Jeudi 12 juillet 4 12 /07 /Juil 20:08
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La femme était debout au milieu du salon, les bras en l’air attachés derrière la tête par les poignets et les coudes. Les coudes serrés derrière la tête lui interdisaient de descendre ses bras vers l’avant, sa tête faisant obstacle. Son corps était complètement offert. Elle ne pouvait plus se soustraire aux envies de l’homme qui se trouvait debout devant elle.
- Je vais pouvoir ainsi m’occuper tout à loisir de toi, lui dit l’homme. Je vais te déshabiller lentement. Très lentement.
La femme gémit. Son ventre palpita. Le nombril fut secoué de spasmes nerveux.
L’homme s’agenouilla. Il posa ses mains sur sa jupe, à l’endroit où ses hanches la retenaient, défit la fermeture éclair et fit descendre le tissu. Sa bouche se promenait sur la peau frissonnante du ventre.
- Bon Dieu!... Que ta peau est douce, dit-il. On dirait du satin... Du satin chaud.
Le corps de la jeune femme ondoyait. Des sons plaintifs passaient à travers le bâillon. Son ventre oscillait, ses jambes se frottaient, aidant la jupe moulante à descendre.
Le vêtement arriva au sol. On vit sa croupe dont les globes rebondis ondulaient au rythme des mouvements. Elle respirait difficilement. Ses seins se soulevaient en cadence.
- Regarde tes seins! Ils sont magnifiques!
Le regard de la jeune femme descendit vers ses seins.
- Il faut que je les embrasse de nouveau!
L’homme se releva et ses dents mordillèrent les mamelons en érection.
De petits cris sortirent de la gorge de la femme. L’homme s’agenouilla à nouveau. Ses lèvres s’attardaient sur le ventre, couraient sur la peau frémissante pour s’arrêter sur le slip trempé afin de permettre à sa langue de s’y glisser, chaude et humide.
La jeune femme se cabra, les jambes à demi-ouvertes. Il creusa son slip humide de ses doigts, remonta entre les lèvres vers le clitoris. Gémissante, hanches tremblantes, la femme poussa son pubis en avant vers la main dont les doigts caressaient la fente.
La jeune femme, toujours attachée de la même manière finit par être nue à part ses chaussures et ses bas.
La bouche de l’homme courait sur tout son corps et, remontant vers son visage, il lui enleva le bâillon pour l’embrasser goulûment.
L’homme finit par détacher ses bras, les ramena vers l’avant et lui attacha les poignets avec une chaussette. Elle resta debout au milieu du salon, nue avec ses chaussures et ses bas, confuse, attendant que l’homme lui dise quelque chose.
Ce dernier s’assit en face d’elle dans un fauteuil.
- Assieds-toi par terre, face à moi!
La jeune femme s’assit par terre en lançant des regards interrogateurs à l’homme.
- Ecarte les jambes le plus possible et branle-toi!
La jeune femme s’exhiba face à l’homme, les cuisses généreusement ouvertes sur un sexe palpitant, montrant ses moindres recoins, étalant sans vergogne sa morphologie la plus secrète.
Un tel spectacle fascinait l’homme. Il la contemplait dans cette pose crue et obscène. La jeune femme passait ses mains entravées sur sa vulve et commença timidement à se caresser. La vue de l’homme masqué, assis devant elle et la regardant, la troubla.
- Vas-y vraiment, lui dit-il! Ne fais pas semblant! Tu n’arrêteras pas tant que tu ne te seras pas réellement masturbée.
La jeune femme ferma les yeux afin de ne plus voir l’homme devant elle et ses mains s’activèrent un peu plus sur son bas-ventre. Ses doigts écartaient ses lèvres humides et s’attaquèrent au clitoris.
- Ouvre les yeux, ordonna-t-il, et regarde-moi! C’est pour moi que tu te branles. Fait en sorte de m’exciter!
Elle se mit à s’astiquer le bouton en gémissant pour montrer qu’elle aimait çà et qu’un sournois plaisir sexuel lui taraudait les organes. Elle donnait des coups de ventre dans le vide, mimant un coït, se branlant la chatte de ses doigts habiles et portant une bonne partie de ses caresses sur son clitoris archi-bandé.
Ses mains remontèrent le long de son ventre, le caressant, pour aller sur ses seins qu’elles massèrent. La jeune femme en agaça les tétons qui grossissent immédiatement. Elle les porta alors l’un après l’autre à sa bouche pour les lécher et les téter voluptueusement. Ses mains redescendirent à sa vulve qu’elles se mirent à triturer avec une fougue et un enthousiasme de plus en plus évident. La femme gémit à en fendre l’âme.
L’homme se leva, sortit et revint tenant un concombre d’une taille plus que respectable. Il fait six bons centimètres de diamètre.
Il le donna à la jeune femme qui, le prenant des deux mains, le porta à sa bouche. Durant quelques minutes, elle le léchait, sa langue remontant le long de la hampe, le titillant avec une sensualité extrême. Elle ouvrit la bouche et engloutit le gros bout étirant ses lèvres et se mit à le sucer pour le mouiller.
Elle approcha l’engin de son bas-ventre et le posa à l’orée de son con. A petites pressions sur ses lèvres, puis en le frottant sur son bourgeon prêt à éclater, elle attisa les vagues du plaisir. Doucement, elle l’enfonça sans difficulté dans ses chairs bien lubrifiées par sa cyprine abondante.
Son visage exprima une grande satisfaction lors de la pénétration de l’objet.
L’homme ne la quittait pas des yeux, fasciné.
Pendant un bout de temps, le concombre bien calé dans son sexe aux lèvres étirées par son diamètre imposant, la jeune femme lui imprimait un mouvement de va-et-vient, d’abord lent, puis de plus en plus rapide.
Elle haletait et gémissait de plaisir, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Elle finit par se poignarder littéralement le vagin, hurlant son plaisir à tout va.
- Stop! Arrête, ordonna l’homme!
La jeune femme ne l’entendit pas et continua.
- Oh! Tu m’entends! Arrête de te branler, cria-t-il!
La jeune femme lâcha le concombre qui resta enfoncé dans le vagin et lui jeta un regard suppliant.
- Oh, non! Pas maintenant, le supplia-t-elle! Laissez-moi me finir! Je suis complètement excitée.
- Çà, je le vois bien justement, répondit l’homme! C’est moi qui vais te faire jouir, mais pas tout de suite. Approche et suce-moi!
Frustrée, la jeune femme obéit. Elle retira le concombre de son con et vint s’agenouiller devant l’homme qui resta assis. Elle baissa son pantalon avec ses mains jointes et prit possession de son membre déjà raide qu’elle effleura de ses doigts minces.
Elle superposa ses deux mains attachées sur la tige et repoussa en arrière la peau soyeuse du prépuce pour dégager entièrement le gland qu’elle honora d’un premier coup de langue.
Puis, sa bouche chaude aux lèvres humides cerna la tête turgescente dont elle commença une dégustation qui fit frémir l’homme de plaisir. D’abord, de ses lèvres fermement serrées, elle massa le gland longuement puis, sans relâcher son étreinte labiale, elle y joint une violente succion qui fit cambrer l’homme irrésistiblement et le conduit, en quelques trop brèves secondes, au bord du spasme.
La jeune femme le devina aux tressaillements de ses genoux qui l’étreignaient sous les aisselles. Elle le libéra.
De la pointe de sa langue, elle parcourut la muqueuse rose foncé, fouillant le méat, explorant minutieusement le bourrelet avant d’entreprendre, sur la corde sensible, une série d’aller et retour d’une exquise délicatesse.
Elle reprit le membre dans sa bouche, l’enfonça lentement jusqu’à la garde, puis le sortit tout aussi doucement, ramena de nouveau le prépuce en arrière et lécha le gland, dessous, lentement, en tournant.
Elle le remit en bouche, pas toute la verge, rien que le gland qu’elle massait avec sa langue, suçait en aspirant doucement, faisant glisser ses doigts tout le long de la verge, sans serrer, juste pour faire bouger la peau. Elle pompait délicatement le membre qui vibrait entre ses lèvres et dont elle massait le gland entre sa langue et son palais, tout en prenant garde de dégager ses dents afin de ne pas rompre la douceur de l’étui de velours qu’était sa bouche toute entière.
- Arrête! Je n’en peux plus, lui dit l’homme!
Il la repoussa violemment, se dégageant de sa bouche. La jeune femme ne comprit pas.
- Allonge-toi par terre sur le dos, ordonna-t-il!
La jeune femme obéit et l’homme, se levant du fauteuil, s'agenouilla sur elle lui remontant les bras au-dessus de la tête et s’assit sur son thorax devant ses seins qu’il prit à deux mains et entre lesquels il plaça sa verge. Comprimant les seins l’un contre l’autre, il enserrait son membre dans un carcan moelleux et commença à s’y branler allant et venant comme dans un vagin.
- Lève la tête, dit-il, et mets ta bouche devant mon gland!
La jeune femme releva sa tête et la maintint de ses mains attachées de sorte que le gland de l’homme finisse sa course au bord de ses lèvres. Elle sortit la langue essayant de le titiller au passage.
Au bout d’un moment, l’homme sortit sa verge d’entre les mamelons de la femme et recula pour s’asseoir sur son ventre. Il baissa la tête et plongea le visage dans les seins sur lesquels il le frotta dans tous les sens tout en léchant, mordillant et malaxant de ses mains.
Au bout d’un moment, l’homme descendit de sur la jeune femme et la retourna sur le ventre. Il plia ses jambes et relia chaque cheville au coude du bras respectif avec le scotch d’emballage, les mains libres de la jeune femme posée sur le sol de chaque côté de ses hanche, ce qui eut pour effet de bien écarter les cuisses, dégageant sa vulve, et de cambrer violemment son dos, faisant ressortir de manière provocante ses fesses. Elle se trémoussait doucement.
L’homme s’assit devant sa tête qu’il encadra de ses cuisses. Il releva le visage de la femme de ses mains, plaçant sa verge devant sa bouche.
- Ouvre la bouche!
La jeune femme ouvrit grand la bouche. L’homme y engouffra sa verge qu’elle engloutit dans sa presque totalité. Elle la lubrifia de sa salive par quelques mouvements de succion et entreprit une fellation des plus soignées quoique très inconfortable.
Le visage de l’homme, les yeux fermés, traduisait un grand émoi.
Les lèvres de la jeune femme suivaient au plus près le tour de son organe qui pénétrait et ressortait de sa bouche, luisant de salive. Sa tête se balançait de ce qu’elle pouvait pour imprimer à sa bouche un mouvement de va et vient. L’homme l’aidait par des oscillations légères de ses reins. La jeune femme avalait la verge si profondément que les poils lui frôlaient le nez et ses lèvres s’écrasaient sur le ventre. Un haut le coeur accompagné d’un râle la prit lorsque le gland lui toucha la luette. Elle pompait goulûment, n’émettant que quelques sifflements quand elle reprenait sa respiration. Sa longue chevelure blonde se balançait au rythme du plaisir de l’homme en gémissant de sa bouche pleine. Ses joues se gonflaient, se creusaient...
C’est lui maintenant qui, bougeant ses reins, donnait la cadence qui lui convenait le mieux, utilisant sa bouche comme un vagin: lentement... Arrêt au fond de la gorge...
Brusquement, il imprima une cadence rapide. L’expression sur son visage passe de la crispation à une béatitude extrême. Son rythme s’accéléra pour devenir brutal.
La tête de la jeune femme était durement secouée. Elle laissait sortir des éructations et des râles fréquents quand le membre de l’homme touchait le fond de sa gorge. Elle eut beaucoup de mal à reprendre sa respiration.
- Çà vient, dit-il en haletant!... Çà vient!... N’en perds pas une goutte!
L’homme accéléra encore le rythme. La jeune femme, la tête brusquement secouée par les assauts de l’homme, se mit à émettre des bruits incongrus en comprimant fortement les lèvres sur le gland dans l’intention de ne rien perdre du précieux sperme.
L’homme poussa un rugissement quand jaillit dans la gorge de la jeune femme un foutre épais et abondant qu’elle n’avala pas. Il continuait à aller et venir, lentement maintenant, sa queue luisante de son sperme qui ruisselait par la commissure des lèvres.
Le bas-ventre de la femme ondulait doucement alors qu’elle laissait sortir de sa gorge des plaintes étouffées.
Il sortit sa verge de la bouche, la prit en main et la frotta contre le visage de la jeune femme, la faisant glisser d’une joue à l’autre, les maculant de sa liqueur qu’elle avait gardée en bouche et recrachait petit à petit pour qu’il l’étale sur son visage.
L’homme s’écarta, regarda la jeune femme et lui sourit. Il se releva et vint se coucher derrière elle, entre ses cuisses écartées qu’il releva pour les placer sur ses épaules et, la prenant par les hanches, il la souleva, la cambrant encore plus si possible pour mettre devant sa bouche la vulve rasée de près.
La jeune femme, les seins écrasés de tout son poids sur le sol, le visage maculé de sperme, gémit fortement de l'inconfort de sa position.
L'homme colla sa bouche à la bouche verticale. Sa langue entra aussitôt en action pour titiller les grandes lèvres et pour jouer avec les nymphes sensibilisées par la branlette avec le concombre.
La jeune femme laissait sortir une plainte qu'elle ne pouvait conserver dans les profondeurs de sa gorge et se tortillait à la manière d'un ver de terre en faisant onduler son ventre.
- Doucement, lui dit l’homme! Je ne t'autorise pas à jouir encore. Tu ne prendras du plaisir que sur mon ordre. Alors, arrête de gémir et de bouger!
Elle inspira profondément pour se calmer et se mordit la lèvre inférieure. L'homme replongea la tête dans le bas-ventre et lapa les chairs roses et luisantes, s'occupant maintenant plus particulièrement de son anus que ses doigts massaient délicatement, sur les bords d'abord, puis de plus en plus franchement au centre. Les premiers réflexes de contractions passés, les sphincters se relâchaient peu à peu. Son index en profita évidement pour forcer le passage, ce qui provoqua une nouvelle contraction. Mais une fois à l'intérieur, il commença à fouiller.
Le visage de la jeune femme traduisit une concentration entièrement tournée vers ce plaisir nouveau.
L'homme prit une carotte dont la taille rappelait celle d'une verge en érection. Pour l'esthétique, elle avait encore ses feuilles. Il la plaça devant une de ses mains.
- Suce-la, ordonne-t-il!
La jeune femme prit le légume dans sa main en en se tortillant à l’extrême, l’amena devant son visage, ouvrit la bouche et se mit à lécher le légume, l’enfonçant profondément dans la gorge afin de bien le lubrifier de sa salive.
L'homme lui enleva la carotte de la bouche, écarta d'une main les lobes charnus et, à petites pressions sur son anus, il l'enfonça sans difficulté dans ses entrailles.
Il commença un mouvement de va et vient, faisant et refaisant inlassablement le même chemin, de l'anus jusqu'au fond de ses entrailles, fouillant, fouissant et fouinant pour bien imposer sa maîtrise des lieux, agaçant de l'autre main le clitoris à tel point qu'à plusieurs reprises, le réflexe étant le plus fort, la jeune femme projeta sa croupe en arrière.
Elle commençait à prendre du plaisir de cette intromission. Des gémissements de plus en plus forts sortaient de sa gorge. Elle se frottait les seins sur le sol alors que sa croupe se mettait à onduler pour appuyer plus fortement le clitoris sur la main dispensatrice de plaisir. Elle semblait avoir de plus en plus de mal à se retenir de jouir. Quelques petits cris sortirent involontairement de sa gorge.
L'homme enfonça complètement la carotte dans l'anus et, lâchant le tout se recula pour admirer la jeune femme dont le corps entravé ondulait doucement avec les longues feuilles sortant de son cul.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 14:05

Et oui, encore un interlude!

Je suis encore une fois à la bourre quant à la préparation de mes vidéo perso. Pour plusieur raisons: d'abord parce que c'est du boulot, ensuite parce que je me suis essayé à l'écriture. Et oui! D'ailleurs, pour vous faire patienter, je vais vous proposer le premier épisode de l'histoire que je suis en train d'écrire. Le style en est affreux (je m'en suis rendu compte en relisant), mais bon, on fera avec.

De plus, pour une petite ambiance musicale, je vous propose quelques clips qui sont en fait des exercices de montage de photos qui m'ont permi de prendre en main le logiciel. Comme pour les textes, c'est sans aucune prétention.

JULIA (c'est l'histoire)

Les clips

 

Par Anatole - Publié dans : anatole
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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 13:28


Chaussure 1 (Barry White)


Latex 1 (I cant leave without you)


Lingerie 1 (Morphée)


Collants Hommes (George Michael - Roxanne)


Jolie fille 1 (Whiter shade of pale)

Bondage 1 (Ooops, I did it again)
Par Anatole - Publié dans : Les CLips
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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 12:18
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Une jeune femme marchait dans la rue d’un pas décidé. Elle portait un petit chemisier blanc, de fins gants noirs et une jupe qui moulait ses fesses et ses cuisses pleines et s’arrêtait au-dessus des genoux. Elle marchait fièrement cambrée, ondulant des hanches, juchée sur les hauts talons de ses escarpins vernis noirs, ses jambes gainées de bas noirs et brillants.
Elle arriva à la porte d’un immeuble, chercha un petit papier dans son sac à main, le lit et composa le code d’entrée. La serrure électrique claqua. La jeune femme poussa la lourde porte en bois et entra.
Sur le palier, devant une porte, elle appuya sur le bouton de la sonnette. La porte s’ouvrit.
Une voix d’homme.
- Madame ?
La femme timidement en baissant légèrement le regard.
- Je suis la femme dont le mari vous a téléphoné.
- Ah oui, répondit l'homme! Je vous attendais. Entrez!
La jeune femme entra et pénétra dans le salon de l’appartement. Un canapé, une table basse, un fauteuil et un buffet. Elle entendit la porte qui se refermait et se retourna vers l’homme qui la suivait et lui dit d’une voix mal assurée.
- Mon mari vous a-t-il prévenu qu’il sera légèrement en retard?
- Oui, oui. Je suis au courant, répondit l’homme en tendant le bras vers le fauteuil. Mais je vous en prie, asseyez-vous.
- Merci.
Mal à l’aise, elle s’assit dans le fauteuil face à l’homme en lissant sa jupe. Timide, elle plaça son sac à main sur ses cuisses jointes à l’endroit de l’ourlet de la jupe.
- En attendant que votre mari arrive, permettez que j’aille me changer, demanda l’homme d’une voix douce.
La femme n’osa pas regarder l’homme en face.
- Je vous en prie, faites, balbutia-t-elle.
- Merci.
L’homme tourna les talons et sortit du salon. La femme resta seule. Toujours très mal à l’aise, elle retira ses gants en regardant autour d’elle et les mit dans son sac qu’elle posa par terre, à côté d’elle. Elle se tortillait dans le fauteuil, lissant machinalement le bas de sa jupe sur ses cuisses. Son trahissait l’angoisse. Son regard errait dans la pièce. Cherchant une position assise qui lui conviendrait, elle croisait et décroisait ses jambes provoquant le crissement de ses bas. Le mouvement de ses cuisses repoussait petit à petit la jupe, laissant entrevoir un peu de la peau blanche de ses cuisses entre le haut des bas et le tissu de la jupe.
La sonnerie d’un téléphone portable retenti doucement. La jeune femme sursauta. Ses mains se précipitèrent sur son sac qu’elles ouvrirent nerveusement. Elle en sortit le portable qui sonnait, le porta à son oreille et répondit.
- Allô? ...
Elle fut surprise.
- C’est toi mon chéri? Mais où es-tu? Nous t’attendons! ... A la maison? Mais qu’est ce que ...
Elle se leva.
- Quoi? Tu ne viendras pas? Mais! Et moi? ... Je reste? Mais! ...
Elle écoutait, en marchant lentement vers la fenêtre, dos à la porte du salon. Sa surprise se transformait en angoisse.
- ... Mais! ... Que je quoi? ...
Elle se tut, médusée par ce que disait son mari. L’homme apparut derrière elle. Il était habillé d’amples vêtements de cuir noir, portait une cagoule de la même matière qui lui cachait le visage, découvrant seulement ses yeux et sa bouche. La femme paniquait.
- Allô? ... Allô! Mais qu’est ce que c’est que cette plaisanterie, cria-t-elle! ... Allô!
La jeune femme regardait le téléphone qu’elle avait éloigné de son oreille, très perplexe.
- Vous avez bien entendu, lui confirma l’homme.
La femme sursauta en poussant un cri. Elle se retourna, surprise à la vue de son accoutrement. Elle tenait toujours son téléphone dans la main, contre sa poitrine.
- Ce stratagème a été mis au point par votre mari afin que vous veniez seule ici, lui expliqua l’homme en cuir. Vous resterez en ma compagnie pendant quelques jours.
- Mais! ... Et mon ... commença la jeune femme interrompue par l’homme.
- Et votre travail? Ne vous inquiétez pas!
Il s’approcha d’elle, lui prit le téléphone et l’éteignit.
- Votre mari les a prévenus. Vous a-t-il expliqué au téléphone les raisons de votre présence ici?
La jeune femme acquiesça d’un signe de tête, baissant les yeux et rougissant de honte.
- Répondez-moi s’il vous plaît! Que vous a-t-il demandé?
- De vous obéir en tout, quoique vous demandiez, répondit-elle d’une petite voix hésitante.
- Bien! Placez-vous au milieu du salon madame s’il vous plaît!
La jeune femme, comprenant que sous le ton aimable et courtois la requête de l’homme était en fait un ordre, s’exécuta. L’homme la contourna en la regardant et alla s’asseoir dans le fauteuil qu’elle occupait précédemment.
- Montrez-moi vos jambes, voulez-vous?
Hésitante, elle adressa à l’homme un regard dans lequel passa une lueur d’affolement. Le visage de l’homme, sous la cagoule demeurait imperturbable. Alors, elle fit ce qu’il venait de lui demander et, de ses deux mains, elle releva sur ses cuisses l’ourlet de sa jupe qu’elle remonta jusqu’en haut de la lisière de ses bas.
- Plus haut! Je veux les voir toutes entières, lui ordonna-t-il.
Elle obéit encore, et releva le tissu jusqu’à son ventre pour lui dévoiler la totalité de ses cuisses blanches entre lesquelles se distingue une petite culotte de satin blanc brillant.
- Vous êtes délicieuse de gêne, dit-il avec un léger sourire amical. Veuillez, je vous prie, tourner sur vous-même.
La jeune femme s’exécuta et l’homme eut alors la révélation de l’ampleur somptueuse de sa croupe tendant la coquette culotte qui galbait intimement les deux hémisphères.
- Montrez-moi vos seins maintenant, s’il vous plaît!
Elle lâche la jupe, qui, étroite et moulante, ne retomba pas complètement, et entreprit de déboutonner son chemisier avant de l’écarter des deux mains pour dégager une poitrine splendide simplement soutenue par deux petits balconnets.
- Relevez votre jupe et marchez!
Après une brève hésitation, elle se mit à aller et venir latéralement devant l’homme qui la suivait des yeux. Elle avait le corps bien droit, le buste cambré faisant saillir ses seins qui tremblaient doucement à chacun de ses pas. L’homme la fit se déplacer de gauche à droite et revenir, puis d’avant en arrière, se retourner et recommencer encore, jouissant tour à tour de la vue de ses hanches balancées qui désaxaient les fesses mouvantes en les projetant d’un côté et de l’autre, de sa taille flexible, de son ventre, de sa fente troublante dont on devinait les lèvres épaisses et pulpeuses sous le satin, de ses seins enfin, dont la quasi-nudité, comme celle de sa croupe et de son ventre, était rendue plus suggestive par la présence des vêtements simplement repoussés.
L’homme la fit s’arrêter devant lui.
- Accepteriez-vous, comme vous l’a demandé votre mari, de vous donner à moi?
- Oui, répondit la jeune femme, les lèvres tremblantes.
- Alors, s’il en est ainsi, baissez votre slip, dit-il, écartez les jambes et ouvrez largement votre sexe de vos doigts pour me demander de vous prendre.
La jeune femme le regardait les yeux écarquillés, semblant ne pas comprendre ce qu’on lui demandait.
- Allez! Faites-le et dites: Je veux être à vous, prenez-moi!
La jeune femme obéit et roula son slip sur ses hanches avant de le faire glisser, en se tortillant légèrement, jusqu’à mi-cuisses, découvrant son sexe fraîchement rasé. Puis, s’ouvrant comme l’exigeait l’homme, elle prononça, les larmes aux yeux, d’une voix sourde, les mots qu’il attendait.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
- Venez plus près de moi, demande-t-il. Approchez-vous!
La jeune femme lâcha sa vulve et s’approcha de l’homme.
- Stop, hurla-t-il d’un ton brutal en levant la main!
La jeune femme s’arrêta brusquement en le regardant surprise.
- Je ne vous ai pas dis de lâcher votre sexe! Retournez au bout de la pièce et revenez vers moi en vous écartant la vulve. En partant de là-bas vous me redirez ce que je veux entendre!
Faisant demi-tour, la jeune femme alla se placer au bout de la pièce. Elle se retourna vers l’homme, se pencha légèrement en avant alors que ses mains descendaient vers son sexe, ses doigts attrapant les lèvres de sa vulve, et les écartant très largement en tirant dessus.
Le visage légèrement baissé, la jeune femme refit sa demande en levant des yeux humides sur l’homme.
- Je veux être à vous, prenez-moi!
D’un geste de la main l’homme l’invita à venir vers lui.
La jeune femme, humiliée, légèrement penchée en avant, tenant de ses deux mains les lèvres de sa vulve largement écartées, montrant l’intimité de ses chairs, avança, jambes écartées, à petits pas vers l’homme.
Arrivée devant lui, la jeune femme s’arrêta.
- Montrez-moi la mieux, demanda-t-il.
La vulve devant le visage de l’homme, elle poussa ses fesses en avant pour mieux lui offrir son intimité. L’homme approcha sa main.
Brusquement cabrées, la jeune femme pousse un cri alors que deux doigts volontaires prirent brutalement possession de son ventre. Par réflexe la jeune femme lâcha les lèvres de sa vulve et repoussa la main de l’homme.
- Bon sang, gronda-t-il en colère! Vous ne savez pas ce que vous voulez! Allez! Ecartez-moi ce sexe!
La jeune femme s’exécuta et émit un long gémissement plaintif lorsque les deux doigts de l’homme s’enfoncèrent de nouveau dans son ventre et qu’ils fouillèrent un moment en la secouant d’avant en arrière pour le plaisir de la faire se crisper de douleur avant de la libérer et de lui ordonner plus éprouvante épreuve encore.
- Retournez-vous! Penchez le buste en avant et écartez bien vos fesses pour redire les mêmes mots!
Les yeux brillants de larmes, la jeune femme consentit à l’humiliante exigence et, les seins ballottant, à peine retenus par les petits balconnets du soutien-gorge, prit la pose en offrant à l’homme sa croupe.
- Cambrez les reins mieux que çà s’il vous plaît, demanda-t-il d’un ton toujours très poli.
La croupe superbement tendue, ses doigts crispés et tremblants écartant ses fesses, la jeune femme dévoilait à l’homme l’ultime et secret réceptacle d’une perverse volupté.
- Je veux être à vous, prenez-moi, dit-elle d’une voix mourante!
Cette fois, une plainte rauque s’échappait de ses lèvres qu’elle mordit pour se contenir, tête rejetée en arrière et demeurant offerte aux doigts qui, superposés en sifflet, se foraient un chemin, la raidissant de douleur.
L’homme, commenta simplement.
- Vous êtes encore très étroite.
Il arrêta de la sonder et lui présenta ses doigts effluents.
- Nettoyez de votre bouche, lui ordonna-t-il!
La jeune femme, toujours penchée en avant, la jupe relevée sur ses reins, ses mains écartant les lobes charnus de ses fesses, se retourne vers l’homme et ouvrit les lèvres en arrondissant sa bouche pour y recevoir les doigts humides de ses oeuvres. Elle les lécha jusqu’à ce que l’homme rende libre sa bouche. De sa main il lui caressa la joue et, la prenant sous le menton, il lui releva le visage vers le sien et la regarda dans les yeux. Il la lâcha puis d’un mouvement de la main lui dit de se relever. Elle se redressa devant lui.
- Parfais! ... Remontez votre culotte, dit-il, redescendez votre jupe et placez-vous les mains dans le dos au milieu du salon.
La femme se rhabilla devant le visage de l’homme qui ne la quittait pas des yeux et alla se placer debout au milieu du salon. Elle attendait, les mains dans le dos, la suite des événements.
L’homme se leva et dit :
- Vous allez voir! Je vais prendre grand soin de vous. Je vais faire de vous une autre femme.
Lentement, il s’approcha d’elle et lui caressa doucement la joue. La jeune femme, par réflexes, recula légèrement son visage.
- Laissez-vous faire, dit-il sur un ton rassurant. Durant ces quelques jours vous allez connaître des plaisirs d’une volupté inattendue, croyez-moi.
La jeune femme avait le souffle rauque. Elle était très mal à l’aise.
L’homme descendit ses mains sur son cou et ses épaules. Il écarta les pans du chemisier qu’il fit glisser le long de ses bras, dégageant sa poitrine maintenue par le soutien-gorge dont les étroits balconnets remontaient les seins pour mieux les offrir.
- S’il vous plaît ... Non, murmura la femme!
- Chuuuut, fit l’homme doucement! ... Laissez-vous faire, vous dis-je.
Ses mains caressaient maintenant la poitrine de la femme qui se retint de bouger et de crier en fermant les yeux et en se mordant la lèvre inférieure.
Mais elle craqua au moment où l’homme se pencha pour embrasser seins. Elle ramena ses bras en avant sur la poitrine, voulant, par réflexe, empêcher l’homme.
- Non, dit-elle d’un ton sec en regardant l’homme dans les yeux!
L’homme attrapa les poignets de la jeune femme, les sépara et les maintient doucement mais fermement écartés de son corps. Il soutient son regard et lui dit gentiment :
- Vos bras dans le dos madame s’il vous plaît!
La femme le regardait angoissée. Elle déglutit un coup, ferma de nouveau les yeux et fit oui de la tête. Il lâcha alors ses bras qu’elle ramena, par un gros effort de volonté, doucement dans le dos.
- Bien! ... Merci, dit-il!
Son visage descendit vers les seins de la femme et sa langue et sa bouche se mirent en action. La jeune femme, dont les yeux étaient toujours fermés, sursauta quand la langue de l’homme entra en contact avec sa peau. Ses seins furent caressés, malaxés, embrassés, mordus par les mains et la bouche de l’homme en noir qui finit par remonter, embrassant la jointure des seins, l’épaule, le cou, la joue et tout le visage.
Alors que ses lèvres voulurent rejoindre celle de la femme, celle-ci se rebiffa à nouveau, écartant de ses mains le visage de l’homme, criant presque d’un ton sec :
- Non!
L’homme s’écarta et la regarda.
- Allons, allons, dit-il d’un ton doucereux ... Calmez-vous!
Il la prit par les épaules et la tourna doucement face au mur, lui prit les bras qu’il ramena dans le dos, sans forcer. La laissant ainsi, il recula et alla chercher dans un tiroir un rouleau de ruban adhésif d’emballage.
- Vous n’êtes pas très coopérative madame, lui reprocha-t-il. C’est dommage.
Il se rapprocha de la jeune femme, posa le ruban adhésif par terre et, restant derrière elle, plaqua son corps contre le sien, mit ses mains sur sa taille qu’il caressa, allant du ventre aux fesses. Elles remontèrent le long des hanches pour s’occuper de nouveau des seins. Pendant ce temps sa bouche embrassait et mordillait sa nuque.
Puis il s’accroupit, sa bouche descendant le long de la colonne vertébrale et ses mains, longeant ses bras, s’arrêtèrent aux poignets. Il rapprocha les mains et, pendant qu’il les maintint fermement ensemble d’une main, il attrapa de l’autre le ruban adhésif et entoura rapidement les poignets de la jeune femme avant que celle-ci ne puisse s’en rendre compte.
La lâchant, il se releva et la regarda. Elle se rendit compte que ses mains étaient entravées. La panique la fit se trémousser et se tortiller alors que visiblement cela ne servait à rien.
L’homme lui dit d’un ton plus familier :
- Calme-toi ma jolie. Ainsi tu garderas les mains dans le dos!
Il s’approcha d’elle et entreprit de lui ligoter les bras dans le dos. Il serra les coudes de la femme ensemble avec le ruban adhésif avant de refaire au propre le lien de ses poignets. Il la prit par les épaules et la retourna face à lui. Reculant, il l’admira quelques secondes. Elle gémit doucement en se tortillant légèrement pour libérer ses bras. Cela n’eut comme effet que de faire joliment bouger ses seins.
- Tu es superbe ainsi, la complimenta-t-il.
L’homme se retourne et va vers la commode.
- Et je vais te rendre plus belle encore!
- Qu’allez-vous faire de moi, demanda-t-elle le suivant du regard?
- Te faire jouir, répondit-il en fouillant dans le tiroir! Puis, tournant la tête vers elle :
- Simplement te donner du plaisir. Tu es venue pour ça non?
Il sortit un paquet de mouchoir en papier et une écharpe blanche, revient vers la jeune femme en ouvrant le paquet. Il sortit tous les mouchoirs et les plia en deux.
- Ouvre la bouche!
La femme résista avec une expression interrogative sur le visage.
- Allez! Ouvre grand la bouche, dit-il lui tapotant gentiment la joue
Elle s’exécuta et il lui plaça dans la bouche le paquet de mouchoirs pliés en deux qu’il maintint en place en la bâillonnant avec l’écharpe.
- Ainsi tu te tairas et ne crieras plus!
L’homme prit et releva les poignets de la jeune femme la faisant se courber en avant ses bras étant tendus et la poussa jusqu’au canapé où il la fit s’allonger sur le dos. Il entreprit aussitôt de s’occuper activement de sa poitrine, caressant, embrassant et mordillant les seins offerts. La jeune femme commençait à se tordre. Les mamelons débordaient des bonnets du soutien-gorge.
Progressivement, il descendait vers le ventre. Puis ses mains caressèrent les jambes gainées de noir qui se mirent à bouger en se frottant l’une contre l’autre faisant crisser les bas érotiquement. Il repoussa la jupe, dévoilant les jarretelles et la peau blanche de ses cuisses au-dessus des bas, puis, la remontant plus haut, découvrit le renflement moelleux de son sexe parfaitement épilé sous le mini slip de satin blanc.
Le corps de la jeune femme ondulait doucement, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration de plus en plus nerveuse, entrecoupée de gémissements.
- Oh que c’est mignon, dit l’homme! Un petit slip de satin blanc, tout brillant, pour cacher cette vulve si appétissante.
Il écarta les cuisses et sa paume remonta, effleurant sa peau. Le slip s’agita dans les reflets du satin. Sur le tissu collé à ses chairs, ses doigts glissèrent doucement, la palpant. Il pinça son sexe à travers le tissu plissé.
Les hanches de la jeune femme furent prises de mouvements convulsifs. Une tache d’humidité apparut sur le satin du slip.
- Exactement comme je les aime, dit-il! Superbe! Toute lisse et moelleuse à souhait! A croquer!
L’homme écarta vraiment les jambes de sa prisonnière et plaça sa tête entre ses cuisses fermes et douces pour embrasser et lécher à pleine bouche sa vulve à travers le tissu. Ses mains s’occupaient pendant ce temps de ses seins.
La jeune femme, dont le souffle rauque était entrecoupé de longs soupirs, émit à travers son bâillon une série de gémissements et de petits cris étouffés. Ses hanches ondulaient maintenant frénétiquement, poussant en avant son bas-ventre vers la bouche dispensatrice de plaisir. Le tissu de la culotte, trempée maintenant, collait à ses chairs.
L’homme la lâcha et se releva pour aller au milieu du salon. La jeune femme, qui commençait à chauffer sérieusement, le regarda.
- Lève-toi! Viens par ici, lui ordonna-t-il!
La jeune femme se releva un peu péniblement du fait des bras liés dans le dos

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 12:45

Si! Je vous jure que c'est possible! Bon, effectivement, je ne sais pas si je pourrais un jour faire plus débile que çà.

Tout commence par une légère branlette. Le but est de durcir la nouille mais pas trop.

         

         

Juste suffisament pour pouvoir enfiler une capote.

         

PipiCapote 010

On y passe ensuite un élastique serré et ...

          

...

Surprise....

Par Anatole - Publié dans : anatole
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