Mardi 30 octobre 2 30 /10 /Oct 20:47

 

 

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Le film

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 08:00

 

Séance en latex. Ce coup-ci, j'ai décidé de m'en recouvrir entièrement. Commençons donc par le début: l'habillage.

Il est assez logique, avant de s'habiller, d'être tout nu. Non?

Donc tout nu (à part la cagoule), tout propre et rasé de près.

  

       

 

Toujours le fétichisme des talons hauts! Cà, vous n'allez pas y couper!

       

Bon, allons chercher de quoi s'habiller.

Certains se posent la question de comment enfiler du latex. Il y a toujours la solution de l'enfiler en étant sec, mais le mieux est de lubrifier la peau.

  

Pour ma part, j'utilise un lubrifiant à base de silicone du type Bodyglyde et autre. Le latex glisse tout seul sur la peau et se met parfaitement en place sans tirer les poils.

       

Vous avez compris que commençant par m'enduire les jambes, le premier vêtement que j'enfile est le pantalon. En fait, ce n'est pas un pantalon, mais plutôt un collant sans pieds.

  

       

Il a un petit plus sympa ce collant. Il comporte un "préservatif" pour le sexe. Le but du jeu étant de me masturber, c'est quand même plus pratique.

Rendre les fesses glissantes tout en n'en profitant pas trop pour se masser l'anus.

   

Et ne pas oublier de bien lubrifier le penis. Cela évitera les échauffement dûs aux frottements du latex sur la peau.

       

   

Je ne peux évidemment pas résister à me branler un petit coup. Par contre, un truc qui m'ennerve, ce sont les testicules qui systématiquement sortent de la poche prévue à cet effet. Tanpis, nous feront sans.

         

Le haut maintenant.

       

Puis les chaussettes. Comme vous pouvez le remarquer, ma petite nouille au repos s'est fait la malle et la capote est tristement plate.

       

On remet les chaussures. C'est vrai quoi! On n'est pas des sauvages!

Les gants, ....

       

... et c'est presque fini.

Afin que le maillot ne sorte pas du collant, je maintiens le tout avec une ceinture.

       

Changement de chaussures. J'opte pour une paire de bottines lacées de douze centimètres de talons. Elles sont très comfortables.

   

   

Pour parfaire le tout, un baîllon papillon gonflable. Comme un fois gonflé les joues tirent sur le latex, j'ai quelques problèmes de respiration car les trous au niveau du nez de la cagoule se retrouvent sur le haut des lèvres.

       

   

Et voilà le résultat.

       

Le Film (partie 1)   Le Film (partie 2)

 Pour info, il y a le film en entier à la fin de l'article

La suite de la séance se passe sur le lit. Eh! Je ne boude pas mon p'tit confort.

Masturbation de ma verge gainée par l'étui pénien.

Gros plan du baîllon.

J'ai d'ailleurs quelques problèmes avec ce baîllon qui bouche les trous pour la respiration.

Je fini en fait par le retirer.
Je me chauffe la peau à coups de martinet.

       

   

On ne voit pas bien sur les captures d'image en plan large. Les lanières de cuir noir se confondent avec le latex. Désolé.

         

   

Ensuite, petite séance d'asphyxie. Attention, les petits enfants, il ne faut pas jouer avec les sac plastique!

       

An fait, c'est un plastique assez épais fermé au niveau du cou par un élastique. L'élastique et l'épaisseur du plastique font que la fermeture n'est pas tout à fait étanche. Un mince (très mince) filet d'air passe quand même. J'arrive donc à remplir mes poumons avec un gros effort. Le problème, c'est que l'effort pour respirer ainsi que celui de la branlette me bouffe pas mal d'oxygène.

Le Film (partie 3)   Pour info, il y a le film en entier à la fin de l'article 

Alors là, voici un accessoire du tonnerre de Dieu. Un cagoule entièrement fermée, avec seulement un petit tuyau pour respirer par la bouche. De plus elle est gonflable.

       

Maintenant par contre, je rend l'étanchéïté de la cagoule parfaite en mettant un collier.

   

En gonflant, j'augmente la pression du latex sur mon visage et bloque toute arrivée d'air éventuelle par le cou.

       

Il va sans dire que je n'y vois rien du tout. Je fait tout çà en aveugle.

Maintenant, en pliant le tuyau et en le maintenant ainsi grâce à un élastique, je ne peux vraiment plus respirer. La cagoule est parfaitement étanche.

   

Lorsque, à bout d'oxygène, je retire l'élastique pour laisser passer l'air, celui-ci n'arrive pas au débit souhaité de par le diamètre du tuyau relativement faible. La frustration est d'autant plus agréable.

Le Film (partie 4)   Pour info, il y a le film en entier à la fin de l'article 

Même jeu mais maintenant debout. Rendu totalement aveugle par la cagoule, mon équilibre sur les talons de douze centimètres est des plus précaire.

       

Le Film (partie 5)

Le film entier

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 07:39

 


Foot Job (Ti amo)

Bondage 8 (You can leave your heat on)

SM03 (Goldfinger - 99 red balloons)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 07:31
2

 

Le lendemain matin, Geoffrey eut l’extrême plaisir de voir Julia toujours ligotée au milieu du salon. Elle était restée attachée en tout plus de six heures, et n’avait évidemment pas fermé l’oeil de la nuit. La voyant ainsi, complètement soumise, il eut une violente érection. Il s’approcha d’elle, lui arracha son bâillon et enfonça sa verge dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge, collant son nez à son pubis.
- Rends-toi utile, avant de préparer le p’tit déj, lui dit-il! Tu m’as fait chier toute la nuit avec tes pleurs, fais-toi pardonner!
Elle le suça goulûment, le téta plutôt, aspirant violemment, ses lèvres bien jointes autour de sa hampe, sa langue l’écrasant sur son palais. Geoffrey, ses mains sur sa nuque, entretenait le mouvement de va-et-vient et l’éjaculation ne se fit pas attendre. Julia avala jusqu’à la dernière goutte de son sperme. Il la détacha, lui laissant le martinet dans le cul et alla prendre sa douche pendant qu’elle préparait à manger. S’installant à table, il fit mettre Julia à genoux dessous, entre ses cuisses:
- Ton petit déjeuner sera mon sperme, lui annonça-t-il!
Durant tout le temps où il mangeait, Julia le suçait sous la table.

Après manger, Julia alla faire sa toilette et s’habiller suivant les ordres de son seigneur comme la veille au soir, avec la ceinture à sangles sous sa robe ce coup çi.
- Tu iras au boulot ainsi habillée, lui dit-il, et ce soir tu me raconteras les réactions de tes collègues.
Ces réactions ne manqueront sûrement pas car Julia était particulièrement excitante avec ses longues bottes de cuir qui montaient jusqu’en haut des cuisses, ne laissant apparaître que de temps en temps une mince bande de sa peau blanche sous sa robe ultracourte. Cette idée semblait exciter Julia, car on voyait poindre ses tétons sous le mince tissu de sa robe.
- Sois à l’heure ce soir, la prévint-il! Je te rappelle que nous avons du monde à dîner.
En effet, ce soir là, Geoffrey et Julia avaient invité Xavier et son esclave Aurélie, tout juste sortie de l’école du club.

Le lendemain, Geoffrey put se libérer du travail en milieu d’après-midi. Il décida de passer au club, histoire de dire bonjour à Alexia et ses pensionnaires. Alexia l’accueillit avec ce sourire qui ravissait quiconque à qui il était adressé. Cette fille aurait fait bander un eunuque. Elle le conduisit aux chambres des pensionnaires.
La première était pendue par les pieds, une corde autour du cou fixée au sol la maintenait légèrement de travers. Son maître, lui expliqua Alexia, voulait qu’elle restât le plus souvent possible la tête en bas.
- Cela fait deux heures qu’elle est ainsi pendue, ajouta-t-elle. En fait, je l’avais complètement oublié, ainsi que sa copine, tout occupée que j’étais à faire les comptes de l’association.
Sa copine, justement, la seconde fille en pension, était attachée sur le dos, bras et jambes écartées à une table en bois. Un cylindre en bois d’environs vingt centimètres de diamètre, recouvert de cuir molletonné était placé entre ses reins et le plateau de la table. Il la forçait à se cambrer fortement. Son ventre, le haut de ses cuisses et son entrejambe étaient zébrées de traces de fouet. Son maître lui reprochait toujours de n’être pas assez cambrée. Elle, par contre, se trouvait dans cette position depuis la veille au soir. Elle était restée entravée dans cette position toute la nuit et toute la journée jusqu’à maintenant.
- Je vais m’occuper de ces demoiselles, proposa Geoffrey à Alexia. Tu peux remonter faire tes comptes.
Alexia remonta, le laissant seul dans le couloir des chambres. Il entra dans la seconde chambre. La vue de cette fille immobilisée sur cette table le rendit fou de désir, d’autant plus qu’elle était dans une position attrayante. Il enleva son pantalon et monta sur la table, se mettant à genoux entre ses jambes écartées. Il lui retira le bâillon et lui demanda son prénom:
- Véronique, Maître, répondit-elle.
- Très bien Véronique, lui dit-il. On va s’amuser un peu tout les deux.
Pour ponctuer sa phrase, il badigeonna le sexe offert ainsi que le sien de gel lubrifiant et entra d’un coup, dans son ventre et se mit à aller et venir sans ménagement. Véronique hurla de douleur lorsque son dos, immobilisé depuis la veille, roula sur le cylindre sous les assauts de Geoffrey.
Une fois vidé en elle, il la détacha et la mena à la salle de travail, à l’étage. Cette salle était aménagée avec un tas d’appareil dont un trapèze amovible, dont les cordes étaient reliées au plafond à des poulies, de sorte qu’on pouvait en régler la hauteur. Il le descendit au sol et fit coucher Véronique sur le dos, la barre du trapèze au niveau des reins, maintenue en place grâce à une sangle autour de sa taille. Relevant le trapèze d’environs soixante, soixante-dix centimètres, il souleva l’esclave du sol et lui attacha, à l’aide de cordelettes, les poignets aux chevilles. Ceci fait, il monta la barre du trapèze juste se qu’il fallait pour cambrer la jeune femme tout en laissant pieds et mains au sol afin de ne pas faire porter tous son poids sur ses reins.
- Tu ne bouges pas, lui ordonna-t-il! Je vais chercher ta collègue et je reviens.
En entrant dans la chambre de la pendue, Geoffrey reconnut Inès, l’esclave de Pierrick. Il se souvint que, comme Julia, elle était percée.
- Bonjour Inès, lui dit-il en s’approchant d’elle. Comment vas-tu?
Sans attendre la réponse, puisqu’elle était bâillonnée, il la détacha, lui laissant les bras et les genoux liés. Il prit le bout de corde qu’elle avait au cou, et le passa dans chacun des anneaux qu’elle avait aux seins et en fis une laisse. Passant devant elle, il la tira par la laisse jusqu’à la salle du premier. Il marchait vite, sachant qu’avec ses genoux serrés, elle aurait du mal à le suivre. La corde était tendue presque à l’horizontale tirant sur les tétons et les faisant remonter au niveau du cou. Les deux escaliers entre le sous-sol et le premier étage furent le plus difficile, pour elle. Comme elle n’avançait pas, Geoffrey tirait sur la laisse, l’obligeant à se dépêcher. Bien évidemment, elle rata une marche dans le deuxième escalier, et s’étala de tout son long, d’autant qu’ayant les mains liées dans le dos, elle ne put se rattraper.
En entrant dans la salle de travail, Geoffrey vit que Véronique n’avait pas bougé. Elle pleurait de douleur, la barre du trapèze lui sciant les reins.
- Tiens encore un peu, lui dit-il! Je m’occupe de toi dans un instant.
Il défit la laisse d’Inès ainsi que les liens de ses genoux. Il alla chercher dans l’armoire à accessoires trois chaînes, deux bracelets de cuir pour les chevilles et un poids en fonte de cinq cents grammes comportant deux petites chaînettes à un mousqueton. Il fixa les chaînes à des anneaux du plafond et mis les chevillières à l’esclave. Il glissa sous les chaînes une table sur laquelle il fit allonger Inès sur le ventre. Il prit chacune de ses jambes et les attacha aux chaînes. Il fit de même pour ses bras toujours liés dans le dos. Ceci terminé, il retira la table. Inès se retrouva pendue au plafond, face vers le bas dans une position très inconfortable pour les bras. Il accrocha ensuite le poids aux anneaux de ses tétons. Ses seins se trouvèrent joliment et douloureusement étirés vers le bas. Geoffrey la laissa ainsi pour s’occuper de Véronique.
Il fit descendre le trapèze et détacha la jeune femme qui eut beaucoup de mal à se remettre debout. Toujours dans le but de la cambrer, il la mena à un appareil composé d’un cadre de bois, oblique, traversé par des tasseaux transversaux. Dessous, était posé un treuil autour duquel s’enroulait une corde qui passait par une poulie du plafond et au bout de laquelle était accrochée une sangle de cuir. Il fit coucher Véronique sur le dos sur le cadre et attacha aux tasseaux ses chevilles, ses coudes et ses poignets. Il passa la sangle autour de sa taille, sans la serrer et se mit ensuite à la manivelle du treuil qu’il tourna pour tendre la corde. Celle-ci tira sur la sangle et souleva la taille de Véronique du cadre de bois. Il la tendit au maximum sans s’occuper des larmes de douleur qui jaillissaient des yeux de l’esclave puis la laissa à son appareil pour descendre boire un coup au salon en compagnie d’Alexia.
En entrant dans le salon, Geoffrey surprit Alexia en train de donner une correction à la soumise de permanence. On appelait ainsi la soumise que chaque membre du club était tenu de fournir un soir par semaine pour servir de soubrette et de femme de ménage pour la soirée. Celle d’aujourd’hui, d’après Alexia, était arrivée en retard. Alexia l’avait mise à genoux et ligotée comme un poulet. Elle lui battait les fesses avec un battoir de caoutchouc, lui arrachant des cris étouffés par un mouchoir en travers de sa bouche.
- Parce que tu es en retard, dit Geoffrey en s’adressant à l’esclave, je suis obligé de me servir à boire moi-même. Double la correction s’il te plaît Alexia, en frappant de toutes tes forces.
Alexia s’exécuta avec plaisir et les coups continuèrent, redoublant de violence. La soubrette se tortillait dans ses liens, son fessier s’échauffant sérieusement sous la raquette.
Geoffrey se servit une bière et la sirota tranquillement, regardant l’esclave s’agiter en recevant sa correction, puis retourna en salle de travail. 
Il tendit un peu plus la corde qui tirait sur les reins de Véronique et alla détacher Inès. Il l’installa sur le trapèze, la tête en bas, la barre passant sous les genoux de telle sorte que la jeune femme ne restait accrochée qu’à la condition de garder les jambes pliées. Prenant un long fouet à brin unique, comme ceux qu’utilisent les dompteurs, il s’entraîna à son maniement en visant les fesses. N’étant pas très doué, c’était le moins qu’on pouvait dire, il frappait autant à côté que sur la cible, mais peu à peu, il arrivait à faire claquer la pointe juste sur la croupe. Inès se tordait sous chaque cinglement, mais elle tint bon et ne tomba pas de son perchoir.
Il finit par laisser tomber et alla s’occuper de Véronique. Il la détacha de son cadre et l’installa par terre, à genoux, contre le mur mais dos au mur. Les poignets liés aux chevilles, la tête maintenue contre le mur par une sangle de cuir passant autour de son cou et dans un anneau planté dans le mur. La taille fut séparée du même mur par un T en bois. Elle offrait ainsi totalement à Geoffrey ses seins, son ventre et ses cuisses. Fort de l’entraînement sur Inès, il la fouettait en visant bien évidemment les seins. Un quart d’heure plus tard, son corps était recouvert de marques rouge vif.
Il détacha de nouveau les deux filles, et les pendit toutes deux au plafond: Véronique par les bras, les jambes et son harnais de tête, le ventre vers le sol, Inès par les jambes largement écartées, la tête en bas. Il fixa ensuite une large ceinture de cuir à la taille de Véronique et suspendis à la boucle un poids de cinq kilos. Pour Inès, il prit un demi haltère qu’il enfonça dans son vagin. C’était un haltère classique, composé de deux poids séparés d’une quinzaine de centimètres par une tige. Il retira l’un des poids et enfila sur la tige une gaine en caoutchouc imitant un pénis initialement prévue pour aller sur un vibromasseur. Le poids appuyait sur la vulve enfonçant complètement la tige dans le vagin. C’est alors qu’Alexia l’appela. Il descendit donc laissant les filles à leur sort.
En entrant dans le salon, Geoffrey vit un homme qu’Alexia lui présenta. C’était Yves, un membre du club habitant la province. Il était venu avec son esclave, dont la tenue était des plus originales qu’il ait été donné de voir à Geoffrey. Elle portait un corset de cuir très épais rigidifié par des baleines métalliques, qui lui serrait étroitement la taille. Des jambières assez spéciales, du même cuir que le corset, recouvraient la moitié avant de ses jambes. Elles étaient maintenues en place par des lanières régulièrement espacées et serrées sur la jambe de sous les fesses aux chevilles. Ces espèces de demi jambières s’accrochaient par des boucles au devant du corset ainsi qu’aux chaussures, qui, comme il se doit, comportaient des talons d’une hauteur impressionnante. 

Les jambes ainsi immobilisées en position droite, étaient reliées au niveau des chevilles par une courte chaîne. Les bras de l’esclave, gantés de cuir eux aussi, étaient attachés de chaque côté de la taille par les poignets, les coudes serrés dans le dos. Une muselière de cuir souple bâillonnait la fille. Du sommet du crâne, partait vers l’arrière une lanière qui passait entre ses fesses et entre ses cuisses pour venir s’accrocher à une boucle sur le ventre. Fortement tendue, cette lanière tirait la tête de la jeune femme en arrière. L’esclave ne pouvait que se tenir droite, le torse bombé, la poitrine en avant et la tête rejetée en arrière. De ce fait, sa démarche était des plus curieuses. Yves l’avait amené ainsi, cachée par une couverture, allongée à l’arrière de sa fourgonnette. Geoffrey ne put s’empêcher de caresser les fesses et les jambes saucissonnées par les lanières des jambières.

- Yves, lui dit Alexia, avait pensé organiser une petite fête pour le deuxième anniversaire du club.
- C’est effectivement une excellente idée, répondit Geoffrey. Elle permettra de réunir tous les membres et leurs soumises.
- C’est exactement ce à quoi j’avais pensé, dit Yves. Je me suis dit aussi que se serait une bonne occasion pour dresser une nouvelle esclave. Le problème est que tous ceux à qui j’en ai parlé ne connaissent pas de fille susceptible de faire l’affaire. Tu n’en connaîtrais pas une par hasard?
- Peut-être, répondis Geoffrey devenu soudain songeur.
Il pensait à l’amie de Julia, Christine. Julia la lui avait présentée au cours d’un dîner. C’était vraiment un beau brin de fille. Accepterait-elle un dressage? Il faudra qu’il en parle à Julia.
- Je ne suis pas sûr qu’elle fasse l’affaire, continua-t-il, mais je vais me renseigner et je tiendrais Alexia au courant.
- Ce qui serait intéressant, reprit Yves, c’est qu’elle ne soit au courant de rien avant d’arriver ici.
Ils continuèrent à discuter sur un scénario pour l’accueil de cette fille et le reste de la soirée, si bien que Geoffrey en oublia les esclaves en salle de travail. Il quitta précipitamment le salon en s’excusant et remonta voir les filles.
Il détacha tout ce petit monde et les ramena à leur chambre. Un peu plus, il oubliait l’heure et les invités. Une heure plus tard, il quitta le club, ayant attaché les filles suivant les recommandations: l’une la tête en bas, l’autre de telle sorte qu’elle soit cambrée.
Véronique était ventre contre le mur, jambes écartées, attachée au mur par les chevilles et la taille. A chaque poignet pendait un poids de cinq kilos. Elle avait ainsi dix kilos qui tiraient son torse en arrière qu’elle ne pouvait de toute façon pas ramener vers l’avant puisque écarté du mur par une plaque couverte de pointes en bois.
Inès avait les chevilles fixées à un écarteur, lui-même séparé du mur par un bout de bois. Ses bras, liés dans le dos, étaient accrochés à un anneau dans le mur. Il lui avait fait enlever ses bas et avais cinglé méthodiquement à la cravache l’arrière de ses cuisses et ses jambes, les recouvrant d’un quadrillage de marques rouges.
Les deux filles, chacune dans leur position, eurent de plus l’honneur de le recevoir dans leur anus.
En partant, il prévint quand même Alexia de ne pas laisser les filles, surtout Véronique, en position toute la nuit.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 09:09

Rien de spécial à dire. Ce fut simplement histoire de sortir les pinces à seins pour les dérouiller. En l'occurence ce furent mes tétons qui dérouillèrent.  Smile

Bon là, c'est juste pour montrer que je n'ai aucun complexe à faire voir que je ne suis pas anatomiquement terriblement équipé.  Laughing 2

         

On fait avec ce qu'on a, n'est-ce pas?   Pouty

Allez! Les pinces!  Bounce

         

Cà a au moins l'avantage de faire faire des abdos.

   

L'image suivante montre le genre de plan tout à fait inutile. Ayant décidé de cacher mon visage, j'aurais aussi bien pu vous montrer des carrées dans tout l'écran.

Mais je le redis, ces films n'avaient pas été fait à l'époque pour être montrés à tout le monde. C'est dommage pour vous, car la gueule de ma tronche vaut son pesant d'or là. Mais tanpis! De toutes manières, j'ai laissé ces plans car ce sont des plans de coupe.

Allez! J'suis sympa! J'vous montre quand même mes yeux alors que les pinces glissent des tétons.

Bounce Roll

   

Il y a tous les malheurs du monde dans ce regard.  Laughing 1

   

Ce serait vous insulter que de vous expliquer comment cela se termine.  No

   

                                      Le Film

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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  • : Les délires d'Anatole en solo. Masturbation anale ou non, habillé de nylon, latex ou spandex, voire tout nu, en talons hauts parfois attaché ou ligoté, avec souvent une pointe de SM du type martinet, pinces à seins, cire de bougie, etc...
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