une position des plus obscène.
- Voilà une position de chienne en rut qui te va à ravir, la complimenta-t-il. Elle résume parfaitement ta condition et ton rôle actuel: objet de plaisir, godemiché de luxe en quelque sorte.
Ses doigts se posèrent sur son anus et commencèrent à le masser délicatement sur les bords d’abord, puis de plus en plus franchement au centre. Peu à peu, les sphincters se relâchèrent et son index en profita évidement pour forcer le passage et commencer à fouiller.
Il en ressortit gluant, recouvert de mouille anale. Du fait du lavement qu’elle s’était administrée et de la belle sodomie de la fin d’après-midi, les intestins, vides à cet endroit, ont continué à sécréter cette mouille, qui, par sa station debout, s’était concentrée juste derrière son anus et ne demandait qu’à sortir à la première poussée.
- Remontes le siège, lui demanda-t-il, et accroupis-toi dessus comme si tu allais pisser!
Julia se mit rapidement en position, une main tenant sa jupe relevée et l’autre s’accrochant à la poignée au-dessus de la portière. Ses talons hauts sur le siège mou lui assuraient un équilibre plutôt précaire. Il la laissa ainsi près de cinq minutes afin que toute la mouille descende vers la sortie, pour le plus grand plaisir des autres automobilistes. Il mit sa main en forme de coupelle sous son anus.
- Relâches tes sphincters à présent, dis-il! Au besoin aides-toi avec un doigt.
Julia passa une main entre ses cuisses et s’enfonça doucement l’index dans le cul. Elle se mit à fouiller timidement. Lorsque ses sphincters se relâchèrent, il s’en écoula une substance visqueuse et gluante, pas très liquide, mais ayant une forte odeur de poisson. Elle était belle à voir, ainsi accroupie en se fouillant le cul avec son doigt. Il retira sa main puisque plus rien ne sortait de son trou.
- Allez! Tu t’es assez exhibée comme çà. Baisses ta jupe et assis-toi normalement.
Sa main était toujours pleine de ses sécrétions anales. Il attendit qu’elle s’installe.
- Maintenant, bois et lèches tes sécrétions dans ma main et fait en sorte qu’il n’y en ait plus une trace!
Elle lui lança un regard plein de dégoût et approcha son nez pour sentir sa petite collation.
- Allez! Vas-y! Je suis sûr que tu aimeras!
Timidement elle approcha la langue afin d’y tremper le bout. Agacé par son hésitation, il leva brusquement la main. Sa bouche se retrouvera trempant dans le liquide encore tiède.
- Alors tu bois, oui?
Elle passa sa langue sur ses lèvres et goûta. Cela ne dû pas trop lui déplaire, car, aussitôt, elle trempa la bouche, aspira et avala la presque totalité de sa mouille anale.
- Tu vois, ce n’est pas bien terrible, lui dis-il! Maintenant nettoie-moi la main!
Elle prit sa main, et la lécha consciencieusement jusqu’à ce que plus aucune trace de ses sécrétions ne reste. Elle l’avait bien nettoyée.
- C’est bien ma petite, lui dis-il!
Ils arrivèrent à la maison. C’était une adorable fermette à colombages. A l’étage, il se trouvait deux chambres, une salle de bain et des toilettes. Tout le rez-de-chaussée n’était qu’une grande pièce qui faisait à la fois office de cuisine, salon et salle à manger. De grandes portes-fenêtres donnaient sur une terrasse et sur un jardin immense. La propriété était entourée d’un haut mur de pierre, ce qui était bien inutile pour assurer la tranquillité puisque l’habitation la plus proche était à cinq kilomètres.
- Ici, nous serons bien tranquilles pour commencer ton dressage, dis-il à Julia. Il faudra que tu te mettes maintenant en tête que tu n’es plus rien par toi-même. Individuellement, tu n’existes plus! Tu n’existes que par et pour moi. Ton existence n’a de sens qu’à mes pieds, à mon service. Nous allons assister à la naissance d’une nouvelle Julia, femme esclave, entièrement dévouée à son Seigneur. Ta seule utilité à présent, est mon plaisir. Ma satisfaction doit être ton credo, ta seule préoccupation. Tu as la vie facile maintenant puisqu’en ma présence tu ne prendras d’initiative qu’en ce qui concerne les tâches ménagères. Pour le reste, tu n’as pas à te poser de question, tu obéis. Tu ne prendras du repos et du plaisir que sur mon ordre. Sauf ordre contraire, lorsque nous serons seuls, tu m’appelleras Seigneur et à l’intérieur tu seras nue avec tes chaussures. Tu devras toujours te tenir à portée de ma main, me suivre comme un petit chien fidèle.
Il rentra la voiture dans le garage.
- Maintenant déshabille-toi car nous sommes à l’intérieur, mais gardes tes bas!
Julia sortit de la voiture et enleva ses vêtements qu’elle plia soigneusement.
- Prends mes valises dans le coffre et suis-moi!
Elle s’exécuta et le suivit avec les valises. Elles étaient particulièrement lourdes. L’une, la plus grosse, contenait tout son attirail de dressage et l’autre trois ou quatre vêtements. Son poids venait des barres de plomb qu’il y avait placé.
Il prit plaisir à faire le tour du propriétaire sachant que Julia peinait derrière lui avec les valises. Il se rendit même sur la terrasse pour admirer le jardin. Julia, n’en pouvant plus, posa les valises, ce qui lui value immédiatement une gifle magistrale.
- Ai-je dit de poser les valises, lui hurla-il à la figure?
- Non, Seigneur, mais elles sont lourdes!
Il lui pris un téton et tira dessus comme un forcené, comme on tire l’oreille à un gamin désobéissant. Julia grimaça de douleur.
- Je sais qu’elles sont lourdes. Tu n’as qu’à me demander si tu peux les poser, lui expliqua-il en hurlant. Tu n’as pas à prendre d’initiative, compris?
- Oui Seigneur. J’ai compris Seigneur, réussit-elle à dire dans un souffle. Puis-je poser les valises?
- Non, répondit-il lâchant le sein. Montons les poser dans la chambre!
Dans la chambre, il prit la valise de vêtement, l’ouvrit et en retira les vingt kilos de plomb qui s’y trouvaient. Julia lui lança un regard noir de rage. Il lui coinça la bouche dans la main et la regarda dans les yeux.
- Ne me regarde jamais ainsi! Tu ne dois me regarder qu’avec amour, peur ou plaisir.
Il sortit la cravache de l’autre valise.
- Maintenant, lui dit-il, il faut t’administrer ta petite correction. Plus une autre pour avoir posé les valises. Pour cette dernière, je te laisse le choix. Le tarif est de deux coups de cravache à l’endroit de mon choix ou de cinq coups à l’endroit que tu choisis parmi une liste que je te donne. Tu as le choix entre: les seins, le ventre, les fesses et la vulve. Que choisis-tu ?
- Je te laisse le choix Seigneur!
- Petite idiote! Quand je dis que tu peux choisir, profite-en! Tant pis! Je choisis deux coups sur la vulve!
Le visage de Julia se décomposa. Son regard s’emplit de terreur à la vue de la cravache. Il s’approcha d’elle.
- Allons! Lève les bras et croise les mains derrière la tête.
Elle leva doucement les bras. Son visage était livide et son corps secoué de tremblements.
- Cambre-toi mieux!
Cette position mettait au mieux en évidence ses seins, ses fesses et son ventre.
- Nous avons donc dit, récapitula-il, un coup sur les seins, le ventre, les reins, les fesses et les cuisses, plus deux autres sur la vulve.
Elle était superbe ainsi complètement terrorisée. Elle ferma les yeux lorsqu’il leva la cravache. Un hurlement sortit de sa gorge lorsqu’il l’abattit violemment sur ses seins. Elle se recroquevilla sur la douleur, protégeant par réflexe sa poitrine de ses bras. Lentement il posa la cravache et s’assis sur le lit, la regardant comme on regarde un enfant, qui, malgré les réprimandes, recommence sa bêtise.
- Ma petite Julia, lui dis-il d’un ton doucereux, tu n’as pas l’air d’avoir encore bien compris. Je te l’ai pourtant clairement expliqué. Il ne fallait pas baisser les bras.
Julia était complètement recroquevillée, accroupie dans le coin de la pièce derrière le lit. Elle se massait les seins endoloris et le regardait avec angoisse. Il prit un calepin et un stylo.
- Bon! Il va falloir que je note si je ne veux rien oublier, je ne voudrais pas être injuste. Nous disions donc: un coup sur les seins, celui-ci étant nul, un autre sur les reins, le ventre, les fesses, les cuisses et deux sur la vulve. Pour avoir baissé les bras, je te repose la question. Où veux-tu tes cinq coups?
Julia le regardait, ne comprenant plus rien, où plutôt comprenant trop bien, que cela ne faisait que commencer.
- Réponds-moi, la conseilla-il, sinon c’est moi qui choisi!
- Sur... sur les fesses, répondit-elle.
- Tss, tss! Ce n’est pas une réponse çà! Répète après moi ce qu’il faut que tu dises en pareil cas: merci Seigneur de me laisser généreusement le choix. S’il te plaît, donnes moi mes cinq coups dûment mérités sur les fesses.
- Merci Seigneur, répéta-t-elle, de me laisser le choix. S’il te plaît donnes moi mes cinq coups mérités sur les fesses.
- D’accord! Comme tu voudras! Cela fait donc: un sur les seins, les reins, le ventre, les cuisses, six sur les fesses et deux sur la vulve. D’accord avec le tarif Julia?
- Oui Seigneur!
- Bien! Debout!
Julia se leva toujours aussi apeurée.
- Nous allons descendre dans le salon. Prends la valise d’accessoires et suis-moi!
Il descendit dans la grande salle, Julia sur ses talons. Il lui fit signe de poser la valise sur la table. Il l’ouvrit et prit en premier lieu un bâillon de cuir.
- Je n’ai pas envi que tu me casses les oreilles. Ouvre la bouche!
Il lui mis en place la boule de cuir et l’attacha avec les lanières derrière la nuque. Julia ne pouvait ainsi ni parler, ni crier. Elle ne pouvait que gémir. Il pris ensuite des moufles et y enfila les mains de la jeune femme. C’étaient des espèces de moufles en cuir souple qui permettaient d’emprisonner les mains. Une lanière à boucle, en plus d’une fermeture éclair, garantissait le blocage du poignet. Un mousqueton au bout du gant permettait de l’accrocher afin de laisser les bras suspendus. Il sortit, pour finir une corde qu’il passa par-dessus une des grosses poutres et plaça en dessous deux épais annuaires téléphoniques.
Il fit signe à Julia de monter sur les bottins et de lever les bras. Il attacha les moufles à la corde et tira sur celle-ci pour tendre au maximum les bras. Il retira ensuite les bottins. Julia se retrouva les bras en l’air, le corps complètement étiré. Elle ne pouvait plus se soustraire aux coups.
- Et voilà, ma jolie! Nous allons pouvoir commencer.
Il s’approcha d’elle et passa la main sur la vulve, surpris de constater qu’elle semblait bien lubrifiée.
- Mais c’est que tu mouilles, salope, dis-il. Et tes tétons sont tout bandés! On va voir si après les coups ce sera toujours le cas.
Les mamelles de Julia tressautèrent lorsque le premier coup de cravache retentit en s’y abattant, suivi d’un long gémissement de l’esclave qui ne pouvait même pas se soulager en criant. Puis le ventre, les reins, les cuisses,... Les coups pleuvaient sur le corps de Julia qui se tordait de douleur dans tous les sens.
Il restait à l’homme à donner les deux coups sur la vulve. Il alla chercher dans la valise l’écarteur. C’était une barre métallique d’un mètre cinquante, dont chaque extrémité est reliée à une chevillière de cuir épais. Il fixa cet écarteur aux chevilles de Julia, ce qui l’obligea à écarter les jambes. La voie étant maintenant libre, il lui assena les deux derniers coups sur la chatte sans y aller trop fort pour ne pas faire éclater les nymphes archi sensibles. Julia poussa un long râle alors que la douleur lui vrilla le cerveau.
- Voilà! La correction est terminée, lui expliqua-il. J’espère que tu as compris maintenant. Mais pour plus de sécurité et afin que je sois certain que tu n’oublies pas, tu auras une autre séance demain.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 19:12
4

La jeune femme entra dans le salon nue et propre. Elle tenait à la main ses bas et ses chaussures.
L'homme se leva et se mit au milieu du salon. Il lui prit des mains les bas en nylon.
- Remets tes chaussures, lui ordonne-t-il!
Elle s'exécuta.
- Viens devant moi!
La jeune femme s'approcha de l'homme.
Il s'agenouilla devant elle et entreprit d'attacher les chevilles avec une paire de chaussettes longues en prenant soin de ne pas les de ne pas les coller l'une contre l'autre.
Il attacha ensuite ses poignets de la même manière avec une deuxième paire de chaussettes et relia les deux liens par leur centre avec un bas, qui, tirés au maximum, empêchait la jeune femme de monter les mains plus haut que sa poitrine. Les chevilles et les poignets n’étaient pas trop serrés l'un contre l'autre afin de lui permettre de faire de petits pas et de prendre des objets.
L'homme prit dans sa poche le slip de satin blanc encore humide de la femme, le chiffonna en boule et le glissa dans sa bouche. Il l'y maintint par un deuxième bas noué derrière la nuque.
L'homme fit se mettre la jeune femme à quatre pattes. Prenant la carotte qui traînait par terre, il s'assit sur la croupe tendue regardant les fesses. Il enduisit le légume de gel lubrifiant et, écartant les lobes d'une main, enfonça de l'autre le légume dans l'anus offert jusqu'à ce que seules les feuilles ne sortent, comme précédemment. La jeune femme gémit, son anus étant encore sensible.
Se levant, l’homme montra le salon d'un geste ample du bras et ordonna :
- Lève-toi! Pendant que je prends ma douche, je veux que tu ranges tout ce bordel! Compris?
La jeune femme se mit debout et acquiesça d'un signe de tête.
- Non, non cocotte, dit-il! Quand je te pose une question tu réponds! D'accord?
La jeune femme répondit d'une manière presque incompréhensible, sa langue étant bloquée par sa culotte :
- Oui.
- Ce n'est pas la bonne manière de me parler! A partir de maintenant tu m'appelles "Seigneur"!
- Oui Seigneur répond-elle ses mots toujours déformés.
- C'est mieux!
L'homme se retourna et sortit du salon laissant la jeune femme seule. Elle poussa un énorme soupir et commença à ranger en se déplaçant, du fait de ses entraves, à tout petits pas saccadés qui faisaient joliment remuer ses seins, ses fesses et les feuilles de la carotte.

La jeune femme, toujours ligotées par les chaussettes et les bas, bâillonnée avec son slip, entièrement nue à part ses chaussures et sa carotte dans le cul, allait et venait dans la cuisine préparant le dîner. Elle posa un steak dans une assiette sur le plan de travail.
L'homme, habillé d'une robe de chambre et de sa cagoule en cuir, la regardait, appuyé contre le chambranle dans l'encadrement de la porte. Il lui indiquait, quand besoin était, l'emplacement des ustensiles :
- La poêle est dans le placard sous le plan de travail.
La femme y alla, se baissa, ouvrit la porte du placard et prit la poêle. Elle la posa sur la plaque de cuisson et se retourna vers l'homme pour lui demander à travers son bâillon :
- Tu veux que je fasse cuire au beurre ou à l'huile?
Sa question était bien sûr incompréhensible.
- Pardon?
La femme en essayant d'articuler :
- Tu veux ton steak cuit au beurre ou à l'huile?
- Au beurre ou à l'huile, demanda l’homme?
La femme acquiesça de la tête.
- Au beurre s'il te plaît.
La jeune femme alla vers le réfrigérateur.

La jeune femme, entièrement nue avec ses chaussures et sa carotte, était debout, jambes serrées, bras dans le dos. Ses chevilles et ses genoux étaient étroitement liés l'un contre l'autre par du ruban adhésif d'emballage.
Ses bras étaient pliés dans le dos, les poignets entre les omoplates, reliés, eux, par une chaussette.
Deux pinces à linge étaient placées sur chaque sein, de chaque côté du téton.
La jeune femme n'était pas bâillonnée mais portait un bandeau sur les yeux.
Elle était debout au milieu du salon, face à l'homme depuis vingt bonnes minutes. Lui, était assis à table en train de terminer son dîner. Son regard passait de son assiette à la jeune femme qui se trémoussait légèrement essayant en vain de relâcher un peu ses liens.
L'homme finit. Il reposa les couverts dans l'assiette, termina son verre de vin, s'essuya la bouche avec sa serviette. Il se leva, se dirigea vers la jeune femme et se plaça devant elle.
Ses mains caressèrent sa poitrine, jouant avec les pinces à linge, descendirent le long de ses hanches pour empoigner les fesses qu'elles se mirent à pétrir.
L'homme lâcha la jeune femme et se mit derrière elle. De sa main droite il caressait doucement ses fesses, puis, sans prévenir leur asséna une belle claque.
N'ayant pu prévoir le coup du fait de son bandeau sur les yeux, un cri de surprise plus que de douleur sortit de la bouche de la femme. Le choc, qui fait trembler les lobes charnus ainsi que les feuilles de la carotte, manqua de lui faire perdre l'équilibre. Elle le retrouva en sautillant à pieds joints, et pour cause. Les sauts firent joliment trembler ses seins ainsi que les pinces à linge qui y étaient accrochées transformant la simple sensation de pincement agaçante qu’elle ressentait depuis un quart d’heure en douleur. Prenant deux autres pinces, l’homme en mit une sur chaque téton entre celles déjà en place.
La jeune femme n’ayant pu voir ce que préparait l’homme du fait de son bandeau sur les yeux poussa un petit cri de surprise rapidement suivi d’un gémissement de douleur. Petit à petit, la douleur cinglante s'estompait et se mélangeait aux pincements exaspérants des premières pinces.
L'homme passa un bras autour de sa taille afin de la maintenir et lui asséna de sa main libre une belle fessée. La jeune femme se tordait dans les bras de l'homme, essayant, par réflexe, de se soustraire aux claques. Ses seins tressautaient à chaque claque sur les fesses faisant bouger les pinces sur les tendres chairs écrasées. Un cri sortait de sa gorge à chaque fois, dû à la fois à la douleur cinglante de la main et à celle provoquée par les pinces.
La tenant toujours par la taille, l'homme la fit sautiller vers le canapé.
- Avance!
Tant bien que mal, la jeune femme arriva devant le canapé où l'homme s'assit. Il la tira en avant de sorte qu'elle tombe sur ses genoux en poussant un petit cri de frayeur, lui présentant au mieux ses fesses. L'homme reprit la fessée d'une main en écartant de l'autre les feuilles de la carotte.
Sous les claques ponctuées des cris de la femme qui s'était mise à pleurer, les lobes charnus prenaient rapidement une teinte rosée du plus bel effet.
L'homme arrêta la fessée et, en se levant, fit rouler la jeune femme par terre où, en pleurnichant, elle se tortillait doucement en essayant de se retourner sur le dos afin de ne pas écraser les pinces sur les tétons. L'homme défit la ceinture de sa robe de chambre et s'agenouilla devant le visage de la femme en écartant les pans de son vêtement.
Il la remit sur le ventre, la faisant gémir lorsque son poids appuya sur les pinces à linge. Attrapant un sein dans chaque main, il tira dessus pour soulever le torse en cambrant son dos et lui placer la bouche devant son sexe.
- A ton tour de prendre une petite collation, ma jolie, lui dit-il en lâchant les seins et en la maintenant par les épaules.
La femme ouvrit la bouche où l'homme fit pénétrer son membre. Elle commença de la tête un mouvement de va et vient en aspirant la colonne de chair entourée de ses lèvres soyeuses. Se soulevant sur ses genoux, l'homme lui enfonce son sexe jusqu'au fond et la gorge et lâcha ses épaules. La jeune femme ne pouvait plus maintenir son torse relevé qu'en prenant appui de sa tête sur le bas-ventre de l'homme. Ce dernier entreprit alors un mouvement saccadé des reins, secouant la tête de la femme qui se mit à éructer des râles à chaque fois que le gland touchait le fond de sa gorge et que les pinces de ses seins s’écrasaient sur les cuisses de l’homme.
Ce dernier finit quand même par ressortir brutalement, la verge raide, laissant retomber la jeune femme sur le sol, lui arrachant un cri de surprise et de douleur.
Faisant le tour de la femme, l’homme la fit se mettre sur les genoux, la tête toujours au sol, la croupe tendue vers le plafond. Il se plaça devant ses fesses qu’il écarta de ses deux mains pour mettre entre elles sa verge. Resserrant les lobes charnus il commença à se branler entre les fesses comme il l'avait fait entre les seins.
Il la retourna sur le dos. Se plaçant à califourchon sur son ventre en enlevant sa robe de chambre tout en s’occupant de des seins, il frottait sa verge contre le ventre de la femme, mimant un coït. Puis il plaça sa verge raide devant les lèvres de la vulve, entre les cuisses serrées par les liens. L’homme, mimant toujours un coït, se branlait de maintenant entre les cuisses serrées en frottant sa verge contre le clitoris et la vulve sans la pénétrer. A ce contact, la femme s’excita et commença à onduler des hanches.
Puis l’homme se remit à genoux et défit les entraves de ses jambes qu'il écarta et entre lesquelles il se plaça. Ses mains se mirent à caresser doucement le sexe de la femme, puis, remontèrent sur le ventre alors que la bouche prenait le relais. La jeune femme donnait des coups de ventre en avant, prenant du plaisir sous les caresses de la langue. Elle finit par réclamer à l'homme qu'il la pénétra :
- Vas-y! Maintenant! Prends-moi!
Ne se faisant pas prier, l'homme approcha son sexe de celui de la femme et la pénétra délicatement. Doucement, il commença un lent mouvement de va et vient. La croupe de la jeune femme se soulevait et ondulait en rythme alors que ses soupirs et petits cris d'aise montraient qu'une sourde chaleur commençait à l'envahir, ses chairs intimes étant à peine calmées.
Les mains de l'homme malaxaient ses seins sans brutalité. Il prit une pince à linge dans chaque main et, les soulevant légèrement, les secoua. Les seins ballottés, la jeune femme gémit doucement de douleur et de plaisir mêlés. L'homme enleva alors les pinces à linge en les "dé pinçant". La douleur due à l'afflux de sang dans les tétons fit se cambrer la jeune femme qui laissa échapper de sa gorge un long râle. L'homme se mit alors à masser les bourgeons de chair en amplifiant le mouvement de ses reins. La femme se tordait de douleur et de bien-être sous les doigts de l'homme puis, la douleur se dissipant, frétilla de volupté.
L'homme se coucha sur elle et, la prenant dans les bras, se retourna sur le dos, mettant la femme sur son ventre. Elle se releva et, assise sur le phallus, les yeux toujours bandés et les bras ligotés dans le dos, prit les commandes de la manoeuvre, se tortillant dans tous les sens et criant son plaisir à tout va.
L'homme sentant venir la jouissance :
- Termine-moi avec la bouche!
La jeune femme se sépara alors du pénis, s'allongea devant la verge de l'homme et la prit en bouche.
C'est dans un cri de jouissance que l'homme lui éjacula sur le visage.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Mardi 17 juillet 2 17 /07 /Juil 14:45
3

La jeune femme était maintenant à genoux, penchée en arrière les coudes posés par terre, toujours attachés aux chevilles. La cambrure de son dos projetait le ventre en avant. Elle avait toujours les fanes de la carotte qui sortaient d’entre ses fesses.
L'homme, à genoux devant son ventre, posa sa main sur sa chatte humide et joua avec les lèvres, doucement, titillant le clitoris qui ne se fit pas prier pour s'ériger fièrement.
Il déposa un premier et presque chaste baiser sur le mont de Vénus lisse et doux et descendit progressivement le long de la pente menant à la vulve, un gouffre tout grand ouvert dont il huma alors fortement les effluves. Il se remplit les narines de ces fortes senteurs.
Il releva la tête, regarda son ventre et lui dit comme on fait un compliment :
- Tu es vraiment un beau jouet!
Il fit pénétrer un doigt, puis deux et fouilla l'intérieur chaud et humide en secouant la main, accompagné des gémissements de plaisir de la jeune femme. Il sortit ses doigts et entreprit d'étaler son foutre sur les lèvres, massant la vulve comme on étale une pâte à tarte. Il prit ensuite le clitoris qu'il fit rouler entre son pouce et son index.
Les gémissements laissèrent la place à des râles rauques qui s'amplifièrent encore quand l'homme enfonça dans le vagin le concombre auquel il donnait quelques mouvements de va et vient en continuant de jouer avec le clitoris.
- Doucement, ma jolie, susurrait-il! Je ne t'ai pas encore permis de jouir!
Pour le lui faire comprendre, il enleva le concombre et écrasa le clitoris entre ses doigts. La jeune femme grimaça de douleur. Il lâcha le bouton pour s'occuper des lèvres. Il décolla les grandes lèvres l'une de l'autre pour agrandir l'ouverture, les étirant à l'extrême, puis, maintenant l'écartèlement de la main gauche, il enfonça de nouveau un doigt de la main droite dans la fente, puis un deuxième, puis un troisième. Pour le quatrième et le pouce, il eut quelques difficultés, le vagin n'étant pas assez dilaté.
Il ressortit sa main, l'enduit de gel lubrifiant ainsi que la vulve, et força le passage en donnant à sa main un mouvement tournant. La vulve était étirée à craquer, mais il réussit quand même, petit à petit, en refaisant inlassablement le même mouvement tournant, à y faire pénétrer la main entière.
La jeune femme était partagée entre la douleur provoquée par ses chairs distendues et le plaisir de la pénétration du poignet de l'homme dans son ventre.
- Vas-y, dit-il! Tu peux te laisser aller!
Il ferma son poing et imprima à son bras un lent mais efficace mouvement de va et vient qui ne put que satisfaire la jeune femme. Toute trace de douleur disparut de son visage, laissant la place à une expression de complète béatitude. Elle gémissait en se contorsionnant.
L'homme accélérait la cadence, son bras sortant et entrant dans son ventre dans un balancement alternatif.
Soudain la jeune femme poussa un grand cri, une sorte de hurlement fauve, et elle s'abandonna au raz de marée jouissif qui déferlait à travers son corps entravé qui était secoué par toute une série de convulsions plus violentes les unes que les autres, accompagnées par un long cri de jouissance.
Pour terminer en beauté, l'homme ouvrit toute grande sa main, toujours aussi profondément enfoncée dans son con. Ce fut le coup de grâce pour la jeune femme. Son corps se tendit à l'extrême, tirant sur les liens qui la maintenaient dans cette position inconfortable. Elle poussa un cri encore plus fort que les précédents avant de se laisser retomber sur le sol, inerte, reprenant difficilement son souffle.
L'homme sortit doucement sa main du vagin de la jeune femme, provocant un nouveau soubresaut lors du passage du poignet.
- Attends! Ce n'est pas fini, dit-il.
Les hanches de la jeune femme ondulaient langoureusement pendant qu’elle reprenait progressivement ses esprits.
L'homme la remit sur le ventre sans grands ménagements, lui sortant une plainte, se plaça derrière elle et tira sur les feuilles de la carotte, doucement. Le légume frotta contre les parois. Le rectum complètement excité, la jeune femme fut de nouveau secouée de spasmes.
L'homme plaça son gland devant l'anus et, d'un coup de reins, poussa son membre dans ses entrailles.
La jeune femme se mit à exprimer son plaisir par des hululements gutturaux étouffés, frottant sa croupe contre le ventre de l’homme d'un mouvement ondulatoire de tout son corps.
L'homme commença son mouvement de va et vient, son sexe bousculant tout sur son passage, ne souffrant aucune résistance, de l'anus béant au fond de ses entrailles.
La jeune femme suivit la cadence. Chaque coup de boutoir qu'elle se prenait dans le cul faisait frémir les lobes charnus de ses fesses. Les coups de reins se répercutaient tout le long de son corps entravé, le faisant vibrer au rythme du plaisir de l'homme, frottant son ventre et ses seins sur le sol.
D'un va et vient infernal, il lui labourait l’arrière-train, forçant le passage sans ménagement, lui remodelant le fondement à ses dimensions. La jeune femme commençait à y prendre franchement plaisir, d'autant que l'homme prit le concombre et passant ses mains sous son ventre, l'enfonça dans son vagin.
Il jouait avec ses chairs distendues par le végétal qui entrait et sortait.
Crispée à se rompre les nerfs, la jeune femme poussa un hurlement et releva la tête en se raidissant, tous ses muscles tendus sous sa peau fine. Elle éprouva l'atroce sensation qui lui vint de son ventre qui s'ouvrait et se déchirait sous la formidable poussée de l'engin qui distendait ses chairs intimes.
Sans lui répondre, sans se soucier de ses cris et de ses plaintes vibrantes, ignorant ses sanglots et ses supplications pathétiques, l'homme, haletant bruyamment sous l'effort que lui demandait la possession de sa partenaire, déplaça sa main pour l'amener jusqu'à la pointe de la vulve distendue dont il caressa le pistil exaspéré et projeté en avant par le volume du concombre. Sans cesser d'agacer le clitoris gorgé de sang, il projeta son ventre à la rencontre de la croupe, offerte et trépidante, à coups de reins réguliers et imparables.
Sous l'inexorable mouvement de la verge de l'homme dans son rectum excité, la jeune femme mêlait peu à peu de longs gémissements rauques à ses plaintes de douleur allant s'assourdissant. Au rythme régulier de la pénétration, la souffrance s'estompait et s'effaça totalement pour faire place au plaisir.
Sans la moindre retenue maintenant, elle se livrait au rut de l'homme qui la possédait vigoureusement et la sabrait à grands coups de reins. Le corps entravé, les seins écrasés par le poids de l'homme, la tête relevée et la chevelure folle, les lèvres ouvertes sur une plainte permanente qui montait de sa gorge en feu et s'échappait en longues trilles sanglotantes, secouée par les coups de boutoirs de l'homme, la jeune femme se mit à hurler, prise de sauvages convulsions. Longuement, à pleins poumons, elle cria sa jouissance en se jetant dans de violents bondissements.
L'homme sortit de son cul, la remit sur les genoux et retira le concombre. Agenouillé devant elle, il commença à la caresser des épaules aux genoux, suivant la ligne de ses flancs frémissants, la courbe ample et régulière de ses hanches s'allongeant vers ses cuisses pleines et fermes. Il revint prendre ses seins sans les pétrir encore, pour redescendre lentement vers son ventre plat et dur qu'il abandonna soudainement avant d'arriver au pubis.
Se couchant de nouveau entre ses cuisses, il plaça son visage devant son bas-ventre et prit son sexe à pleine bouche pour commencer à mâcher les lèvres soyeuses.
Ses mains remontaient le long des flancs haletants, venaient se glisser sur sa poitrine pour emprisonner les seins et les pétrir vigoureusement. Il pinçait les bouts tendus sans cesser de brûler la vulve de la pression de ses lèvres et de pousser dans le vagin sa langue alerte, faisant hésiter la jeune femme entre le plaisir et la douleur qui, l'un comme l'autre, la firent crier. Les chairs complètement excitées par la masturbation au concombre, la jeune femme délirait et ne savait plus ce qu'elle disait :
- Prends-moi! Vas-y, suce-moi plus fort! Mords-moi! Fait moi mal, rends-moi folle!
Ne demandant que cela, l'homme la mordit sévèrement en capturant son clitoris qu'il aspire entre ses dents serrées pour la faire crier de souffrance et d'hystérique volupté.
La jeune femme se démenait comme une forcenée, prisonnière du ruban adhésif et des mains de l'homme qui s'arrimaient énergiquement à ses seins qu'il déformait de ses doigts durs pour continuer de sucer, d'aspirer, de mordre le bouton de chair tendre, dispensateur de plaisir voluptueux.
La jeune femme criait et s'étouffait, le visage déformé, les joues couvertes de larmes, agitant convulsivement les fesses et projetant ses hanches en avant le plus possible puis les reculant, incapable de savoir si elle voulait se donner davantage ou échapper à l'intolérable baiser qui la rendait folle.
Puis l'homme se redressa, plaqua le corps de sa partenaire sur le sien en la relevant sur ses genoux, ventre contre ventre, la faisant tressaillir de douleur au moment où sa bouche prit la sienne.
Elle entrouvrit les lèvres et consentit au passage de sa langue avide.
Les mains de l'homme caressaient ses flancs alors que son corps se frottait au sien. Il frottait sa verge sur la vulve sans la pénétrer, excitant le clitoris.
La jeune femme, intensément émue, gémissait de plaisir dans la bouche de l'homme dont la langue active la pénétrait en un mouvement de va et vient phallique, forçant doucement les lèvres en les caressant au passage.
Soudain, l'homme pénétra d'un coup son vagin aux chairs hyper sensibilisées. Elle l'accueillit par un long soupir d'aise.
Il se plaqua étroitement contre elle, poussa son ventre contre le sien et écrasa ses seins contre sa poitrine. Son visage cagoulé face au sien, il prit les lèvres pulpeuses et sensuelles dans les siennes et, à pleine bouche, avidement, donna un baiser.
Sa langue se glissait, anguille de chair palpitante, entre les dents de la jeune femme et, par petits coups vifs, piquetait son palais, semblait se développer, enfler, et remplissait toute la bouche pour soumettre l'autre langue à sa loi. Fine, roulée, pointue, gonflée, impérieuse et caressante, elle la cherchait, la fouillait pendant que ses lèvres se pressaient sur celle, chaudes et humides, de la jeune femme, les massaient, les roulaient puis s'ouvraient et découvraient les dents qui mordillèrent doucement pour encore et encore revenir comme les bords vivants d'une ventouse goulue.
Délaissant enfin sa bouche, les lèvres de l'homme descendirent dans son cou et sur sa poitrine. La jeune femme gémit doucement. Saisissant son sein droit d'une main, l'homme plaqua sa bouche de goule sur le gauche et commence à le sucer après avoir capturé le téton durci qui gonflait plus encore sous l'étreinte des lèvres. La jeune femme se crispa sous le double effet des caresses et de la verge dans son ventre, immobile mais bien présente.
Brusquement, l'homme cessa ses baisers et, prenant par la taille la femme dont les coudes étaient toujours attachés aux chevilles, se mit debout en la soulevant et commença un violent mouvement de va et vient en la secouant en tous sens.
Elle se mit à crier, son vagin étant extrêmement sensible et sa position douloureuse. Elle laissait échapper un jappement à chaque coup de boutoir accompagné d'un claquement sonore des cuisses de l'homme contre ses fesses. L'incendie reprit de plus belle dans son ventre et, la tête rejetée en arrière, elle se contorsionnait éperdument alors que son corps était secoué de convulsions et de spasmes.
Vint le moment où la jeune femme eut mal à force de jouir.
- Noooonnn!... Arrête! J'ai mal!... Tu me fait trop mal!... Je t'en prie!... Arrête un instant!... Rien qu'un instant!...
Mais implacable, l'homme la maintenait dans la houle de ses orgasmes successifs qui la secouaient sans répit et lui refusaient le repos qu'elle réclamait de tout son être, épuisée. Malgré elle, elle continuait à jouir, à hurler à perdre haleine, suppliant d'arrêter, sanglotant et hoquetant des mots sans suite sous l'accablante intensité du plaisir qui la ravageait.
Restant sourd à sa demande, l'homme allait et venait en poussant son ventre. Il accéléra la cadence de la pénétration qui se fait plus violente, plus puissante et plus saccadée, la jeune femme étant empalée de tout son poids sur la verge de l'homme.
Puis, il reposa sa partenaire par terre et continua ses violents coups de boutoir. Le corps de la jeune femme était ballotté dans ses liens.
La jouissance emporta alors l'homme d'un coup et, rugissant de plaisir, il se crispa en broyant les pauvres seins que ses doigts griffèrent convulsivement pour, dans un grand cri, sortir du vagin gluant et éjaculer en de longues et épaisses giclées contre son ventre.
Il lâcha la jeune femme qui, sentant la tempête décroître, se laissa retomber, molle et inerte, dans ses liens.
Il se releva et coupa avec un canif les liens de la jeune femme qui s'assit et enleva les bouts de ruban adhésif de ses coudes et de ses chevilles.
- Va prendre une douche, lui ordonna-t-il, et rapidement!
La jeune femme acquiesça de la tête, encore incapable de dire un mot. Elle tenta de se relever mais n’y parvint pas du premier coup, ses jambes n’arrivant pas à la soutenir. Enfin debout, tremblant de tout son être, haletante en essayant de reprendre son souffle et ses esprits, elle demanda du regard à l’homme de lui indiquer le chemin.
Il l'accompagna dans la salle de bain, la soutenant. Elle y entra pour en ressortir immédiatement et lui demander d'une petite voix et n'osant pas le regarder :
- Pourriez-vous m'indiquer où sont les toilettes s'il vous plaît.
- Bien sûr!
L'homme lui ouvrit la porte des WC. La jeune femme entra et alla pour fermer la porte mais l'homme l'en empêcha.
- J'aimerai te regarder pisser.
- Mais, répondit-elle interloquée!
- Vas-y! Assieds-toi et écarte bien la vulve avec tes doigts que je puisse admirer ton jet d'urine.
La jeune femme, hésitante, s'installa sur la cuvette.
- Redresse bien le buste, dit l’homme, et écarte les cuisses!
Elle obéit et, quand le jet puissant jaillit de son ventre et gicla violemment dans la cuvette en un fort chuintement, elle ferma les yeux, luttant désespérément contre l'envie qui lui venait de pleurer en cédant aux tourments que subit son orgueil affreusement mortifié.
Le flot doré de sa miction se tarit. L'homme la regarda encore s'essuyer la vulve, la poitrine gonflée de sanglots difficilement contenus, et les yeux brillant de larmes impossibles à totalement contrôler.
Elle se releva et passant devant l'homme en baissant les yeux et entra dans la salle de bain. Pour le coup elle ne referma pas la porte. C'est l'homme qui, en passant devant, le fit.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 20:08
2

La femme était debout au milieu du salon, les bras en l’air attachés derrière la tête par les poignets et les coudes. Les coudes serrés derrière la tête lui interdisaient de descendre ses bras vers l’avant, sa tête faisant obstacle. Son corps était complètement offert. Elle ne pouvait plus se soustraire aux envies de l’homme qui se trouvait debout devant elle.
- Je vais pouvoir ainsi m’occuper tout à loisir de toi, lui dit l’homme. Je vais te déshabiller lentement. Très lentement.
La femme gémit. Son ventre palpita. Le nombril fut secoué de spasmes nerveux.
L’homme s’agenouilla. Il posa ses mains sur sa jupe, à l’endroit où ses hanches la retenaient, défit la fermeture éclair et fit descendre le tissu. Sa bouche se promenait sur la peau frissonnante du ventre.
- Bon Dieu!... Que ta peau est douce, dit-il. On dirait du satin... Du satin chaud.
Le corps de la jeune femme ondoyait. Des sons plaintifs passaient à travers le bâillon. Son ventre oscillait, ses jambes se frottaient, aidant la jupe moulante à descendre.
Le vêtement arriva au sol. On vit sa croupe dont les globes rebondis ondulaient au rythme des mouvements. Elle respirait difficilement. Ses seins se soulevaient en cadence.
- Regarde tes seins! Ils sont magnifiques!
Le regard de la jeune femme descendit vers ses seins.
- Il faut que je les embrasse de nouveau!
L’homme se releva et ses dents mordillèrent les mamelons en érection.
De petits cris sortirent de la gorge de la femme. L’homme s’agenouilla à nouveau. Ses lèvres s’attardaient sur le ventre, couraient sur la peau frémissante pour s’arrêter sur le slip trempé afin de permettre à sa langue de s’y glisser, chaude et humide.
La jeune femme se cabra, les jambes à demi-ouvertes. Il creusa son slip humide de ses doigts, remonta entre les lèvres vers le clitoris. Gémissante, hanches tremblantes, la femme poussa son pubis en avant vers la main dont les doigts caressaient la fente.
La jeune femme, toujours attachée de la même manière finit par être nue à part ses chaussures et ses bas.
La bouche de l’homme courait sur tout son corps et, remontant vers son visage, il lui enleva le bâillon pour l’embrasser goulûment.
L’homme finit par détacher ses bras, les ramena vers l’avant et lui attacha les poignets avec une chaussette. Elle resta debout au milieu du salon, nue avec ses chaussures et ses bas, confuse, attendant que l’homme lui dise quelque chose.
Ce dernier s’assit en face d’elle dans un fauteuil.
- Assieds-toi par terre, face à moi!
La jeune femme s’assit par terre en lançant des regards interrogateurs à l’homme.
- Ecarte les jambes le plus possible et branle-toi!
La jeune femme s’exhiba face à l’homme, les cuisses généreusement ouvertes sur un sexe palpitant, montrant ses moindres recoins, étalant sans vergogne sa morphologie la plus secrète.
Un tel spectacle fascinait l’homme. Il la contemplait dans cette pose crue et obscène. La jeune femme passait ses mains entravées sur sa vulve et commença timidement à se caresser. La vue de l’homme masqué, assis devant elle et la regardant, la troubla.
- Vas-y vraiment, lui dit-il! Ne fais pas semblant! Tu n’arrêteras pas tant que tu ne te seras pas réellement masturbée.
La jeune femme ferma les yeux afin de ne plus voir l’homme devant elle et ses mains s’activèrent un peu plus sur son bas-ventre. Ses doigts écartaient ses lèvres humides et s’attaquèrent au clitoris.
- Ouvre les yeux, ordonna-t-il, et regarde-moi! C’est pour moi que tu te branles. Fait en sorte de m’exciter!
Elle se mit à s’astiquer le bouton en gémissant pour montrer qu’elle aimait çà et qu’un sournois plaisir sexuel lui taraudait les organes. Elle donnait des coups de ventre dans le vide, mimant un coït, se branlant la chatte de ses doigts habiles et portant une bonne partie de ses caresses sur son clitoris archi-bandé.
Ses mains remontèrent le long de son ventre, le caressant, pour aller sur ses seins qu’elles massèrent. La jeune femme en agaça les tétons qui grossissent immédiatement. Elle les porta alors l’un après l’autre à sa bouche pour les lécher et les téter voluptueusement. Ses mains redescendirent à sa vulve qu’elles se mirent à triturer avec une fougue et un enthousiasme de plus en plus évident. La femme gémit à en fendre l’âme.
L’homme se leva, sortit et revint tenant un concombre d’une taille plus que respectable. Il fait six bons centimètres de diamètre.
Il le donna à la jeune femme qui, le prenant des deux mains, le porta à sa bouche. Durant quelques minutes, elle le léchait, sa langue remontant le long de la hampe, le titillant avec une sensualité extrême. Elle ouvrit la bouche et engloutit le gros bout étirant ses lèvres et se mit à le sucer pour le mouiller.
Elle approcha l’engin de son bas-ventre et le posa à l’orée de son con. A petites pressions sur ses lèvres, puis en le frottant sur son bourgeon prêt à éclater, elle attisa les vagues du plaisir. Doucement, elle l’enfonça sans difficulté dans ses chairs bien lubrifiées par sa cyprine abondante.
Son visage exprima une grande satisfaction lors de la pénétration de l’objet.
L’homme ne la quittait pas des yeux, fasciné.
Pendant un bout de temps, le concombre bien calé dans son sexe aux lèvres étirées par son diamètre imposant, la jeune femme lui imprimait un mouvement de va-et-vient, d’abord lent, puis de plus en plus rapide.
Elle haletait et gémissait de plaisir, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Elle finit par se poignarder littéralement le vagin, hurlant son plaisir à tout va.
- Stop! Arrête, ordonna l’homme!
La jeune femme ne l’entendit pas et continua.
- Oh! Tu m’entends! Arrête de te branler, cria-t-il!
La jeune femme lâcha le concombre qui resta enfoncé dans le vagin et lui jeta un regard suppliant.
- Oh, non! Pas maintenant, le supplia-t-elle! Laissez-moi me finir! Je suis complètement excitée.
- Çà, je le vois bien justement, répondit l’homme! C’est moi qui vais te faire jouir, mais pas tout de suite. Approche et suce-moi!
Frustrée, la jeune femme obéit. Elle retira le concombre de son con et vint s’agenouiller devant l’homme qui resta assis. Elle baissa son pantalon avec ses mains jointes et prit possession de son membre déjà raide qu’elle effleura de ses doigts minces.
Elle superposa ses deux mains attachées sur la tige et repoussa en arrière la peau soyeuse du prépuce pour dégager entièrement le gland qu’elle honora d’un premier coup de langue.
Puis, sa bouche chaude aux lèvres humides cerna la tête turgescente dont elle commença une dégustation qui fit frémir l’homme de plaisir. D’abord, de ses lèvres fermement serrées, elle massa le gland longuement puis, sans relâcher son étreinte labiale, elle y joint une violente succion qui fit cambrer l’homme irrésistiblement et le conduit, en quelques trop brèves secondes, au bord du spasme.
La jeune femme le devina aux tressaillements de ses genoux qui l’étreignaient sous les aisselles. Elle le libéra.
De la pointe de sa langue, elle parcourut la muqueuse rose foncé, fouillant le méat, explorant minutieusement le bourrelet avant d’entreprendre, sur la corde sensible, une série d’aller et retour d’une exquise délicatesse.
Elle reprit le membre dans sa bouche, l’enfonça lentement jusqu’à la garde, puis le sortit tout aussi doucement, ramena de nouveau le prépuce en arrière et lécha le gland, dessous, lentement, en tournant.
Elle le remit en bouche, pas toute la verge, rien que le gland qu’elle massait avec sa langue, suçait en aspirant doucement, faisant glisser ses doigts tout le long de la verge, sans serrer, juste pour faire bouger la peau. Elle pompait délicatement le membre qui vibrait entre ses lèvres et dont elle massait le gland entre sa langue et son palais, tout en prenant garde de dégager ses dents afin de ne pas rompre la douceur de l’étui de velours qu’était sa bouche toute entière.
- Arrête! Je n’en peux plus, lui dit l’homme!
Il la repoussa violemment, se dégageant de sa bouche. La jeune femme ne comprit pas.
- Allonge-toi par terre sur le dos, ordonna-t-il!
La jeune femme obéit et l’homme, se levant du fauteuil, s'agenouilla sur elle lui remontant les bras au-dessus de la tête et s’assit sur son thorax devant ses seins qu’il prit à deux mains et entre lesquels il plaça sa verge. Comprimant les seins l’un contre l’autre, il enserrait son membre dans un carcan moelleux et commença à s’y branler allant et venant comme dans un vagin.
- Lève la tête, dit-il, et mets ta bouche devant mon gland!
La jeune femme releva sa tête et la maintint de ses mains attachées de sorte que le gland de l’homme finisse sa course au bord de ses lèvres. Elle sortit la langue essayant de le titiller au passage.
Au bout d’un moment, l’homme sortit sa verge d’entre les mamelons de la femme et recula pour s’asseoir sur son ventre. Il baissa la tête et plongea le visage dans les seins sur lesquels il le frotta dans tous les sens tout en léchant, mordillant et malaxant de ses mains.
Au bout d’un moment, l’homme descendit de sur la jeune femme et la retourna sur le ventre. Il plia ses jambes et relia chaque cheville au coude du bras respectif avec le scotch d’emballage, les mains libres de la jeune femme posée sur le sol de chaque côté de ses hanche, ce qui eut pour effet de bien écarter les cuisses, dégageant sa vulve, et de cambrer violemment son dos, faisant ressortir de manière provocante ses fesses. Elle se trémoussait doucement.
L’homme s’assit devant sa tête qu’il encadra de ses cuisses. Il releva le visage de la femme de ses mains, plaçant sa verge devant sa bouche.
- Ouvre la bouche!
La jeune femme ouvrit grand la bouche. L’homme y engouffra sa verge qu’elle engloutit dans sa presque totalité. Elle la lubrifia de sa salive par quelques mouvements de succion et entreprit une fellation des plus soignées quoique très inconfortable.
Le visage de l’homme, les yeux fermés, traduisait un grand émoi.
Les lèvres de la jeune femme suivaient au plus près le tour de son organe qui pénétrait et ressortait de sa bouche, luisant de salive. Sa tête se balançait de ce qu’elle pouvait pour imprimer à sa bouche un mouvement de va et vient. L’homme l’aidait par des oscillations légères de ses reins. La jeune femme avalait la verge si profondément que les poils lui frôlaient le nez et ses lèvres s’écrasaient sur le ventre. Un haut le coeur accompagné d’un râle la prit lorsque le gland lui toucha la luette. Elle pompait goulûment, n’émettant que quelques sifflements quand elle reprenait sa respiration. Sa longue chevelure blonde se balançait au rythme du plaisir de l’homme en gémissant de sa bouche pleine. Ses joues se gonflaient, se creusaient...
C’est lui maintenant qui, bougeant ses reins, donnait la cadence qui lui convenait le mieux, utilisant sa bouche comme un vagin: lentement... Arrêt au fond de la gorge...
Brusquement, il imprima une cadence rapide. L’expression sur son visage passe de la crispation à une béatitude extrême. Son rythme s’accéléra pour devenir brutal.
La tête de la jeune femme était durement secouée. Elle laissait sortir des éructations et des râles fréquents quand le membre de l’homme touchait le fond de sa gorge. Elle eut beaucoup de mal à reprendre sa respiration.
- Çà vient, dit-il en haletant!... Çà vient!... N’en perds pas une goutte!
L’homme accéléra encore le rythme. La jeune femme, la tête brusquement secouée par les assauts de l’homme, se mit à émettre des bruits incongrus en comprimant fortement les lèvres sur le gland dans l’intention de ne rien perdre du précieux sperme.
L’homme poussa un rugissement quand jaillit dans la gorge de la jeune femme un foutre épais et abondant qu’elle n’avala pas. Il continuait à aller et venir, lentement maintenant, sa queue luisante de son sperme qui ruisselait par la commissure des lèvres.
Le bas-ventre de la femme ondulait doucement alors qu’elle laissait sortir de sa gorge des plaintes étouffées.
Il sortit sa verge de la bouche, la prit en main et la frotta contre le visage de la jeune femme, la faisant glisser d’une joue à l’autre, les maculant de sa liqueur qu’elle avait gardée en bouche et recrachait petit à petit pour qu’il l’étale sur son visage.
L’homme s’écarta, regarda la jeune femme et lui sourit. Il se releva et vint se coucher derrière elle, entre ses cuisses écartées qu’il releva pour les placer sur ses épaules et, la prenant par les hanches, il la souleva, la cambrant encore plus si possible pour mettre devant sa bouche la vulve rasée de près.
La jeune femme, les seins écrasés de tout son poids sur le sol, le visage maculé de sperme, gémit fortement de l'inconfort de sa position.
L'homme colla sa bouche à la bouche verticale. Sa langue entra aussitôt en action pour titiller les grandes lèvres et pour jouer avec les nymphes sensibilisées par la branlette avec le concombre.
La jeune femme laissait sortir une plainte qu'elle ne pouvait conserver dans les profondeurs de sa gorge et se tortillait à la manière d'un ver de terre en faisant onduler son ventre.
- Doucement, lui dit l’homme! Je ne t'autorise pas à jouir encore. Tu ne prendras du plaisir que sur mon ordre. Alors, arrête de gémir et de bouger!
Elle inspira profondément pour se calmer et se mordit la lèvre inférieure. L'homme replongea la tête dans le bas-ventre et lapa les chairs roses et luisantes, s'occupant maintenant plus particulièrement de son anus que ses doigts massaient délicatement, sur les bords d'abord, puis de plus en plus franchement au centre. Les premiers réflexes de contractions passés, les sphincters se relâchaient peu à peu. Son index en profita évidement pour forcer le passage, ce qui provoqua une nouvelle contraction. Mais une fois à l'intérieur, il commença à fouiller.
Le visage de la jeune femme traduisit une concentration entièrement tournée vers ce plaisir nouveau.
L'homme prit une carotte dont la taille rappelait celle d'une verge en érection. Pour l'esthétique, elle avait encore ses feuilles. Il la plaça devant une de ses mains.
- Suce-la, ordonne-t-il!
La jeune femme prit le légume dans sa main en en se tortillant à l’extrême, l’amena devant son visage, ouvrit la bouche et se mit à lécher le légume, l’enfonçant profondément dans la gorge afin de bien le lubrifier de sa salive.
L'homme lui enleva la carotte de la bouche, écarta d'une main les lobes charnus et, à petites pressions sur son anus, il l'enfonça sans difficulté dans ses entrailles.
Il commença un mouvement de va et vient, faisant et refaisant inlassablement le même chemin, de l'anus jusqu'au fond de ses entrailles, fouillant, fouissant et fouinant pour bien imposer sa maîtrise des lieux, agaçant de l'autre main le clitoris à tel point qu'à plusieurs reprises, le réflexe étant le plus fort, la jeune femme projeta sa croupe en arrière.
Elle commençait à prendre du plaisir de cette intromission. Des gémissements de plus en plus forts sortaient de sa gorge. Elle se frottait les seins sur le sol alors que sa croupe se mettait à onduler pour appuyer plus fortement le clitoris sur la main dispensatrice de plaisir. Elle semblait avoir de plus en plus de mal à se retenir de jouir. Quelques petits cris sortirent involontairement de sa gorge.
L'homme enfonça complètement la carotte dans l'anus et, lâchant le tout se recula pour admirer la jeune femme dont le corps entravé ondulait doucement avec les longues feuilles sortant de son cul.

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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 12:18
1

Une jeune femme marchait dans la rue d’un pas décidé. Elle portait un petit chemisier blanc, de fins gants noirs et une jupe qui moulait ses fesses et ses cuisses pleines et s’arrêtait au-dessus des genoux. Elle marchait fièrement cambrée, ondulant des hanches, juchée sur les hauts talons de ses escarpins vernis noirs, ses jambes gainées de bas noirs et brillants.
Elle arriva à la porte d’un immeuble, chercha un petit papier dans son sac à main, le lit et composa le code d’entrée. La serrure électrique claqua. La jeune femme poussa la lourde porte en bois et entra.
Sur le palier, devant une porte, elle appuya sur le bouton de la sonnette. La porte s’ouvrit.
Une voix d’homme.
- Madame ?
La femme timidement en baissant légèrement le regard.
- Je suis la femme dont le mari vous a téléphoné.
- Ah oui, répondit l'homme! Je vous attendais. Entrez!
La jeune femme entra et pénétra dans le salon de l’appartement. Un canapé, une table basse, un fauteuil et un buffet. Elle entendit la porte qui se refermait et se retourna vers l’homme qui la suivait et lui dit d’une voix mal assurée.
- Mon mari vous a-t-il prévenu qu’il sera légèrement en retard?
- Oui, oui. Je suis au courant, répondit l’homme en tendant le bras vers le fauteuil. Mais je vous en prie, asseyez-vous.
- Merci.
Mal à l’aise, elle s’assit dans le fauteuil face à l’homme en lissant sa jupe. Timide, elle plaça son sac à main sur ses cuisses jointes à l’endroit de l’ourlet de la jupe.
- En attendant que votre mari arrive, permettez que j’aille me changer, demanda l’homme d’une voix douce.
La femme n’osa pas regarder l’homme en face.
- Je vous en prie, faites, balbutia-t-elle.
- Merci.
L’homme tourna les talons et sortit du salon. La femme resta seule. Toujours très mal à l’aise, elle retira ses gants en regardant autour d’elle et les mit dans son sac qu’elle posa par terre, à côté d’elle. Elle se tortillait dans le fauteuil, lissant machinalement le bas de sa jupe sur ses cuisses. Son trahissait l’angoisse. Son regard errait dans la pièce. Cherchant une position assise qui lui conviendrait, elle croisait et décroisait ses jambes provoquant le crissement de ses bas. Le mouvement de ses cuisses repoussait petit à petit la jupe, laissant entrevoir un peu de la peau blanche de ses cuisses entre le haut des bas et le tissu de la jupe.
La sonnerie d’un téléphone portable retenti doucement. La jeune femme sursauta. Ses mains se précipitèrent sur son sac qu’elles ouvrirent nerveusement. Elle en sortit le portable qui sonnait, le porta à son oreille et répondit.
- Allô? ...
Elle fut surprise.
- C’est toi mon chéri? Mais où es-tu? Nous t’attendons! ... A la maison? Mais qu’est ce que ...
Elle se leva.
- Quoi? Tu ne viendras pas? Mais! Et moi? ... Je reste? Mais! ...
Elle écoutait, en marchant lentement vers la fenêtre, dos à la porte du salon. Sa surprise se transformait en angoisse.
- ... Mais! ... Que je quoi? ...
Elle se tut, médusée par ce que disait son mari. L’homme apparut derrière elle. Il était habillé d’amples vêtements de cuir noir, portait une cagoule de la même matière qui lui cachait le visage, découvrant seulement ses yeux et sa bouche. La femme paniquait.
- Allô? ... Allô! Mais qu’est ce que c’est que cette plaisanterie, cria-t-elle! ... Allô!
La jeune femme regardait le téléphone qu’elle avait éloigné de son oreille, très perplexe.
- Vous avez bien entendu, lui confirma l’homme.
La femme sursauta en poussant un cri. Elle se retourna, surprise à la vue de son accoutrement. Elle tenait toujours son téléphone dans la main, contre sa poitrine.
- Ce stratagème a été mis au point par votre mari afin que vous veniez seule ici, lui expliqua l’homme en cuir. Vous resterez en ma compagnie pendant quelques jours.
- Mais! ... Et mon ... commença la jeune femme interrompue par l’homme.
- Et votre travail? Ne vous inquiétez pas!
Il s’approcha d’elle, lui prit le téléphone et l’éteignit.
- Votre mari les a prévenus. Vous a-t-il expliqué au téléphone les raisons de votre présence ici?
La jeune femme acquiesça d’un signe de tête, baissant les yeux et rougissant de honte.
- Répondez-moi s’il vous plaît! Que vous a-t-il demandé?
- De vous obéir en tout, quoique vous demandiez, répondit-elle d’une petite voix hésitante.
- Bien! Placez-vous au milieu du salon madame s’il vous plaît!
La jeune femme, comprenant que sous le ton aimable et courtois la requête de l’homme était en fait un ordre, s’exécuta. L’homme la contourna en la regardant et alla s’asseoir dans le fauteuil qu’elle occupait précédemment.
- Montrez-moi vos jambes, voulez-vous?
Hésitante, elle adressa à l’homme un regard dans lequel passa une lueur d’affolement. Le visage de l’homme, sous la cagoule demeurait imperturbable. Alors, elle fit ce qu’il venait de lui demander et, de ses deux mains, elle releva sur ses cuisses l’ourlet de sa jupe qu’elle remonta jusqu’en haut de la lisière de ses bas.
- Plus haut! Je veux les voir toutes entières, lui ordonna-t-il.
Elle obéit encore, et releva le tissu jusqu’à son ventre pour lui dévoiler la totalité de ses cuisses blanches entre lesquelles se distingue une petite culotte de satin blanc brillant.
- Vous êtes délicieuse de gêne, dit-il avec un léger sourire amical. Veuillez, je vous prie, tourner sur vous-même.
La jeune femme s’exécuta et l’homme eut alors la révélation de l’ampleur somptueuse de sa croupe tendant la coquette culotte qui galbait intimement les deux hémisphères.
- Montrez-moi vos seins maintenant, s’il vous plaît!
Elle lâche la jupe, qui, étroite et moulante, ne retomba pas complètement, et entreprit de déboutonner son chemisier avant de l’écarter des deux mains pour dégager une poitrine splendide simplement soutenue par deux petits balconnets.
- Relevez votre jupe et marchez!
Après une brève hésitation, elle se mit à aller et venir latéralement devant l’homme qui la suivait des yeux. Elle avait le corps bien droit, le buste cambré faisant saillir ses seins qui tremblaient doucement à chacun de ses pas. L’homme la fit se déplacer de gauche à droite et revenir, puis d’avant en arrière, se retourner et recommencer encore, jouissant tour à tour de la vue de ses hanches balancées qui désaxaient les fesses mouvantes en les projetant d’un côté et de l’autre, de sa taille flexible, de son ventre, de sa fente troublante dont on devinait les lèvres épaisses et pulpeuses sous le satin, de ses seins enfin, dont la quasi-nudité, comme celle de sa croupe et de son ventre, était rendue plus suggestive par la présence des vêtements simplement repoussés.
L’homme la fit s’arrêter devant lui.
- Accepteriez-vous, comme vous l’a demandé votre mari, de vous donner à moi?
- Oui, répondit la jeune femme, les lèvres tremblantes.
- Alors, s’il en est ainsi, baissez votre slip, dit-il, écartez les jambes et ouvrez largement votre sexe de vos doigts pour me demander de vous prendre.
La jeune femme le regardait les yeux écarquillés, semblant ne pas comprendre ce qu’on lui demandait.
- Allez! Faites-le et dites: Je veux être à vous, prenez-moi!
La jeune femme obéit et roula son slip sur ses hanches avant de le faire glisser, en se tortillant légèrement, jusqu’à mi-cuisses, découvrant son sexe fraîchement rasé. Puis, s’ouvrant comme l’exigeait l’homme, elle prononça, les larmes aux yeux, d’une voix sourde, les mots qu’il attendait.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
- Venez plus près de moi, demande-t-il. Approchez-vous!
La jeune femme lâcha sa vulve et s’approcha de l’homme.
- Stop, hurla-t-il d’un ton brutal en levant la main!
La jeune femme s’arrêta brusquement en le regardant surprise.
- Je ne vous ai pas dis de lâcher votre sexe! Retournez au bout de la pièce et revenez vers moi en vous écartant la vulve. En partant de là-bas vous me redirez ce que je veux entendre!
Faisant demi-tour, la jeune femme alla se placer au bout de la pièce. Elle se retourna vers l’homme, se pencha légèrement en avant alors que ses mains descendaient vers son sexe, ses doigts attrapant les lèvres de sa vulve, et les écartant très largement en tirant dessus.
Le visage légèrement baissé, la jeune femme refit sa demande en levant des yeux humides sur l’homme.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
D’un geste de la main l’homme l’invita à venir vers lui.
La jeune femme, humiliée, légèrement penchée en avant, tenant de ses deux mains les lèvres de sa vulve largement écartées, montrant l’intimité de ses chairs, avança, jambes écartées, à petits pas vers l’homme.
Arrivée devant lui, la jeune femme s’arrêta.
- Montrez-moi la mieux, demanda-t-il.
La vulve devant le visage de l’homme, elle poussa ses fesses en avant pour mieux lui offrir son intimité. L’homme approcha sa main.
Brusquement cabrées, la jeune femme pousse un cri alors que deux doigts volontaires prirent brutalement possession de son ventre. Par réflexe la jeune femme lâcha les lèvres de sa vulve et repoussa la main de l’homme.
- Bon sang, gronda-t-il en colère! Vous ne savez pas ce que vous voulez! Allez! Ecartez-moi ce sexe!
La jeune femme s’exécuta et émit un long gémissement plaintif lorsque les deux doigts de l’homme s’enfoncèrent de nouveau dans son ventre et qu’ils fouillèrent un moment en la secouant d’avant en arrière pour le plaisir de la faire se crisper de douleur avant de la libérer et de lui ordonner plus éprouvante épreuve encore.
- Retournez-vous! Penchez le buste en avant et écartez bien vos fesses pour redire les mêmes mots!
Les yeux brillants de larmes, la jeune femme consentit à l’humiliante exigence et, les seins ballottant, à peine retenus par les petits balconnets du soutien-gorge, prit la pose en offrant à l’homme sa croupe.
- Cambrez les reins mieux que çà s’il vous plaît, demanda-t-il d’un ton toujours très poli.
La croupe superbement tendue, ses doigts crispés et tremblants écartant ses fesses, la jeune femme dévoilait à l’homme l’ultime et secret réceptacle d’une perverse volupté.
- Je veux être à vous, prenez-moi, dit-elle d’une voix mourante!
Cette fois, une plainte rauque s’échappait de ses lèvres qu’elle mordit pour se contenir, tête rejetée en arrière et demeurant offerte aux doigts qui, superposés en sifflet, se foraient un chemin, la raidissant de douleur.
L’homme, commenta simplement.
- Vous êtes encore très étroite.
Il arrêta de la sonder et lui présenta ses doigts effluents.
- Nettoyez de votre bouche, lui ordonna-t-il!
La jeune femme, toujours penchée en avant, la jupe relevée sur ses reins, ses mains écartant les lobes charnus de ses fesses, se retourne vers l’homme et ouvrit les lèvres en arrondissant sa bouche pour y recevoir les doigts humides de ses oeuvres. Elle les lécha jusqu’à ce que l’homme rende libre sa bouche. De sa main il lui caressa la joue et, la prenant sous le menton, il lui releva le visage vers le sien et la regarda dans les yeux. Il la lâcha puis d’un mouvement de la main lui dit de se relever. Elle se redressa devant lui.
- Parfais! ... Remontez votre culotte, dit-il, redescendez votre jupe et placez-vous les mains dans le dos au milieu du salon.
La femme se rhabilla devant le visage de l’homme qui ne la quittait pas des yeux et alla se placer debout au milieu du salon. Elle attendait, les mains dans le dos, la suite des événements.
L’homme se leva et dit :
- Vous allez voir! Je vais prendre grand soin de vous. Je vais faire de vous une autre femme.
Lentement, il s’approcha d’elle et lui caressa doucement la joue. La jeune femme, par réflexes, recula légèrement son visage.
- Laissez-vous faire, dit-il sur un ton rassurant. Durant ces quelques jours vous allez connaître des plaisirs d’une volupté inattendue, croyez-moi.
La jeune femme avait le souffle rauque. Elle était très mal à l’aise.
L’homme descendit ses mains sur son cou et ses épaules. Il écarta les pans du chemisier qu’il fit glisser le long de ses bras, dégageant sa poitrine maintenue par le soutien-gorge dont les étroits balconnets remontaient les seins pour mieux les offrir.
- S’il vous plaît ... Non, murmura la femme!
- Chuuuut, fit l’homme doucement! ... Laissez-vous faire, vous dis-je.
Ses mains caressaient maintenant la poitrine de la femme qui se retint de bouger et de crier en fermant les yeux et en se mordant la lèvre inférieure.
Mais elle craqua au moment où l’homme se pencha pour embrasser seins. Elle ramena ses bras en avant sur la poitrine, voulant, par réflexe, empêcher l’homme.
- Non, dit-elle d’un ton sec en regardant l’homme dans les yeux!
L’homme attrapa les poignets de la jeune femme, les sépara et les maintient doucement mais fermement écartés de son corps. Il soutient son regard et lui dit gentiment :
- Vos bras dans le dos madame s’il vous plaît!
La femme le regardait angoissée. Elle déglutit un coup, ferma de nouveau les yeux et fit oui de la tête. Il lâcha alors ses bras qu’elle ramena, par un gros effort de volonté, doucement dans le dos.
- Bien! ... Merci, dit-il!
Son visage descendit vers les seins de la femme et sa langue et sa bouche se mirent en action. La jeune femme, dont les yeux étaient toujours fermés, sursauta quand la langue de l’homme entra en contact avec sa peau. Ses seins furent caressés, malaxés, embrassés, mordus par les mains et la bouche de l’homme en noir qui finit par remonter, embrassant la jointure des seins, l’épaule, le cou, la joue et tout le visage.
Alors que ses lèvres voulurent rejoindre celle de la femme, celle-ci se rebiffa à nouveau, écartant de ses mains le visage de l’homme, criant presque d’un ton sec :
- Non!
L’homme s’écarta et la regarda.
- Allons, allons, dit-il d’un ton doucereux ... Calmez-vous!
Il la prit par les épaules et la tourna doucement face au mur, lui prit les bras qu’il ramena dans le dos, sans forcer. La laissant ainsi, il recula et alla chercher dans un tiroir un rouleau de ruban adhésif d’emballage.
- Vous n’êtes pas très coopérative madame, lui reprocha-t-il. C’est dommage.
Il se rapprocha de la jeune femme, posa le ruban adhésif par terre et, restant derrière elle, plaqua son corps contre le sien, mit ses mains sur sa taille qu’il caressa, allant du ventre aux fesses. Elles remontèrent le long des hanches pour s’occuper de nouveau des seins. Pendant ce temps sa bouche embrassait et mordillait sa nuque.
Puis il s’accroupit, sa bouche descendant le long de la colonne vertébrale et ses mains, longeant ses bras, s’arrêtèrent aux poignets. Il rapprocha les mains et, pendant qu’il les maintint fermement ensemble d’une main, il attrapa de l’autre le ruban adhésif et entoura rapidement les poignets de la jeune femme avant que celle-ci ne puisse s’en rendre compte.
La lâchant, il se releva et la regarda. Elle se rendit compte que ses mains étaient entravées. La panique la fit se trémousser et se tortiller alors que visiblement cela ne servait à rien.
L’homme lui dit d’un ton plus familier :
- Calme-toi ma jolie. Ainsi tu garderas les mains dans le dos!
Il s’approcha d’elle et entreprit de lui ligoter les bras dans le dos. Il serra les coudes de la femme ensemble avec le ruban adhésif avant de refaire au propre le lien de ses poignets. Il la prit par les épaules et la retourna face à lui. Reculant, il l’admira quelques secondes. Elle gémit doucement en se tortillant légèrement pour libérer ses bras. Cela n’eut comme effet que de faire joliment bouger ses seins.
- Tu es superbe ainsi, la complimenta-t-il.
L’homme se retourne et va vers la commode.
- Et je vais te rendre plus belle encore!
- Qu’allez-vous faire de moi, demanda-t-elle le suivant du regard?
- Te faire jouir, répondit-il en fouillant dans le tiroir! Puis, tournant la tête vers elle :
- Simplement te donner du plaisir. Tu es venue pour ça non?
Il sortit un paquet de mouchoir en papier et une écharpe blanche, revient vers la jeune femme en ouvrant le paquet. Il sortit tous les mouchoirs et les plia en deux.
- Ouvre la bouche!
La femme résista avec une expression interrogative sur le visage.
- Allez! Ouvre grand la bouche, dit-il lui tapotant gentiment la joue
Elle s’exécuta et il lui plaça dans la bouche le paquet de mouchoirs pliés en deux qu’il maintint en place en la bâillonnant avec l’écharpe.
- Ainsi tu te tairas et ne crieras plus!
L’homme prit et releva les poignets de la jeune femme la faisant se courber en avant ses bras étant tendus et la poussa jusqu’au canapé où il la fit s’allonger sur le dos. Il entreprit aussitôt de s’occuper activement de sa poitrine, caressant, embrassant et mordillant les seins offerts. La jeune femme commençait à se tordre. Les mamelons débordaient des bonnets du soutien-gorge.
Progressivement, il descendait vers le ventre. Puis ses mains caressèrent les jambes gainées de noir qui se mirent à bouger en se frottant l’une contre l’autre faisant crisser les bas érotiquement. Il repoussa la jupe, dévoilant les jarretelles et la peau blanche de ses cuisses au-dessus des bas, puis, la remontant plus haut, découvrit le renflement moelleux de son sexe parfaitement épilé sous le mini slip de satin blanc.
Le corps de la jeune femme ondulait doucement, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration de plus en plus nerveuse, entrecoupée de gémissements.
- Oh que c’est mignon, dit l’homme! Un petit slip de satin blanc, tout brillant, pour cacher cette vulve si appétissante.
Il écarta les cuisses et sa paume remonta, effleurant sa peau. Le slip s’agita dans les reflets du satin. Sur le tissu collé à ses chairs, ses doigts glissèrent doucement, la palpant. Il pinça son sexe à travers le tissu plissé.
Les hanches de la jeune femme furent prises de mouvements convulsifs. Une tache d’humidité apparut sur le satin du slip.
- Exactement comme je les aime, dit-il! Superbe! Toute lisse et moelleuse à souhait! A croquer!
L’homme écarta vraiment les jambes de sa prisonnière et plaça sa tête entre ses cuisses fermes et douces pour embrasser et lécher à pleine bouche sa vulve à travers le tissu. Ses mains s’occupaient pendant ce temps de ses seins.
La jeune femme, dont le souffle rauque était entrecoupé de longs soupirs, émit à travers son bâillon une série de gémissements et de petits cris étouffés. Ses hanches ondulaient maintenant frénétiquement, poussant en avant son bas-ventre vers la bouche dispensatrice de plaisir. Le tissu de la culotte, trempée maintenant, collait à ses chairs.
L’homme la lâcha et se releva pour aller au milieu du salon. La jeune femme, qui commençait à chauffer sérieusement, le regarda.
- Lève-toi! Viens par ici, lui ordonna-t-il!
La jeune femme se releva un peu péniblement du fait des bras liés dans le dos

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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