Mercredi 1 août 3 01 /08 /Août 20:31
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L’homme sortait à nouveau de la salle de bain en robe de chambre. Il pénétra dans le salon au milieu duquel se tenait la jeune femme. Elle était toujours nue avec ses chaussures, le visage couvert de sperme à moitié séché maintenant. Elle avait tout rangé et attendait les mains dans le dos le bon vouloir de l’homme.
- Pendant les quelques jours que nous allons passer ensemble, lui dit l’homme en tournant autour d’elle en l’inspectant de haut en bas, tu devras respecter un petit nombre de règles incontournables qui régiront ta liaison avec ton mari, ainsi qu’avec moi, et ce quelles que soient les circonstances.

1.- Ne porter que des robes ou des jupes. Jamais de pantalons ou de shorts.
2.- Pas de collants, sauf ordre contraire. Juste des bas ou rien.
3.- Ne porter que des chaussures à talons aiguilles d’une hauteur d’au moins dix centimètres.
4.- Tes soutient gorges ne devront être que des demi ou quart de balcon laissant les tétons libres.
5.- Afin d’avoir le cul toujours disponible et ce à tout moment, procéder tous les jours à un lavement anal.
6.- TRES IMPORTANT ! Il est évident que tu ne porteras jamais de culottes ou de slips. Il faudra toujours être le cul et le vagin à l’air.
L’homme alla s’asseoir dans le canapé et continua :
- Chaque manquement à ces règles entraînera une punition. Le dressage se présentera sous deux formes: la torture psychologique où l’humiliation deviendra ton pain quotidien et la torture physique afin de bien faire comprendre à ton corps et à ton esprit qui est le maître. Cette dernière sera beaucoup à base de bondage, c’est à dire de frustrations. Frustration du mouvement d’abord grâce à des liens, menottes, ceintures et autres chaînes. Frustration de la vue à l’aide de cagoules ou de bandeaux. Frustration de la parole par des bâillons de toutes sortes et frustration du sexe parfois par l’utilisation de ceintures de chasteté et autres slips spéciaux.
L’homme pris une cigarette et l’alluma.
Immobilisée, ne pouvant te soustraire à mes actions, reprit-il, tu subiras différents sévices, aucun n’apportant de dommages corporels graves, seulement de la douleur et de la jouissance: coups, étirements, pincements,... Il est évident que les instruments les plus utilisés seront le fouet, le martinet et la cravache. Tu seras aussi pénétrée par différents objets de tailles et de formes diverses. Le dressage se déroulera progressivement et n’aura d’autre but que ta soumission complète.

Voilà pour le programme.
Il se leva et se rendit dans la chambre.
- Rhabille-toi ! Non partons dans ma maison de campagne. Elle est isolée, précisa-t-il, et nous y serons tranquilles. Au fait, quel est ton prénom ?
- Julia, Seigneur.
La jeune femme, Julia donc, s’assit dans un fauteuil et entreprit d’enlever ses chaussures pour remettre ses bas.
- Il y a un problème, Seigneur, dit-elle.
- Lequel, demande-t-il ?
- C’est que, répondit-elle, j’ai promis de passer le Week-end avec une amie que je n’ai pas vu depuis longtemps et je ne pense pas que mon mari le sache.
- Téléphones lui pour annuler, alors. Nous partirons tout de suite après.
- Mais je...
- Tu commences très mal Julia, l’interrompit-il! Maintenant mes désirs sont des ordres et tu viens de commettre ta première faute en les discutant!
Elle le regardait, étonnée par sa réaction, ne semblant pas encore avoir compris qu’elle fût désormais son esclave.
- Cela te vaudra cinq coups de cravache, lui expliqua-t-il. Un sur les seins, le ventre, les reins, les fesses et l’arrière des cuisses où la peau est bien sensible. Si tu continues dans cette voie, tu vas en goûter de la cravache.
Julia baissa le regard et ses yeux fixèrent le sol.
- Oui Seigneur, excuse-moi, lui dit-elle avec une moue de petite fille prise en faute.
- C’est la cravache qui t’excusera! Tu m’appartiens désormais. Ce sera peut-être à force de coups, mais tu l’apprendras! En attendant, dépêches-toi de téléphoner.
Pendant qu’elle était au téléphone, l’homme n’avait d’yeux que pour elle. Julia était vraiment splendide. Elle avait un corps à faire bander un eunuque.
Pendant qu’ils marchaient dans la rue vers la voiture de l’homme, l’ondulation des hanches de Julia et le balancement de ses fesses le rendit fou de désir.
Elle avait son bras autour de sa taille et une main de l’homme massait, palpait et pétrissait ses fesses sans aucune retenue à travers sa jupe, au grand étonnement des gens derrière eux.
Ils arrivèrent à la voiture et partirent vers la Normandie. Une heure plus tard, ils roulaient au pas sur l’autoroute avec les gens qui, comme eux, se rendaient le vendredi soir à la campagne.
- Julia?
- Oui!
- Je voudrais voir autre chose que la gueule triste de ses gens derrière leur volant. Baisses ton siège et couches-toi sur le ventre!
Elle chercha la molette du dossier, transforma le siège en couchette et s’y installa comme il le lui avait dit.
- Lève ta jupe maintenant et montres moi ton cul!
- Mais les gens vont me voir, objecta-t-elle!
- Encore des discussions! Ca commence à rouler à présent. Ils penseront avoir eut une vision. Aller! Lève ta jupe!
Avec hésitation, ses mains tirèrent la jupe vers le haut lui découvrant les deux miches superbes d’une blancheur surnaturelle sous l’éclairage nocturne. Il y eut un claquement sonore lorsque sa main droite s’abattit violemment sur les fesses fermes et douces. Julia émit un petit cri de surprise plus que de douleur.
- Une petite fessée pour l’hésitation te fera comprendre que l’on exécute mes souhaits sans attendre, lui expliqua-t-il!
Tout en roulant, il continuait la fessée jusqu’à ce son cul fût bien rouge. Il est vrai que de chaque voiture qu’il doublait, les occupants avaient une vue imprenable sur les fesses de Julia ainsi que sur le traitement qu’il leur infligeait. Julia dont les mains s’agrippaient désespérément au dossier de la banquette arrière, s’en rendait bien compte et l’humiliation autant que la brûlure vive de ses chaires lui tirait des cris et des larmes. Elle comprenait que le Week-end allait être long et qu’elle n’était plus une femme, mais son jouet.
Il entreprit de masser les muscles endoloris. Le contact de ces rondeurs chaudes sous sa main et le fait de savoir qu’elles étaient à sa disposition, lui procurait un plaisir d’une volupté inouïe.
- Ecarte un peu les jambes pour que j’aille voir un peu plus loin ce qui se passe, lui ordonna-t-il!
Elle s’exécuta immédiatement, levant son adorable croupion et adopta pour ce faire une position des plus obscène.
- Voilà une position de chienne en rut qui te va à ravir, la complimenta-t-il. Elle résume parfaitement ta condition et ton rôle actuel: objet de plaisir, godemiché de luxe en quelque sorte.
Ses doigts se posèrent sur son anus et commencèrent à le masser délicatement sur les bords d’abord, puis de plus en plus franchement au centre. Peu à peu, les sphincters se relâchèrent et son index en profita évidement pour forcer le passage et commencer à fouiller.
Il en ressortit gluant, recouvert de mouille anale. Du fait du lavement qu’elle s’était administrée et de la belle sodomie de la fin d’après-midi, les intestins, vides à cet endroit, ont continué à sécréter cette mouille, qui, par sa station debout, s’était concentrée juste derrière son anus et ne demandait qu’à sortir à la première poussée.
- Remontes le siège, lui demanda-t-il, et accroupis-toi dessus comme si tu allais pisser!
Julia se mit rapidement en position, une main tenant sa jupe relevée et l’autre s’accrochant à la poignée au-dessus de la portière. Ses talons hauts sur le siège mou lui assuraient un équilibre plutôt précaire. Il la laissa ainsi près de cinq minutes afin que toute la mouille descende vers la sortie, pour le plus grand plaisir des autres automobilistes. Il mit sa main en forme de coupelle sous son anus.
- Relâches tes sphincters à présent, dis-il! Au besoin aides-toi avec un doigt.
Julia passa une main entre ses cuisses et s’enfonça doucement l’index dans le cul. Elle se mit à fouiller timidement. Lorsque ses sphincters se relâchèrent, il s’en écoula une substance visqueuse et gluante, pas très liquide, mais ayant une forte odeur de poisson. Elle était belle à voir, ainsi accroupie en se fouillant le cul avec son doigt. Il retira sa main puisque plus rien ne sortait de son trou.
- Allez! Tu t’es assez exhibée comme çà. Baisses ta jupe et assis-toi normalement.
Sa main était toujours pleine de ses sécrétions anales. Il attendit qu’elle s’installe.
- Maintenant, bois et lèches tes sécrétions dans ma main et fait en sorte qu’il n’y en ait plus une trace!
Elle lui lança un regard plein de dégoût et approcha son nez pour sentir sa petite collation.
- Allez! Vas-y! Je suis sûr que tu aimeras!
Timidement elle approcha la langue afin d’y tremper le bout. Agacé par son hésitation, il leva brusquement la main. Sa bouche se retrouvera trempant dans le liquide encore tiède.
- Alors tu bois, oui?
Elle passa sa langue sur ses lèvres et goûta. Cela ne dû pas trop lui déplaire, car, aussitôt, elle trempa la bouche, aspira et avala la presque totalité de sa mouille anale.
- Tu vois, ce n’est pas bien terrible, lui dis-il! Maintenant nettoie-moi la main!
Elle prit sa main, et la lécha consciencieusement jusqu’à ce que plus aucune trace de ses sécrétions ne reste. Elle l’avait bien nettoyée.
- C’est bien ma petite, lui dis-il!
Ils arrivèrent à la maison. C’était une adorable fermette à colombages. A l’étage, il se trouvait deux chambres, une salle de bain et des toilettes. Tout le rez-de-chaussée n’était qu’une grande pièce qui faisait à la fois office de cuisine, salon et salle à manger. De grandes portes-fenêtres donnaient sur une terrasse et sur un jardin immense. La propriété était entourée d’un haut mur de pierre, ce qui était bien inutile pour assurer la tranquillité puisque l’habitation la plus proche était à cinq kilomètres.
- Ici, nous serons bien tranquilles pour commencer ton dressage, dis-il à Julia. Il faudra que tu te mettes maintenant en tête que tu n’es plus rien par toi-même. Individuellement, tu n’existes plus! Tu n’existes que par et pour moi. Ton existence n’a de sens qu’à mes pieds, à mon service. Nous allons assister à la naissance d’une nouvelle Julia, femme esclave, entièrement dévouée à son Seigneur. Ta seule utilité à présent, est mon plaisir. Ma satisfaction doit être ton credo, ta seule préoccupation. Tu as la vie facile maintenant puisqu’en ma présence tu ne prendras d’initiative qu’en ce qui concerne les tâches ménagères. Pour le reste, tu n’as pas à te poser de question, tu obéis. Tu ne prendras du repos et du plaisir que sur mon ordre. Sauf ordre contraire, lorsque nous serons seuls, tu m’appelleras Seigneur et à l’intérieur tu seras nue avec tes chaussures. Tu devras toujours te tenir à portée de ma main, me suivre comme un petit chien fidèle.
Il rentra la voiture dans le garage.
- Maintenant déshabille-toi car nous sommes à l’intérieur, mais gardes tes bas!
Julia sortit de la voiture et enleva ses vêtements qu’elle plia soigneusement.
- Prends mes valises dans le coffre et suis-moi!
Elle s’exécuta et le suivit avec les valises. Elles étaient particulièrement lourdes. L’une, la plus grosse, contenait tout son attirail de dressage et l’autre trois ou quatre vêtements. Son poids venait des barres de plomb qu’il y avait placé.
Il prit plaisir à faire le tour du propriétaire sachant que Julia peinait derrière lui avec les valises. Il se rendit même sur la terrasse pour admirer le jardin. Julia, n’en pouvant plus, posa les valises, ce qui lui value immédiatement une gifle magistrale.
- Ai-je dit de poser les valises, lui hurla-il à la figure?
- Non, Seigneur, mais elles sont lourdes!
Il lui pris un téton et tira dessus comme un forcené, comme on tire l’oreille à un gamin désobéissant. Julia grimaça de douleur.
- Je sais qu’elles sont lourdes. Tu n’as qu’à me demander si tu peux les poser, lui expliqua-il en hurlant. Tu n’as pas à prendre d’initiative, compris?
- Oui Seigneur. J’ai compris Seigneur, réussit-elle à dire dans un souffle. Puis-je poser les valises?
- Non, répondit-il lâchant le sein. Montons les poser dans la chambre!
Dans la chambre, il prit la valise de vêtement, l’ouvrit et en retira les vingt kilos de plomb qui s’y trouvaient. Julia lui lança un regard noir de rage. Il lui coinça la bouche dans la main et la regarda dans les yeux.
- Ne me regarde jamais ainsi! Tu ne dois me regarder qu’avec amour, peur ou plaisir.
Il sortit la cravache de l’autre valise.
- Maintenant, lui dit-il, il faut t’administrer ta petite correction. Plus une autre pour avoir posé les valises. Pour cette dernière, je te laisse le choix. Le tarif est de deux coups de cravache à l’endroit de mon choix ou de cinq coups à l’endroit que tu choisis parmi une liste que je te donne. Tu as le choix entre: les seins, le ventre, les fesses et la vulve. Que choisis-tu ?
- Je te laisse le choix Seigneur!
- Petite idiote! Quand je dis que tu peux choisir, profite-en! Tant pis! Je choisis deux coups sur la vulve!
Le visage de Julia se décomposa. Son regard s’emplit de terreur à la vue de la cravache. Il s’approcha d’elle.
- Allons! Lève les bras et croise les mains derrière la tête.
Elle leva doucement les bras. Son visage était livide et son corps secoué de tremblements.
- Cambre-toi mieux!
Cette position mettait au mieux en évidence ses seins, ses fesses et son ventre.
- Nous avons donc dit, récapitula-il, un coup sur les seins, le ventre, les reins, les fesses et les cuisses, plus deux autres sur la vulve.
Elle était superbe ainsi complètement terrorisée. Elle ferma les yeux lorsqu’il leva la cravache. Un hurlement sortit de sa gorge lorsqu’il l’abattit violemment sur ses seins. Elle se recroquevilla sur la douleur, protégeant par réflexe sa poitrine de ses bras. Lentement il posa la cravache et s’assis sur le lit, la regardant comme on regarde un enfant, qui, malgré les réprimandes, recommence sa bêtise.
- Ma petite Julia, lui dis-il d’un ton doucereux, tu n’as pas l’air d’avoir encore bien compris. Je te l’ai pourtant clairement expliqué. Il ne fallait pas baisser les bras.
Julia était complètement recroquevillée, accroupie dans le coin de la pièce derrière le lit. Elle se massait les seins endoloris et le regardait avec angoisse. Il prit un calepin et un stylo.
- Bon! Il va falloir que je note si je ne veux rien oublier, je ne voudrais pas être injuste. Nous disions donc: un coup sur les seins, celui-ci étant nul, un autre sur les reins, le ventre, les fesses, les cuisses et deux sur la vulve. Pour avoir baissé les bras, je te repose la question. Où veux-tu tes cinq coups?
Julia le regardait, ne comprenant plus rien, où plutôt comprenant trop bien, que cela ne faisait que commencer.
- Réponds-moi, la conseilla-il, sinon c’est moi qui choisi!
- Sur... sur les fesses, répondit-elle.
- Tss, tss! Ce n’est pas une réponse çà! Répète après moi ce qu’il faut que tu dises en pareil cas: merci Seigneur de me laisser généreusement le choix. S’il te plaît, donnes moi mes cinq coups dûment mérités sur les fesses.
- Merci Seigneur, répéta-t-elle, de me laisser le choix. S’il te plaît donnes moi mes cinq coups mérités sur les fesses.
- D’accord! Comme tu voudras! Cela fait donc: un sur les seins, les reins, le ventre, les cuisses, six sur les fesses et deux sur la vulve. D’accord avec le tarif Julia?
- Oui Seigneur!
- Bien! Debout!
Julia se leva toujours aussi apeurée.
- Nous allons descendre dans le salon. Prends la valise d’accessoires et suis-moi!
Il descendit dans la grande salle, Julia sur ses talons. Il lui fit signe de poser la valise sur la table. Il l’ouvrit et prit en premier lieu un bâillon de cuir.
- Je n’ai pas envi que tu me casses les oreilles. Ouvre la bouche!
Il lui mis en place la boule de cuir et l’attacha avec les lanières derrière la nuque. Julia ne pouvait ainsi ni parler, ni crier. Elle ne pouvait que gémir. Il pris ensuite des moufles et y enfila les mains de la jeune femme. C’étaient des espèces de moufles en cuir souple qui permettaient d’emprisonner les mains. Une lanière à boucle, en plus d’une fermeture éclair, garantissait le blocage du poignet. Un mousqueton au bout du gant permettait de l’accrocher afin de laisser les bras suspendus. Il sortit, pour finir une corde qu’il passa par-dessus une des grosses poutres et plaça en dessous deux épais annuaires téléphoniques.
Il fit signe à Julia de monter sur les bottins et de lever les bras. Il attacha les moufles à la corde et tira sur celle-ci pour tendre au maximum les bras. Il retira ensuite les bottins. Julia se retrouva les bras en l’air, le corps complètement étiré. Elle ne pouvait plus se soustraire aux coups.
- Et voilà, ma jolie! Nous allons pouvoir commencer.
Il s’approcha d’elle et passa la main sur la vulve, surpris de constater qu’elle semblait bien lubrifiée.
- Mais c’est que tu mouilles, salope, dis-il. Et tes tétons sont tout bandés! On va voir si après les coups ce sera toujours le cas.
Les mamelles de Julia tressautèrent lorsque le premier coup de cravache retentit en s’y abattant, suivi d’un long gémissement de l’esclave qui ne pouvait même pas se soulager en criant. Puis le ventre, les reins, les cuisses,... Les coups pleuvaient sur le corps de Julia qui se tordait de douleur dans tous les sens.
Il restait à l’homme à donner les deux coups sur la vulve. Il alla chercher dans la valise l’écarteur. C’était une barre métallique d’un mètre cinquante, dont chaque extrémité est reliée à une chevillière de cuir épais. Il fixa cet écarteur aux chevilles de Julia, ce qui l’obligea à écarter les jambes. La voie étant maintenant libre, il lui assena les deux derniers coups sur la chatte sans y aller trop fort pour ne pas faire éclater les nymphes archi sensibles. Julia poussa un long râle alors que la douleur lui vrilla le cerveau.
- Voilà! La correction est terminée, lui expliqua-il. J’espère que tu as compris maintenant. Mais pour plus de sécurité et afin que je sois certain que tu n’oublies pas, tu auras une autre séance demain.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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