Samedi 17 février 6 17 /02 /Fév 18:23

Allez, puisqu'on est dedans, encore un peu de douleur. Avec les pinces à seins ce coup-ci!

Pour cette séance, j'avais mis mes bas en latex et mes chaussures à talons hauts complètement défoncées. J'ai l'air de ne pas trop tenir sur mes pattes là, et pour cause: j'ai les yeux couverts d'un bandeau en latex et ne vois rien. Pas évident de tenir son équilibre sur des talons sans l'aide de la vue.

Comme pour le précedent film où je m'asphyxiais, je me suis entouré le visage de film cellophane en laissant un trou pour respirer au niveau du nez. Vaut mieux ne pas être enrhumé dans ce cas car cela devient vite ..... pénible. Pénible. Est-ce le bon terme?

J'ai évidement les pinces sur les tétons.Comme je ne fais pas cela pour la gloire mais pour mon plaisir, je commence par me branler un petit coup. Histoire de ce faire du bien avant de ce faire du mal.

Cela fait maintenant une petite demi-heure que je me ballade ainsi dans le noir, les pinces accrochées aux tétons. Ces derniers sont maintenant bien écrasés par les machoires et les pinces tiennent d'autant mieux. Je les accroche donc à mes chevilles et me trouve ainsi dans une position plutôt inconfortable.

         

Ce qui ne m'empêche pas de m'occuper de mon sexe. Aaahhhh..., ce mélange de douleur et de plaisir.....

Mais, le mieux est quand on retire les pinces. Au bout d'une demi-heure d'écrasement et d'un quart d'heure de tiraillement, les tétons sont tellement sensibles que l'afflux de sang produit une sensation prodigieuse.

Et de me terminer en mettant le bandeau de latex sur le nez. Etouffant dans le noir avec les tétons douloureux, il ne m'a pas fallu longtemps.

   

J'ai rajouté à la fin un petit passage qui, c'est vrai, aurait pu servir d'interlude. J'ai filmé çà une fois où j'avais passé la journée la tête entièrement entourée de bandes de tissu adhésif.

   

      

Un jour complet ainsi, ou presque, le temps de me préparer le matin. N'ayant plus aucune notion de temps, j'avais mis deux réveils à sonner. Un à midi, l'autre à six heures du soir. J'ai passé la journée à faire ce que je pouvais. Tenez! J'vous la raconte!

Mais après le film

 

Petite histoire

Donc j'me lève la matin, mets un premier réveil à sonner à midi, et un second à dix-huit heures. Il était sept heure et demi du matin. Je me mets ensuite un sac plastique sur la tête (les sac de congélation sont très bien) et commence à me scotcher la tronche. Entièrement. Je n'ai juste laissé qu'un petit trou au niveau de la bouche qui était en fait bouché la pluspart du temps par un bout de scotch. Cette "cagoule maison" était entièrement fermée mais pas totalement étanche. Je pouvais respirer à travers mais très difficilement. J'était donc presque tout le temps essoufflé (ce qui n'arrangeait pas les choses).

Je commençais donc par prendre une douche en faisant bien mon lavement. Mais comme un idiot, je n'avais pas été au chiottes avant. J'ai donc expulsé une quantité non négligeable de merde dans la baignoire. Allez donc nettoyer çà en ne voyant rien. Je pensais avoir réussi quand, dans un mouvement, j'écrasais de mon pied nu un petit étron qui restait. V'là t'y pas qu'il fallait maintenant que je me nettoie le pied. Bref! Maintenant que j'était propre, ainsi que la baignoire (du moins je l'espèrais), je cherchais à tâton ma serviette. C'est là, en marchant dans une flaque d'eau sur le sol de la salle de bain, que je me rendis compte que j'avais foutu de la flotte partout. Et d'aller chercher, toujours à tâton, une serpillère dans la cuisine, revenir à la salle de bain pour en essuyer le sol et retourner à la cuisine rincer la serpillère sans foutre de nouveau de la flotte partout.

Au moment de faire mon café, je me rendis compte que j'étais à poil. Je retournai donc à la salle de bain mettre mon peignoir puis revenais à la cuisine pour faire le café. Je commençais à connaître le chemin par coeur. Je me préparais donc un café. Pas simple, soit dit en passant. Essayez donc d'utiliser une machine à expresso les yeux fermés. Je pris mon bol de café et allai au salon. Je retirai le bout de scotch qui bouchait ma bouche et compris que j'avais oublier de prendre une paille. Donc nouvel aller-retour cuisine salon.

Je passais ensuite dix bonnes minutes à chercher mes clopes. C'est évidement dans ces moments là qu'on ne les retrouve plus. Bien sûr, dès que je n'avais plus à utiliser ma bouche, je remettais le scotch sur le trou. J'étais donc à me promener partout dans le salon, à tâton, en me cognant à tout ce qui se trouvait sur mon passage, me cassant la figure deux fois en trébuchant sur je ne sais quoi qui traînait là, reprenant difficilement ma respiration. Tout çà, pour finallement me souvenir qu'elles étaient dans la chambre à côté du PC.

Je fumais donc ma clope en buvant mon café à la paille. Le problème, lorsqu'on est dans une telle situation, c'est que, en plus de se tailler une petite branlette, on gamberge. Et voilà qu'il me vient une idée! Ben voyons! Et si je me ligotais les genoux? Je ne pourrais plus ainsi marcher que les cuisses serrées. C'est vrai quoi, c'était trop facile! Je ne m'était cogné qu'une dizaine de fois et ne suis tombé que deux fois. Mince alors, j'avais trop d'équilibre!
Pfff.... Anatole! Arrêtes d'avoir des idées!
Mais bon, je le fis quand même. Et pour m'éviter de faire malgré tout de trop grand pas, je mis mes chevillères et attachais mes chevilles ensemble. Donc retour de la chambre au salon à petit pas, bras écartés fouillant l'air autour, pour prendre mon bol de café et aller dans la cuisine le laver. C'est là que je me rendis compte que marcher ainsi les cuisses serrées c'était bien, mais que ce serrait mieux avec un plug dans le cul. Et oui! J'suis comme çà!

Tout cela me pris pas mal de temps, du moins le pensais-je car je n'avais absolument aucune notion de temps. Je décidais alors de faire le ménage.
Tant quà faire hein? Au lieu d'attendre tranquillement couché que çà passe! Non!
Je garantis que la poussière a été faite de manière plus que succinte! Par contre, j'ai essayé de bien passer l'aspirateur. Je me rendis compte le lendemain que ce n'était pas terrible non plus. Bref, je me trouvais diverses occupations, ponctuées par des temps de repos surtout destinés à me branler. Eh quoi! C'est l'but du jeu, non?
Le réveil de midi sonna. Enfin! Mouais! J'étais certe soulagé de savoir que quatre heures étaient passées, mais j'étais surtout angoissé de me rendre compte que cela ne faisait que quatre heures alors qu'il m'en restait encore six à passer avant la sonnerie de l'autre réveil.

Je passais donc l'après-midi à diverses choses. Surtout à me branler. Le cul aussi, avec le plug. A aller pisser, souvent, car la respiration difficile devenait de plus en plus pénible, et je trouvais n'importe quel prétexte pour enlever le scotch du trou de la bouche. Le plus évident étant de boire un coup. Je finis pas m'endormir, complètement épuisé par les efforts pour marcher, pour respirer, par les masturbations répétées, etc... Pour faire ma petite sièste, je retirais bien sûr le scotch de la bouche. Il n'aurait pas été malin de s'étouffer en dormant.

A mon réveil, j'avais évidement envie de pisser. Et de remettre le scotch sur la bouche, et de me cogner partout car le cerveau encore plein de sommeil, etc, etc, etc..... Au bout d'un moment quand même, je me mis un peu à paniquer. Il y a toujours un moment dans ces situations où l'on craque. Il faut alors essayer de se calmer, en raisonnant, en se disant qu'il ne doit plus y en avoir pour longtemps, tout en sachant qu'on en sait rien du tout. Il faut penser à autre chose qu'à ce putain de réveil qui devient alors la chose la plus importante au monde. Tiens! Et si je sortai la caméra et le pied pour me filmer. Allez! Cà va m'occuper un moment. J'installais donc le matos, au pif, si je puis dire, et me filmais. Faisant tout en aveugle, les seuls plans utilisables furent ceux que vous avez vu. C'était bien la peine de s'emmerder toute la journée!

A propos de journée, on en est où là? Commence à en avoir marre! Et de craquer de nouveau, et ce coup-ci pour de bon. Je ne supportait plus cette cagoule, ce plug, ce ligotage. Je ne supportait plus rien mais décidai quand même de garder le plug et les jambes attachées jusqu'au bout. Je me mis donc à chercher une paire de ciseaux dans la cuisine et revint au salon pour m'asseoir sur le canapé afin de découper tranquilement le scotch qui m'entourait la tête. Doucement! Il ne s'agit pas de ce blesser maintenant. Ce serait un peu con!

Quel soulagement! Enlever cette cagoule fut une délivrance. Pour fêter çà, je me branlai un coup. Ben voyons, je n'ai fait que çà de la journée, à tel point que j'avais la bite toute enflée. Dernière éjaculation en même temps que de belles contractions anales et je me libérai totalement. Par curiosité, je suis aller voir l'heure et là, n'en revint pas. Il était vingt heure trente. Le réveil avait bien sonné, mais je suppose que c'était pendant que je dormais. Putain! Deux heures et demie après l'heure que j'attendais avec tant d'impatience.

Merde, çà vaut bien une p'tite branlette!..........

Par Anatole - Publié dans : anatole
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