Jeudi 2 août 4 02 /08 /Août 19:13
6


Affalé sur le canapé, l’homme regardait la télévision en pensant à cette journée si peu ordinaire. Julia était en train de préparer le dîner. Son beau corps couvert de zébrures allait et venait dans la cuisine.
- C’est prêt Seigneur, annonça-t-elle. Pouvons-nous passer à table?
- Bien sûr, répondit-il en se levant.
Julia apporta le dîner. Ils n’avaient pas fait les courses et elle n’avait trouvé qu’une boite de ravioli et des sardines à l’huile. De toute façon, il n’avait pas tellement faim. Elle les servit, et, prenant son assiette en main, lui demanda:
- Où me mets-je, Seigneur?
- Tu poses ton assiette sous la table et tu manges à quatre pattes par terre sans couverts et sans tes mains.
Elle s’exécuta et commença à laper à grands bruits le contenu de son assiette, à genoux aux pieds de l’homme, le cul en l’air et la tête dans son assiette. Elle finit avant lui et attendit sagement assise sur ses talons, le visage couvert de sauce tomate (enfin, si on peut appeler çà de la sauce tomate).
Lorsque l’homme eut terminé son assiette, elle lui annonça qu’elle n’avait pas trouvé de dessert.
- Ce n’est rien mon ange, lui répondit-il. Tu seras mon dessert. En attendant, débarrasse!
Elle le fit et revint à la table, se tenant debout à côté de lui, attendant les ordres.
- Allonges-toi sur la table, face à moi, lui dit-il! Et écarte haut les jambes!
Il avait devant lui un beau dessert : une vulve bien tiède. Sa langue entra aussitôt en action pour titiller les grandes lèvres et pour jouer avec les nymphes archi-sensibles.
Julia laissa sortir une plainte qu’elle ne pouvait conserver dans les profondeurs de sa gorge et se tortilla à la manière d’un ver de terre.
- Doucement, Julia, lui dit-il! Je te rappelle que tu ne prendras du plaisir que sur mon ordre. Alors, arrête de gémir et de bouger!
Il replongea la tête dans le bas-ventre. Il continua ainsi durant près d’un quart d’heure, agaçant le clitoris à tel point qu’à plusieurs reprises, le réflexe étant le plus fort, Julia projeta son ventre en avant. Mais le plus dur pour elle, était de se retenir de jouir. Sentant ses limites proches, il retira son visage, frustrant ainsi son corps de l’orgasme.
- Très bon ce dessert Julia! A ton tour!
Il se leva, baissa son pantalon et lui dit de venir se mettre à genoux devant lui pour le sucer. Elle se mit en position, approcha son visage de son ventre jusqu’à ce que sa bouche se trouve devant le gland turgescent. Elle prit possession de son membre déjà raide qu’elle honora d’un premier coup de langue avant de l’engloutir dans sa presque totalité.
Elle lubrifia sa verge de sa salive par quelques mouvements de succion et entreprit une fellation des plus soignées. L’homme était aux anges! Ses lèvres suivaient au plus près le tour de son organe. Elle pompait goulûment, n’émettant que quelques sifflements quand elle reprenait sa respiration.
Il lui passa la main derrière la nuque pour lui donner la cadence qui lui convenait le mieux: lentement... arrêt au fond de la gorge... Il sortait, se frottais contre son visage puis, brusquement, il la pénétrait de nouveau, lui imprimant une cadence rapide.
Il sentit une boule de feu se former dans son ventre. C’était merveilleusement bon. Son sexe semblait gonflé à éclater. Julia comprima fortement les lèvres et il se laissa aller dans sa bouche.
Il remit son pantalon alors que Julia, toujours à genoux, le regardait, les lèvres brillantes de salive mélangée à son foutre.
- Va faire la vaisselle ma petite caille, lui dit-il, et rejoins-moi après!
Elle se leva et alla à la cuisine. Il la regardait un moment faire la vaisselle avec pour seuls vêtements ses bas et ses chaussures à talons hauts, puis se remit devant la télévision et essaya de comprendre le film qu’il prenait au milieu.
La vaisselle finie, Julia revint vers lui. Le film ne l’intéressait décidément pas. Il voulait voir un autre spectacle.
La nuit était douce et claire. Le ciel, empli d’étoiles, avait une clarté surnaturelle qui donnait au corps nu de Julia une blancheur spectrale des plus excitantes. Il lui avait fait enlever ses bas et ses chaussures avant la promenade. Ils déambulaient dans les allées du jardin, Julia derrière l’homme, muselée par un harnais de tête, à quatre pattes au bout d’une laisse accrochées à un collier. Il prit plaisir au début, à passer dans les allées recouvertes de gravillons qui s’enfonçaient dans les paumes et les genoux de l’esclave. Elle eut aussi quelques difficultés à passer quand il décida de prendre à travers le petit bois, devant escalader à quatre pattes de petits blocs de grès par-dessus lesquels il passait exprès. Trouvant qu’elle n’allait pas assez vite, il tira sur la laisse, enfonçant les petites pointes de son collier dans son cou. Elle le suivait sans une plainte, la brave petite, bâillonnée par sa muselière.
Ils débouchèrent sur une petite clairière d’où ils pouvaient voir la maison. Un tronc d’arbre, dont l’écorce avait été enlevée, était couché par terre et servait de banc. Il s’y assit à califourchon, donnant l’ordre à Julia de faire de même et de s’y frotter le sexe en silence.
L’homme regardait la maison sous le ciel étoilé de cette soirée d’été en fumant une cigarette. Le calme était absolu. La sérénité de cette nuit superbe n’était troublée que par le bruissement du feuillage et par les bruits de succions de la vulve de Julia glissant sur le tronc lisse qu’elle enduisait de cyprine. A sa tête, il se rendit compte qu’elle commençait à y prendre plaisir.
- Assez Julia, lui ordonna-t-il! Tu prends ton pied encore une fois ma salope! Viens plutôt devant moi!
Elle quitta le tronc, presque à regret semblait-il, et vint se planter à quatre pattes devant lui. Il lui retira son harnais.
- Fais la belle! Va, ma chienne, fais la belle!
A genoux par terre, elle leva le torse et replia ses avant-bras sur sa poitrine, les mains pendantes sous le menton.
- Mieux que ça, insista-t-il! Tu peux sûrement mieux faire!
Elle se cambra, ressortant les fesses, pointant les seins en avant, et se mit à haleter en tirant la langue.
- C’est bien, l’encouragea-t-il. Aboie maintenant!
Dans la même position, elle émit un jappement, puis plusieurs autres, s’évertuant à imiter du mieux qu’elle pouvait le chien. Il ramassa un bout de bois et le lui montra.
- Va chercher, mon chien! Rapporte!
Il lança le bout de bois un peu plus loin. Julia alla le chercher le plus vite possible, se déhanchant à quatre pattes. L’ayant trouvé, elle le prit en bouche et regarda l’homme.
- Rapporte Julia! Viens à ton Maître!
Elle revint vers lui, le bout de bois dans la bouche et le posa à ses pieds. Il recommença ce petit jeu deux ou trois fois, puis, en ayant assez, attrapa la laisse et ils reprirent leur promenade. Julia haletait comme une bête, essayant de reprendre son souffle après ces courses répétées à quatre pattes. Ils arrivèrent sur la grande pelouse qui donnait sur la terrasse de la maison.
- J’en ai assez de marcher Julia, lui dit-il. Tu vas me porter jusqu’à la maison.
Joignant l’acte à la parole, il grimpa sur sa croupe et d’une tape sur les fesses lui donna l’ordre d’avancer. Elle avait du mal à supporter son poids et, pour ne pas être désarçonné par son déhanchement, il se cramponnait au collier qui l’étranglait et lui rendait la respiration difficile. C’était avec des halètements rauques que ses poumons essayaient d’aspirer le plus d’air possible. Pour lui donner du courage, il lui enfonça, un doigt dans le cul et entreprit de fouiller.
C’était avec quatre-vingt-dix kilos sur le dos, la respiration difficile et trois doigts dans le cul que Julia arriva à la terrasse. Il descendit de sa monture et ouvrit la grande porte-fenêtre du salon.
- Après vous ma chère, lui dit-il en lui faisant signe d’entrer. Toujours à quatre pattes, elle entra dans le salon.
- Puis-je aller boire un peu d’eau, Seigneur, lui demanda-t-elle?
- Bien sûr ma petite caille. Ne bouge pas, je t’en apporte.
Il trouva dans la cuisine un saladier qu’il remplit d’eau. En revenant au salon il vis sa Julia qui l’attendait assise sur ses talons. Elle n’avait pas remis ses chaussures. Il lui semblait pourtant avoir été assez clair. Il posa le saladier devant elle. Elle se mit à laper avidement.
- Julia ma jolie, lui dit-il doucement, aurais-tu déjà oublié mes instructions?
Elle le regarda, son visage trahissant l’angoisse d’avoir commis une faute.
- Je te le répète, lorsque nous sommes seuls, à l’intérieur, ta tenue réglementaire, sauf ordre contraire, est nue avec tes chaussures. Ceci est valable que tu sois à quatre pattes ou dans toute autre position. Va mettre tes chaussures, et vite!
Il s’approcha de la valise pendant que Julia mettait ses chaussures.
- Où, cette fois, lui demandai-je?
- Pardon?
- Où veux-tu tes coups?
- Mais, Seigneur, commença-t-elle, je...
- Il n’y a pas de mais, l’interrompit-il! Sur les seins? Sur le ventre? Les fesses? Les cuisses peut-être? L’arrière des cuisses est en effet assez sensible! A moins que tu ne préfères la vulve?
- La vulve?
- Pardon? Qu’ai-je entendu?
- Euh! Non, non! Pas la... Le ventre! C’est ça, le ventre Seigneur!
- Julia! Que ta langue fourche, c’est ton problème. Mais que tu me prennes pour un idiot, devient le mien. Et comme je n’aime pas que l’on me prenne pour un con, surtout toi, tu vas recevoir une sacrée correction. Comme tu l’as demandé, ce sera sur la vulve.
- Non, Seigneur! Pas ça, supplia-t-elle en se mettant à pleurer! Pas la vulve!
- Tais-toi, esclave! Depuis cinq minutes, tu ne dis que des conneries: d’abord tu essaies de me tromper, donc ta punition est doublée. Ensuite tu ne réponds pas comme je te l’ai appris; on redouble. Enfin tu me dis non alors que c’est un mot qui est maintenant banni de ton langage. On double encore une fois. Cinq fois deux dix, fois deux vingt, fois deux quarante. Tu recevras donc quarante coups de martinet sur la vulve!
Le visage de Julia était livide.
- Rassure-toi, le martinet fait presque aussi mal que la cravache. Mais il abîme moins. Mais avant, remets-toi à quatre pattes devant moi et dis-moi correctement que tu veux tes coups!
- Oui, Seigneur, dit-elle en se remettant en position. Toi qui es si généreux, donnes moi, s’il te plaît, mes quarante coups bien mérités sur la vulve!
Ayant à peine terminé sa phrase, Julia éclata en sanglots. De grosses larmes coulaient sur ses joues. Elle semblait vraiment malheureuse.
L’homme s’accroupit derrière elle et posa sa main sur sa chatte encore humide de la masturbation sur l’arbre. Il jouait avec ses lèvres, doucement, titillant le clitoris et fouillant l’intérieur chaud et humide avec deux doigts en secouant la main. Les pleurs étaient maintenant entrecoupés de gémissements de plaisir.
- Tu es vraiment une salope, ma petite caille! Tu ne perds pas une occasion de jouir. Profite-en, cela ne durera pas!
Il sortit ses doigts trempés de son sexe et étala la cyprine sur ses lèvres, massant la vulve, faisant rouler son clitoris entre son pouce et son index. Les pleurs avaient cessé, laissant la place à des râles rauques.
- Doucement, Julia! C’est quand même une punition que je t’inflige. Si je commence par te caresser, c’est uniquement pour que les coups soient plus douloureux après.
Pour le lui faire bien comprendre, il écrasa le clitoris entre ses doigts. Julia grimaça de douleur. Il lâcha le bouton, se leva et alla chercher dans la valise une grande sangle de cuir, comme celles qu’utilisent les déménageurs. Il prit aussi le martinet.
- Allons Julia, couches-toi sur le dos!
Il passa la sangle sous elle, lui prit les jambes, les leva et les poussa de sorte que ses genoux touchent ses épaules. Il passa ensuite la sangle sur les cuisses et serra fort. Julia était bloquée sur le dos, les genoux sous le menton, ses cuisses écrasant ses seins, sa vulve offerte à tous les sévices.
Les lanières du martinet s’abattirent sur la vulve humide. La douleur fit perdre la tête à Julia. Elle se mit à crier comme une folle, appelant aux secours qui voulait bien l’entendre.
- Pas la peine esclave! Personne ne peut t’entendre ici, expliqua l’homme. Tu ferais mieux de te taire car chaque coup où tu cries est annulé. Tu en as déjà reçu trois, il t’en reste toujours quarante à recevoir.
La douleur, provoquée par les coups sur la vulve complètement excitée, était insupportable pour Julia. Elle se mit à crier de plus belle, se tortillant frénétiquement pour soustraire ses chairs délicates aux morsures des lanières de cuir. L’homme en profita pour lacérer ses cuisses et ses mollets. Après cinq coups sur la vulve, il prit dans la valise une brosse à chaussure et entrepris de faire reluire les cuisses et les fesses de son esclave. La peau rosissait sous la chaleur des frottements. Quand l’arrière des cuisses fut bien rouge, il reprit le martinet et frappa à nouveau les chairs échauffées, sans oublier la vulve.
Le corps de Julia était secoué de convulsions à chaque coup. Au dixième coup, le compte à rebours était toujours à quarante. Sa vulve avait pris une couleur rouge et semblait avoir augmenté de volume. Il arrêta de frapper, n’ayant de toute façon pas eut l’intention de donner les quarante coups.
- Vois-tu mon amour, il y a quand même une limite à ma violence. Mon but n’est pas de détruire ton corps mais ton statut d’être humain. Les sévices corporels que je t’inflige n’ont d’autre but que te dresser, comme on dresse un animal. Ces coups doivent te faire comprendre qui est le maître et te faire entrer dans le crâne les règles qui nous unissent sous forme de réflexes. Ils provoqueront ta soumission complète. D’abord par crainte des punitions, puis en valorisant mon côté tendre et aimant. Je ne veux pas provoquer de lésions graves sur un si beau corps. Je m’amuse avec mes jouets, je ne les casse pas.
Il détacha la sangle qui maintenait les jambes de Julia et lui dit de les baisser. Il se mit nu et se coucha sur elle, la regardant dans les yeux où il vit paradoxalement plus d’amour que de crainte et pas une trace de haine. Il fit descendre une main vers son vagin tout gonflé et le massa vigoureusement. Cela fit jaillir des larmes des yeux de Julia. Il ne pouvait toucher sa vulve sans que la douleur lui déforme le visage. Il se redressa, s’assit à califourchon sur son torse et commença à se masturber avec ses seins. L’érection ne se fit pas attendre.
Abandonnant sa poitrine, il se coucha sur Julia et la pénétra. Une grimace de douleur apparut sur son visage.
- Tu as mal, demanda-t-il innocemment?
- Evidement Seigneur, dès que tu y touches.
- Tant pis! Je vais te baiser et tu as intérêt à jouir! Fait semblant au besoin!
- Bien Seigneur!
Et de continuer à aller et venir dans son con tout enflé et douloureux. Il s’appliquait à la pénétrer profondément et à bien se frotter contre son vagin sachant qu’elle avait mal et était obligée de faire semblant d’y prendre du plaisir. Pendant un quart d’heure il la pénétrait ainsi sauvagement. Des larmes sortaient des ses yeux, mais des larmes de douleur et non de plaisir. Par contre, elle s’appliquait à gémir et à se contorsionner comme si elle prenait son pied alors qu’elle ne ressentait que douleur.
- Super Julia, l’encouragea-t-il! J’ai vraiment l’impression de pénétrer une poupée gonflable de luxe.
- Oh oui Seigneur! Encore, enfonce plus loin, plus fort!
Et de gémir et haleter de plus belle. Elle faisait onduler son corps comme un serpent, donnant des coups de ventre pour que je la pénètre plus profondément.
- Mon dieu!... Mon dieu que c’est bon!... Mais que c’est bon!... Oh la la!... Je n’en peux plus!... Je n’en peux vraiment plus!... C’est trop bon!... Trop bon!... Ca y est! Je jouis!... Je me liquéfie!...
- C’est ça Julia, continue!
- Oui!... Oh oui!... Je jouis!... J’orgasme, je me vide de toute ma mouille!... Aaaaah, je meurs!... Oui!... Oui!... Encore!... Plus fort!... Encore plus fort!...
Au moment où il éjacula, Julia se cambra, le soulevant, comme si elle était secouée par un orgasme profond et de sa gorge sortit un cri de jouissance parfaitement imité.
- Je me meurs!... Ooooooooooohhh!...
Si une fois sa verge sortie de son con, elle ne s’était pas mise à grimacer de douleur, il aurait bien cru qu’elle avait encore eu un orgasme.
Il prit sa tête entre ses mains et lui dis en la regardant dans les yeux:
- Amusant, n’est ce pas, comment la première fois que l’on fait l’amour ensemble, tu es obligée de faire semblant. Ce doit être frustrant de savoir que j’ai pris mon pied en toi, alors que toi, tu n’as rien sentis à part la douleur. Un viol consentant en quelque sorte.
Julia se mit à pleurer.
- Seigneur!... Oh Seigneur! J’aurais tant aimé pouvoir, pour la première fois, jouir en recevant ta semence. Mais tu ne l’as pas voulu ainsi, je ne dois pas me plaindre et suis pleinement satisfaite de t’avoir contenté.
L’homme se redressa légèrement, pour la regarder, un peu surprit. Simulait-elle encore ou était-elle sincère ? En fait, peu importait. Il était heureux : son dressage commençait à porter ses fruits. Il lui répondit :
- Oui! Soit heureuse car j’ai pris du plaisir à me branler en toi. Tu n’es plus rien, à part mon objet de plaisir et je t’aime.
- Moi aussi Seigneur.
Ils s’embrassèrent durant de très longues et agréables minutes puis allèrent se coucher.
- Dors bien ma jolie et reprends des forces. Demain sera une dure journée pour toi.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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