Samedi 10 février 6 10 /02 /Fév 08:29

Je reproduit ici un article que j'ai posté sur le Forum Sexualité de Doctissimo. J'y raconte une séance de self-bongage qui aurait pu mal se terminer.
  Phew  

C'était chez des amis qui m'avaient prêté leur appart pour les vacances. Cet appartement était un grand studio en rez de chaussée avec une grande baie vitrée de quatre ou cinq mètres donnant sur un petit jardin privatif dans une cour intérieure. Manque de bol pour le côté vacance et grasse matinée, l'immeuble était en ravalement et dès huit heures du matin des ouvriers faisaient un raffut d'enfer.
En fait il bossaient mais pour moi impossible de faire une grasse mat. Cela ne me gênait pas trop outre mesure, je suis un lève tôt et de toute manière, j'était là pour visiter la région donc peu à la maison. Pour le ravalement, des échafaudages étaient placés le long des murs extérieurs (logique) et les ouvriers passaient tout le temps devant la baie vitrée en traversant le jardin privatif transformé en champs de bataille par les travaux. Comme c'était l'été, lorsque j'était à la maison, la baie vitrée était ouverte. En quelques jours j'ai plus ou moins copiné avec eux, ne serais-ce qu'en leur offrant du café lorsqu'ils arrivaient le matin et que j'étais en train de prendre mon petit déjeuner.
 
Vers la fin du séjour, l'idée m'est venue d'utiliser le fait que ces ouvriers travaillent devant chez moi pour pimenter une séance de self-bondage. Je sais qu'ici peu de gens sont adeptes de ce genre de pratique mais je me permets quand même de relater cette expérience.
 
La veille au soir, je commence la préparation de ma séance. La baie vitrée comportait un rideau roulant à l'extérieur et un rideau en velours épais à l'intérieur supporté par une tringle à anneaux toute simple. Je laissai le volet extérieur ouvert et fermai le lourd rideau intérieur. Je dévissai les fixation de la tringle de sorte qu'elle ne fut plus que posée sur les pattes fixées au mur. Je mis à chaque bout de la tringle une cordelette d'environs cinq mètres.
 
Je plaçai ensuite au milieu de la pièce, devant la baie vitrée, une chaise en bois toute bête prise dans le coin cuisine. Les cordelettes arrivaient jusqu'à la chaise. En tirant dessus, je tirais sur letringle et celle-ci tombait lourdement sur le sol, découvrant la baie vitrée et permettant au gens de l'extérieur de voir à l'intérieur. Vous commencez à voir le topo? Bon, remise en place du rideau et préparaton de ma personne.
 
Je me mis nu, rasai proprement mon sexe et mon anus et m'habillai en sous-vêtement féminin. Bas de nylon noir, porte-jaretelles noir, serre-taille en vinyl noir laqué brillant et serré fortement. Sans oublier les escarpins rouges à talons de quinze centimètres et des gants longs en satin rouge. Je me mis sur les tétons des pinces comportant une fixation sur laquelle étaient placés normalement des poids. Je forçai le pincement en rajoutant par dessus chaque pince une pince à linge. Je m'injectai ensuite une bonne dose de flotte mélangée à de la glicérine dans le rectum. Je ne suis pas allé chier de la journée en prévision de cette soirée et pour ne pas perdre ni l'eau ni le reste, je me bouchai l'anus avec un god gonflable. Ce dernier était équipé d'un vibrateur à brancher sur le secteur. Ainsi équipé, je continuai la préparation de mon lieu de torture.
 
Je plaçai devant la chaise un aspirateur dont j'avais enlevé le balais, ne gardant que le tuyau. C'était un aspiratur à eau. Le détail a son importance, vous verrez plus tard. Je le branchai sur un dispositif que j'avais découvert quelques jours auparavant. Il s'agissait d'un programmateur secteur qui reliait l'appareil branché au secteur de manière aléatoire. Mes amis s'en servaient pour simuler une présence en leur absence en y branchant des lampes et la radio. Il y avait deux programmateurs. Donc, je branchai l'aspirateur sur le premier et une rallonge que je tirai jusqu'à la chaise sur le second. Je continuai ensuite ma préparation perso.
 
Je me confectionnai un "ring gag", un baîllon anneau. Je ne sais pas comment on peut traduire cela. J'avais découvert dans un tiroir deux anneaux de la tringle à rideau. C'étaient des anneaux en trop que mes amis avaient gardé au cas où. J'en pris un. C'était un anneau épais en bois d'environs quatre ou cinq centimètre de diamètre. Je le mis en bouche, m'écartant très largement les mâchoires. Je le fixai derrière la nuque grâce à une ficelle partant de chaque côté de la bouche. Il ne pouvait plus sortir de ma bouche et m'obligeait à garder la bouche grande ouverte. Je trouvai deux baguettes chinoise pour manger. Elle étaient en bois verni. Je les assemblai grâce à deux élastiques placé à chaque bout. Les écartant avec mes doigts, je mis ma langue entre les baguette et lâchai le tout. J'avais quand même fait en sorte que les élastiques ne soient pas trop fort pour ne pas trop pincer la langue. Je savais que je partais pour quelque heures de bondage et qu'il fallait que je les supporte tout le long.
 
J'avais préparé le matin un dispositif me permettant de me libérer au bout de quelques heures. Pour cela, j'ai simplement trempé une paire de ciseau dans un verre d'eau mis au congélateur. Les bouts des ciseaux se retrouvaient enrobés de glace et ils fallait attendre que celle-ci fonde pour pouvoir se servir des ciseaux. Je fixai les ciseaux dans leur bloc de glace au dossier de la chaise sur l'un des deux pieds arrières. A chaque pied arrière, au niveau de l'assise, je mis une boucle en corde faite d'un noeud coulant. Ce sera pour mes poignets. Avec le poignets gauche, je pourrais ainsi attraper les ciseaux et couper les liens, me permettant ainsi de me libérer. Avant de continuer, je suis aller boire une grande quantité d'eau. Pas facile en tirant la langue bouche grande ouverte.
 
Je pris ensuite un rouleau de film cellophane, une cordeltte de cinq six millimètres de diamètre achetée auparavant dans un magasin de bricolage, un foulard et allai ramasser les deux bouts de ficelle attachés à la tringle à rideau. Je m'assis sur la chaise, face à la baie vitrée. Je branchai le plug à la rallonge, et appuyai sur le bounton de mise en marche de l'apirateur. J'avais réglé les programmateurs pour qu'il commencent leur cycle aléatoire une heure plus tard. Cà n'a pas été simple, j'ai eu du mal à comprendre comment çà marchait mais j'y suis arrivé. Bref, ceci est une autre histoire, intitulée comprendre un mode d'emploi traduit en français du koréen. Donc, je fixai ensuite à chaque pinces à seins l'autre bout de chacune des ficelles reliées à la tringle. Je le fis de sorte que la ficelle soit bien lâche car je n'étais pas encore tout à fait prêt. Il fallait encore que je m'attache à la chaise.
 
Pour cela, je plaçai chaque cheville contre une jambe avant de la chaise à l'extérieur et enroulai le cellophane autour. Je me retrouvai donc cuisses écartées, chevilles et mollets fixés à chaque jambe avant de la chaise. Je pris en suite un bout de cordelette que j'enroulai autour de mes testicules avant de l'attacher au barreau de la chaise reliant les deux pieds avant. Je me reculai ensuite le plus possible vers le dossier de la chaise, étirant mes testicules et sans que mon dos ne touche le dossier. Avec une autre corde, je m'attachai le bassin au bas du dossier afin de m'empêcher d'aller vers l'avant pour soulager mes testicules. Je me retrouvais donc attaché à la chaise, ne pouvant ni avancer, ni reculer mes fesses.
 
Je pris ensuite le tuyau de l'aspirateur, plaçai ma verge à l'intérieur et maintins le tout en attachant le tuyau de l'aspirateur à ma cuisse droite. Pourquoi la droite? Pourquoi pas. Je réglai ensuite les cordelettes des pinces à seins de sorte que cela tire sur mes tétons. Je devais maintenant faire attention à bien me tenir droit et à ne pas reculer mon buste au risque de faire tomber les rideaux. Je pris le foulard et me bandai les yeux. Avant de me bander les yeux, je vis qu'il était trois heures et demi du matin.
 
Il ne me restait plus qu'à mettre les poignets dans les noeuds coulant des pieds arrières. Je pris une grande respiration et mis mes poignets dans les boucles, et tirai pour les serrer. Je ne pouvait plus me libérer sans les ciseaux. Je n'avais plus qu'a attendre que le glace fonde. Je pris la poire de gonflage de mon plug anal dans la main gauche et commençai à jouer avec.
 
Je récapitule le topo. Je suis attaché à une chaise, habillé en dessous féminin, les testicules étirés vers l'avant, le cul rempli d'eau glycérinée et de merde, bouché par un plug gonflable, les tétons fixés à la tringle à rideaux, la bouche grande ouverte forcé de tirer la langue. Les yeux bandés, je ne voyais rien. Si je faisais tomber les rideaux maintenant, je serais à la vue de quiconque passerait dans la cour sans pouvoir me libérer puisque le bloc de glace empêchait de se servir des ciseaux. De plus, j'aurais été bien visible car je me suis rendu compte que je n'avais pas éteint la lumière.
 
Et donc, d'attendre, assis bien droit sur la chaise. En ces moments, il se passe plein de chose dans la tête. Des fantasmes, des idées excitantes qui faisaient que ma verge était en erection dans le tuyau de l'aspirateur. Je jouais avec la poire de gonflage du plug, le gonflant et le dégonflant, m'excitant le rectum et l'anus. Mes intestins gargouillaient de l'eau que j'y avait injecté et la glycérine facilitait le glissement de la merde vers l'anus bouché.
 
Une demi heure après, je sursautai lorsque le vibrateur du plug se mit en marche. Cela eut pour effet de tirer sur mes tétons qui commençaient sérieusement à me faire mal et sur mes testicules. Mais l'effet principal fut quand même une vague de plaisir dans mon bas-ventre. Je gonflai alors le plug à la limite pour accentuer encore le plaisir. C'est alors que l'aspirateur se mit en route. De surprise, je lâchai la poire de gonflage alors que le tuyau aspirait mon pénis en une succion infernale. Bon sang que c'était bon. La bite sucée violement, le cul dilaté par un plug gonflé fortement et vibrant. Des contractions de mes intestins apparurent, essayant d'expulser le plug trop gonflé qui de toute manière ne pouvait pas sortir puisque j'étais assis dessus et ne pouvais pas me lever de la chaise. Je voulu reprendre la poire de gonflage afin de dégonfler un peu le plug. Pas trop, sinon je me chiais dessus. Malheur, en la lâchant, elle s'est mis à pendre derrière, entre les deux pieds arrières de la chaise, hors de portée de mes mains. Merde! Je ne pouvais que rester avec le plug gonflé à mort. Je commençais à sérieusement bouger sur la chaise, plus par reflexe qu'autre chose car je savais bien qu'il fallait que je reste le plus immobile possible. Mais j'avais de plus en plus de contractions anales. Ce n'était pas encore des orgasmes, mais ce n'était pas loin. Et ce putain d'aspirateur qui continuait à me sucer. Je commençai à paniquer, à essayer de me leve par reflexe, tirant dangereusement sur mes tétons.
Bon sang, il fallait que je me calme. J'essayais de respirer doucement et calmement par ma bouche ouverte et sèche. Mais à chaque contraction sortait un râle de plaisir.
Soudain, le plug s'arrêta. Quel soulagement de ne plus avoir ces vibrations. Même s'il était toujours trop gonflé, cela à calmé les ardeurs de mes intestins. Par contre, l'aspirateur continuait son travail. OK, cela allait mieux côté cul, mais cela ne faisait que porter plus mon attention sur la succion de ma bite. Je n'étais pas loin de l'éjaculation quand l'aspirateur s'arrêta. Le con! Putain, pas maintenant! Excellent! Bonjour la frustration.
 
Ce petit jeu a continué pendant quelques heures, avec maints orgasmes du cul et maintes éjaculations dans le tuyau de l'aspirateur. Je m'étais même chié dessus lors d'une de ces poussées orgasmiques. Après la deuxième éjaculation, je me mis à pisser dans le tuyau. Cela faisait trop longtemps que je me retenais. Le soulagement fut spectaculaire d'autant que le plug se mit à vibrer à ce moment là.
Je n'avais plus de notion du temps, je ne savais pas s'il faisait déjà jour. Je commençai à en avoir marre. J'avais pris plusieurs fois mon pied, l'excitation me permettait d'endurer les souffrances avec plaisir, mais là, mes testicules, mes seins me faisaient mal. Ma langue aussi. Les baguettes qui l'écrasaient faisaient mal. De plus, comme le reste de la bouche, elle était toute sèche. Même mes chevilles me faisaient mal, à cause de la position éxigée par les talons de quinze centimètre.
 
Bon, il est temps que je me libère. Je tire sur la corde des ciseaux et les ramène dans ma main gauche. Ces mouvement me font bouger sur la chaise, d'où nouvelle excitation de mon anus toujours aussi dilaté et douleur sur mes seins pincés depuis trois, quatre heures. Peut-être plus, je ne savais plus. Enfin, j'arrive à attraper les ciseaux et je me rends compte avec horreur que le bloc de glace est loin d'être fondu. Merde, j'ai mal prévu la fonte. Ou le bloc est trop gros. J'essaies alors de le faire fondre plus vite en le gardant en main mais au bout de dix minutes je ne sents plus mes doigts et suis obligé de le lâcher.
Merde, faut attendre. Pour le coup, les douleurs se font plus intenses puisque j'y pense.
 
Je commence à m'endormir, en me penchant vers l'avant de ce que je peux avec mes poignets attachés derrière. Je ne veux surtout pas risquer de faire tomber les rideaux. Bon, ce n'est pas très agréable car çà tire sur mes couilles mais on va faire avec. Et v'là le plug qui se mets à vibrer. Je commence à angoisser en pensant qu'à un moment ou un autre, l'aspirateur aussi va se remettre en marche. Ce qui arriva bien entendu.
 
Je pourrais continuer les descriptions de ces moments particuliers dont je me souviens pendant longtemps, mais le sujet était ma "mauvaise" expérience. Pour l'instant, tout ce que je décris est plutôt une bonne expérience. En fait, cela s'est terminé par la plus grande peur de ma vie. Ce qui devait arriver arriva.
 
Sérieux, je n'en pouvait plus. Ma tête explosait à chaque contractionanal qui continuait et continuerait temps que le plug serait gonflé à bloc et temps qu'il se mettait à vibrer. A chaque fois mon bas-ventre était secoué de tremblement. Dès que je bougeais un peu, mes fesses glissaient sur la merde qu'elles étalaient. Et puis bonjour l'odeur, surtout la bouche grande ouverte prête à vomir.Mon anus était si bien dilaté, que je suis sûr que si je n'était pas assis dessus, le plug pourrait sortir. D'autant qu'il n'est pas en dur, il peut se déformer. J'ai essayé en faisant le plus attention possible, de soulever mon cul au maximum de la chaise pour faire sortir le plug. Il a commencé à sortir, dilatant encore plus ma rondelle, m'exitant d'autant plus. Mais il ne pouvait pas sortir complètement. Je poussais alors à fond, expulsant de le merde liquide au passage et enfin, le plus large passa l'anus, me procurant une jouissance d'enfer. Mais, il y en avait encore un bon tiers dans l'anus. C'est à ce moment que l'aspirateur se mit en marche. De surprise je me rassis brusquement sur la chaise, donc sur le plug, qui rentra d'un coup, tout gonflé, dans mon rectum. Je ne pourrais dire si c'était de la jouissance ou de la souffrance que j'ai alors ressenti, mais l'explosion dans ma tête fut terrible, ainsi que le râle qui sortit de ma gorge sèche. Une douleur fulgurante envahi mes tétons lorsque mon dos tomba sur le dossier de la chaise et que les pinces tirèrent sur la tringle à rideau qui évidement tomba.
Mon Dieu! Merde, merde merde! Vite les ciseaux! Et c'est là que j'éjaculai pour la nième fois dans le tuyau qui me sucait. J'espère que la glace a fondu! J'avais complètement oublié les ciseaux. Et une contraction énorme de mes sphincters pour dégager l'intru. Où est le bout de corde? Cà y est je l'ai! Vite vite. On peut me voir en train de jouir assis dans ma merde! Ouf! Les ciseaux sont libres, Merde je n'arrive pas à les prendre, ah si ,çà-y-est. Vite! On peut me voir. Et je continuai d'éjaculer! Ma main gauche fut libre et là je fit une connerie qui accentua encore mon desespoir, j'enlevai le bandeau de mes yeux. Non seulement j'était éblouis, mais en plus, je voyais ce qui se passait dehors, en plein jour. Heureusement, il ne se passait rien. Rien de rien, mais à tout moment les ouvriers pouvaient arriver. Un regard sur la pendule m'apprit qu'il était huit heures moins dix.
Bon sang, quiconque passait dans la cour pouvait voir un mec habillé en femme, attaché par les jambes et par les couilles à une chaise, le cul baignant dans la merde et les seins attachés aux rideaux qui trainaient par terre. Sans parler de la gueule bizarre que lui faisait son baillon et de l'aspirateur qui lui bouffait la bite. Ridicule, non, pathétique.
Toujour est-il que je prenais un putain de pied d'enfer, mais c'était en même temps la plus grosse angoisse de ma vie.
 
Là, c'était la panique totale. Je me libérai rapidement, et me précipitai à la fenêtre pour remettre les rideaux en place. Evidement, après avoir été immobilisée pendant quatre heure et demie dans une position pas naturelle, les chevilles ne tinrent pas le choc et, me prenant les pieds dans l'aspirateur toujour attaché à mon sexe, je m'affalai de tout mon long sur les rideaux. Je me relevai rapidement et remis les rideaux en place juste à temps. A peine je m'étais légèrement reculé pour regarder si je n'avais pas mis de la merde sur les rideaux que j'entendai les ouvriers arriver. L'aspirateur continuais sa succon, le plug continuais à vibrer et moi, je me mis à me branler derrière le rideau avec le tuyau d'aspirateur dans une main et le plug dans l'autre. Le sang qui affluait dans mes tétons accentuait encore mon plaisir et la jouissance fut une fois de plus extrême. D'autant que là, je me voyais en pied dans un miroir. Debout sur des talons hauts, bas noirs, corset noir, la bouche ouverte tirant la langue et me  branlant avec un aspirateur. Il en faut pas beaucoup plus pour que çà explose.

A la remarque d'une forumeuse qui trouvait dommage que je ne me soit pas filmé j'ai répondu:

Eh non! Je ne me suis pas filmé. C'est d'autant plus con, qu'étant en vacances, j'avais un caméscope et, de plus, il était muni d'une télécommande. J'aurais pu effectivement placer le camescope en plan fixe et enregistrer de temps en temps pour économiser le K7 de 30mn (S-VHS C). Mais j'avoue que dans l'excitation (et la concentration) de la préparation je n'y ai pas pensé.
De toute manière, vu la panique à la fin, je n'aurais certainement pas appuyé sur le bouton d'enregistrement de la télécommande....
Encore que.... Je pense être suffisement pervers pour penser à çà qd même.
Bounce



Par Anatole - Publié dans : anatole
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