Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 19:00
7

Le lendemain, Julia et l’homme allèrent à la petite ville voisine afin de faire quelques provisions pour le week-end. Julia était habillée comme la veille. Sous sa jupe, en plus de son porte-jarretelles, elle avait deux godes bien enfoncés dans son vagin et son anus. Après une nuit de repos, sa vulve avait retrouvé ses splendeurs ainsi que son volume normal. Ce n’était pas une raison pour la laisser inoccupée. C’est pourquoi s’y trouvait un gode de taille moyenne. De plus, puisqu’elle ne s’était jamais fait sodomiser, il fallait préparer son anus à recevoir n’importe quoi à n’importe quel moment. C’est ainsi qu’elle se retrouva avec un gode de dix centimètres sur trois bien calé dans son fondement. Les deux engins étaient maintenus en place par des lanières reliées à une ceinture. A chaque fois qu’elle s’asseyait, Julia avait un petit sursaut quand ses godes s’enfonçaient en elle.
Faute de provisions, ils prirent un petit déjeuner dans un café. A son entrée elle fit sensation. Il était rare de voir dans une petite ville comme celle-ci une aussi jolie femme, qui, manifestement, le savait et le montrait. Tout le monde n’avait d’yeux que pour elle et, Julia s’en rendant compte, en rajoutait en tortillant du croupion. Elle produisait le même effet partout où ils allaient.
- Arrête de te déhancher comme ça quand tu marches, lui dit l’homme. Tu vas finir par provoquer une émeute.
- Je ne le fais pas exprès, répondit-elle. Mon cul commence à s’échauffer sérieusement. J’ai de temps en temps un spasme comme si mon anus voulait se débarrasser du gode.
- C’est bien pour cela qu’il y a les lanières.
S’étant levés tard, ils terminèrent leurs courses vers midi. Ils décidèrent de déjeuner au comptoir du bar de ce matin. Pendant qu’ils mangeaient, Julia lui demanda:
- Puis-je aller aux toilettes? C’est pour enlever, ne serait ce qu’un instant les godes. Je n’en peux plus, je suis sûr que je vais me mettre à faire sur le tabouret. J’ai des spasmes de plus en plus rapprochés.
- Je le vois bien et cela m’amuse, répondit l’homme. Si tu retires les godes, mets à la place ces deux œufs durs que tu auras préalablement épluchés. Seulement, dans ce cas, il faudra les garder, et sans l’aide de lanières quelconques, jusqu’à ce que je te dise de les manger.
L’idée de manger ces œufs fit que Julia décida de se retenir. Mais son visage devenait de plus en plus rouge et elle n’arrêtait pas de bouger sur le tabouret, croisant et décroisant sans cesse ses jambes pour le plus grand plaisir des hommes du bar. Enfin elle craqua.
N’y tenant plus, elle prit deux œufs durs sur le présentoir du comptoir, son sac à main et se dirigea, en courant presque, vers les toilettes sous le regard médusé du barman qui ne voyait pas le rapport avec les œufs. Pour sa part, l’homme continuait à manger comme si de rien n’était.
Dans la voiture, Julia lui raconta que lorsqu’elle avait enlevé le gode de son cul, elle fut secouée de spasmes comme si elle se libérait de trois kilo de merde d’un coup.
- Je ne savais pas que l’on pouvait ainsi jouir du cul, ajouta-t-elle. Mais le mieux fut quand j’y ai placé l’œuf. Une fois à l’intérieur j’ai ressentis les mêmes sensations agréables qu’avec le gode, mais en plus supportable. Par contre, le passage de l’anus fut une vraie jouissance.
- Et l’œuf dans ton vagin, lui demandai-je?
- Apparemment il s’y sent très bien et quand je marche je le sens bouger: c’est génial!
- Tâches de n’en perdre aucun! N’oublie pas que c’est ton dîner!

Arrivés à la maison, Julia déchargea la voiture et avant de ranger les provisions, elle se déshabilla ne gardant que ses chaussures et ses œufs. Elle avait bien appris la leçon.
L’homme la fit ensuite monter dans la chambre et s’allonger sur le lit où il l’attacha bras et jambes écartés à chacun des montants du lit.
- Hier soir, lui dit-il, je t’avais promis lors de ta première séance de cravache que tu en aurais une aujourd’hui. Je tiendrais donc parole, mais la séance d’aujourd’hui sera un peu spéciale. Elle durera toute l’après-midi.
Une lueur d’inquiétude apparut dans les yeux de Julia.
- Elle sera à base de frustrations. Frustration du mouvement d’abord, puisque tu es attachée au lit. Frustration de la vue aussi, car je vais te mettre un bandeau. Frustration de l’ouïe enfin avec des boules Quies dans les oreilles. Tu n’auras donc aucun lien avec l’environnement extérieur. Tu pourras à ton aise méditer sur ta nouvelle condition. Je viendrais de temps en temps, à intervalles irréguliers et pour des durées irrégulières, te donner quelques coups de cravache ou de martinet, n’entendant rien, ne voyant rien, tu ne sauras jamais quand ni où le coup viendra. Ce sera à chaque fois une surprise.
Durant tout l’après-midi, l’homme montait donner à Julia plusieurs coups à des endroits différents de son corps. A chaque fois la douleur était fulgurante car, ne sachant ni quand ni où le coup allait venir, elle ne pouvait pas s’y préparer. En fin d’après-midi, il monta avec à la main un gros sac de pinces à linge en plastique. Il s’approcha de Julia, qui, toujours étendue sur le dos, dormait. Son corps était zébré de traces de coups. Il commença par lui sucer l’aréole des seins afin de faire bander les tétons. La réaction fut immédiate et Julia se réveilla. Une fois les tétons durcis, il plaça une pince à linge sur chacun. Julia gémit en grimaçant. Il s’amusait ensuite à lui pincer le clitoris, enlevant la pince pour la remettre, puis de nouveau la retirant sans la «dépincer», tirant sur l’organe pour mieux lui faire sentir le pincement. Finalement, il laissa la pince dessus, s’attaquant aux lèvres, les étirant au maximum pour pouvoir mettre le plus de pinces possibles.
Julia se trouva bientôt couverte d’une cinquantaine de pinces à linge sur tout son corps: cinq à chaque sein, mamelles comprises, une dizaine sur la vulve dont une sur le clitoris, une demi-douzaine sous chaque aisselle, puis sur les cuisses, dans la raie des fesses, sur l’anus, entre les doigts de pieds, dans les narines et sur les lèvres de sa bouche, les oreilles, le cou. Julia s’était transformée en hérisson. La laissant ainsi, il redescendit au salon et attendit une bonne heure que la douleur devienne un peu moins supportable.
Remontant dans la chambre, il se déshabilla et retira les pinces de la vulve en tirant dessus. La douleur fit crier Julia. L’afflux de sang dans les parties pincées lui faisait encore plus mal que les pincements eux-mêmes. Sans attendre que la douleur s’estompe, il la chevaucha et l’empala sans même enlever l’œuf. Il se mit à la labourer, s’accrochant, tel un cavalier tartare déchaîné, à toutes les pinces que ses mains trouvaient. Julia se tordait en tous sens et de sa bouche distendue par les pinces sortaient des hurlements de douleur. La vue de son visage avec les pinces dans le nez, les oreilles et sur la bouche l’excitait au plus haut point, ainsi que l’œuf que sa verge rencontrait à chaque pénétration. Toutes les pinces tremblaient sous les secousses, ajoutant encore à la douleur. Des larmes sortirent de sous son bandeau.
Après avoir joui en elle pour la deuxième fois sans qu’elle ne ressente aucun plaisir, il la libéra de son bandeau et de ses boules Quies.
- Tu as aimé, hein, ma salope! Mais attends de voir la suite. Ce n’est pas fini!
Il retira en tirant dessus toutes les pinces de son corps qui n’étaient pas déjà tombés pendant la chevauchée. Il détacha ses chevilles et releva ses jambes derrière sa tête, les écartant pour attacher de nouveau les chevilles au même endroit que les poignets. La respiration rendue difficile par cette position inconfortable, Julia soufflait comme un phoque. La vue de son cul que rien ne protégeait de ses envies le fit bander de nouveau. Il prit un godemichés de taille normale et l’enfonça doucement, mais d’un coup, jusqu’au bout dans son fondement. Enculée à sec, le visage couvert de marques des pinces à linge, Julia se tortilla pour échapper à cette brûlure ravageuse. Le phallus de plastique s’enfonçait dans ses chairs écartelées. Il le fit coulisser doucement d’abord puis avec frénésie. Julia ne pouvait s’échapper du pal qui lui vrillait les reins. Elle se mit à se tordre de douleur.
Il officiait ainsi durant de longues minutes. Sa croupe finit par onduler en rythme et un spasme la secoua. Il s’ingéniait à faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il cherchait les points les plus sensibles de son anus et de son rectum et y portait la plus part de ses attaques. Julia commençait à s’envoyer en l’air, avec de grands cris jouissifs. Des vagues de plaisir commencèrent à submerger son cerveau. Il s’acharnait à déchirer Julia qui se déhanchait, criant en rythme son plaisir.

Ne s’étant apparemment pas correctement administré son lavement quotidien, les spasmes poussèrent les matières fécales hors de ses intestins. La merde vint s’enrober autour de l’œuf. Il retira le gode avant que lui-même ne soit souillé. L’œuf sortit dans la foulée.
- Tu sens l’odeur, Julia? Il est évident que tu ne t’es pas correctement lavé le cul. Tu prendras donc ton hors-d’œuvre un peu avant l’heure.
Avec un mouchoir, il prit l’œuf enrobé de merde et l’approcha de son visage.
- Regarde ce bel œuf, sale chienne!
Julia détourna la tête.
- Regarde, lui dit-il en la giflant. Tu vas gentiment sucer ton intérieur, et je veux que cet œuf soit aussi propre que quand tu te l’ais enfoncé dans le cul! Vas-y, lèche-le !
Julia secoua la tête, comprima ses lèvres ne voulant visiblement pas goûter sa merde. Il lui pinça le nez et attendis. Pour l’instant elle retenait sa respiration mais au bout d’une demi-minute elle devint toute rouge et n’y tenant plus ouvrit la bouche pour reprendre sa respiration. C’est à cet instant que l’homme lui enfonça l’œuf dans la bouche, lâcha son nez et des deux mains referma ses mâchoires.
- Mâche cet œuf et avale-le!
Julia commença doucement à mâcher l’œuf en ayant des spasmes de vomissement, puis l’avala enfin entre deux haut-le-cœur.
- C’était bon n’est ce pas?
Elle ne répondit pas, ayant encore envie de vomir, sa bouche étant tapissée par endroit de merde restant collée sur les dents. Ce n’est qu’au bout de cinq gifles qu’elle dit dans un souffle:
- Oui, Seigneur!
- Ah! Tu as aimé? Et bien je vais t’en redonner!
- Non, non, cria-t-elle de toutes ses forces!
Il s’approcha de son cul et se branla pour se faire bander. Une fois sa verge raide, il pénétra son anus plein de merde. Il lui suffit d’un coup de hanches pour que la presque totalité de son membre disparaisse dans le pertuis intestinal. Il la sodomisa alors sauvagement, s’enfonçant avec délice dans sa merde chaude. Son cul, vierge jusqu’à aujourd’hui, était agréablement étroit. Visiblement cela plaisait à Julia qui haletait, gémissait, soupirait et émettait un long râle à chaque spasme. Il lui titillait le clitoris durant toute l’opération. Elle poussait de véritables petits cris d’enthousiasme à chaque fois que son phallus s’enfonçait dans ses entrailles. Il ressortit sa bite sur laquelle s’était déposée une bonne couche de merde et l’approcha de sa bouche.
- Suce ma jolie, puisque tu aimes.
Avec quelques hésitations Julia sortit sa langue mais, considérant qu’elle ne s’exécutait pas assez rapidement, il lui enfonça sa bite de force dans sa bouche. Des larmes coulaient le long de ses joues pendant qu’elle nettoyait sa verge de ses matières puantes.
De voir sa bouche pleine de merde augmenta son excitation et sentant l’éjaculation proche, il sortit de sa bouche pour frotter son gland contre ses narines. Le foutre jaillit, remplissant les narines et dégoulinant en belles perles translucides sur son visage grimaçant sous les contractions de son estomac.
- Tu es superbe avec la bouche pleine de merde et le nez plein de sperme.
Il détacha ses jambes, s’assit sur le coussin moelleux de ses seins et la regarda. Sentant une envie de pisser venir, il lui remit sa bite dans la bouche et lui dit:
- Suce bien et bois bien, sinon tu mangeras!
Ne pouvant plus se retenir il lui dit:
- Bois maintenant, mais n’en renverses pas!
Puis de se laisser aller dans sa gorge. Julia fut surprise, n’ayant sans doute pas comprit de quoi il s’agissait, et secoua la tête, dégageant le sexe de l’homme de sa bouche. Ce dernier, lui pissa alors sur le visage, les cheveux, le cou, en en mettant partout sur le lit.
- C’est tant pis pour toi! Je t’avais prévenue, lui dit-il en lui enfonçant de force son membre dans la bouche en lui tenant la tête à deux mains.
Julia avalait le plus vite qu’elle pouvait mais c’est tout juste si elle ne s’étouffa pas sous ce jet abondant, toussant à s’en arracher les poumons alors qu’elle en avait avalé de travers dans le feu de l’action. Lorsqu’il eut libéré sa vessie, il se mit à genoux, se retourna et s’assit sur son visage.
- Je ne voudrais pas que tu en laisses, sinon je te promets que je te fais percer les grandes lèvres et les seins et que j’y fais mettre des anneaux. Ouvre la bouche!
Julia s’exécuta, ne sachant plus où elle était, le cerveau débranché face à tant de violence soudaine de la part de cet homme qui, par ailleurs, pouvait lui procurer tant de plaisir. Ce dernier lâcha un étron énorme dans sa bouche. Il était si gros qu’il ne rentrait pas entièrement.
- N’oublie pas ce que je viens de dire!
Avec sa langue, Julia essaya de mettre le tout dans sa bouche mais elle ne réussit qu’à en casser un morceau qui tomba le long de sa joue sur le lit pendant que tout son corps entravé se tordait sous les spasmes de révulsion.
- Décidément, tu accumules les gaffes, lui dit-il. Mange maintenant!
Il ferma la bouche de Julia et ses dents rencontrèrent la merde pâteuse et fort odorante. Elle eut la nausée mais avala une première fois un morceau et c’est là que son organisme ne pu en subir plus. Son estomac eut un spasme plus fort que les autres indiquant qu’elle n’allait pas tarder à vomir. L’homme alla vite chercher dans la valise le rouleau de ruban adhésif d’emballage et ferma de manière étanche la bouche de Julia en collant plusieurs bandes sur ses lèvres. Il était temps.
Les nausées révulsèrent son estomac qui en rendit le contenu. Ses lèvres étant hermétiquement closes, le vomi s’arrêta en bouche obligeant Julia à le ravaler. Un autre spasme en amena un second lot. Par la pression, il jaillit par le nez sous ses yeux pleins de larmes. Les jaillissements de son nez aspergèrent le torse de l’homme alors qu’un troisième spasme secoua la jeune femme qui manqua de s’étouffer sous le flot trop abondant de vomi qu’elle avala de travers. L’homme lui retira son bâillon et le flux de vomi jaillit en éclaboussant son corps écartelé sur le lit. Ses nausées ainsi que sa crise de toux finirent par se calmer et l’homme attendit que son esclave, toujours attachée dans sa position fort inconfortable, se calme un peu et surtout se rende compte de se qui venait de se passer et assimile bien le fait qu’elle venait de bouffer de la merde, de boire de la pisse et de se vomir dessus.
Alors seulement il la détacha. Il lui dit de se mettre à genoux sur le lit, et de lui lécher le corps pour enlever toute trace de merde ou de vomi. Ce faisant, elle vit son image reflétée par le miroir de l’armoire. De honte, elle éclata en sanglots et c’est en pleurant à chaudes larmes qu’elle lécha la peau maculée de son Maître. Aucun mot de sa part, même pas une consolation, rien. Silence.
Pendant qu’il prenait sa douche, Julia, les fesses et l’intérieur des cuisses couvert de merde, la poitrine gluante de vomi, et le visage recouvert d’un mélange de merde, de vomi et de sperme, retira les draps maculés du lit.
Il sortit de la salle de bain.
- Va te laver, lui dit-il! Tu es dégueulasse et tu pues! N’oublie pas de te faire un lavement correct cette fois-ci. Après tu referas le lit et viendras me rejoindre en bas.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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