Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 07:55
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Durant ce WE un peu spécial pour Julia, Geoffrey, son mari, se rendit à une adresse que lui avait donnée l’homme chargé de faire de sa femme. Il décida d’aller y faire un tour le samedi en fin de journée.
L’adresse était celle d’un gros pavillon de banlieue à la façade décrépie et un peu isolé. Le jardinet était en friche et la grille complètement rouillée. Mais la maison était bien habitée car plusieurs voitures stationnaient devant et de la lumière était visible aux fenêtres.
Il sonna à la grille et donna le mot de passe à l’interphone. Une gâche électrique fut actionnée. Il entra et s’avança vers la porte. Au moment où il allait frapper, une femme lui ouvrit. Elle était jolie et habillée avec classe: elle portait une robe en soie noire très serrée et hyper moulante, avec un décolleté particulièrement intéressant. Ses bras étaient recouverts de longs gants du même tissu. Elle s’effaça, l’invitant à entrer.

L’entrée était meublée avec goût. Si l’extérieur laissait à désirer, l’intérieur de la maison était parfaitement entretenu et meublé. La femme se présenta: elle s’appelait Alexia et ne voulait pas connaître le nom du visiteur avant qu’il ne soit entièrement satisfait.
Il était dans une espèce de club, lui expliqua-t-elle, où se rencontraient des gens partageant les mêmes goûts et les mêmes problèmes. Elle le fit entrer dans un salon. Dans un coin se trouvait un bar derrière lequel une jolie soubrette préparait des cocktails. Le reste du salon était occupé par de gros et confortables fauteuils en cuir disposés autour de tables basses où traînaient quelques verres. Plusieurs personnes y étaient installées et dévisageaient le nouveau venu en attendant qu’Alexia le présente:
- Voici un monsieur qui pourrait être intéressé par les activités de notre club et qui est venu se renseigner afin d’éventuellement y prendre part.
Geoffrey fit le tour de l’assistance afin de leur serrer la main. L’ambiance était tout à fait celle d’un club privé: amicale, chaude et sereine, encore qu’il sentait une certaine méfiance tout à fait naturelle à son égard. On l’invita à s’asseoir et la soubrette vint prendre sa commande. Il regardait les personnes qui, en retour, le dévisageaient sans aucune retenue.
- Je comprends tout à fait votre méfiance à mon égard, commença-t-il. Je suis pleinement conscient de ne pas être entré ici par la voie habituelle qui, à mon avis, doit être le parrainage, encore que je sois recommandé. Vous allez sûrement me questionner longuement afin de me jauger et de décider si je suis une personne de confiance ou un simple curieux. Bien que, j’en sois sûr, aucune de vos activités ne soit illégale, je comprends parfaitement qu’un filtrage soit nécessaire au niveau des admissions. C’est pourquoi je suis à votre entière disposition pour toutes les questions que vous voudrez bien me poser.
La discussion dura trois bonnes heures. Les propos, qui au début étaient neutre, voire mondains, glissèrent petit à petit vers le salace, et l’obscène. Toutes les personnes présentes avaient une ou plusieurs soumises et la fin de la discussion consista à raconter comment chacun les avait dressées et quels étaient les sévices qu’ils leur faisaient endurer. Geoffrey raconta son histoire et comment il fut amené à rechercher les services de celui qui avait la charge de sa femme durant le WE. Cela faisait un an que le couple était dans ce genre de relations sexuelles et le temps passant, la soumission de Julia devint de plus en plus psychologique, une attitude permanente qui ne concernait plus que le sexe. Ils en avaient parlé. Elle ne s’en était d’ailleurs pas franchement rendu compte mais acceptait d’autant mieux la chose qu’elle venait d’elle et n’était absolument pas imposée par son mari. En revanche, d’un point de vue sexuel, Julia en demandait toujours plus et Geoffrey avait du mal à lui procurer les sensations qu’elle recherchait. Bloqué par ses liens amoureux, il avait peur d’aller trop loin. Pour l’anniversaire du début de ces relations particulières, ils décidèrent d’y faire entrer une troisième personne, qui aurait plus de distance affective avec le sujet. C’est ainsi qu’ils décidèrent de ce WE. Le fait qu’elle soit seule avec l’homme n’était pas prévu et fut organisé par Geoffrey comme une surprise.
Il dut passer favorablement l’examen car Alexia lui proposa de visiter leurs installations.

Ils traversèrent l’entrée et Alexia le guida le long d’un couloir où se trouvaient six portes.
- Ce sont des chambres d’hôtes, expliqua-t-elle. Il arrive qu’un membre du club préfère passer la nuit ici que de rentrer chez lui.
Le couloir débouchait sur un escalier qui venait du sous-sol et qui montait à l’étage. Ils montèrent et arrivèrent devant une porte qu’Alexia ouvrit.
- Voici la salle de travail, dit-t-elle à Geoffrey. C’était une grande salle qui prenait tout l’étage. Elle était entièrement capitonnée et phoniquement isolée.
- De ce fait aucun bruit venant de l’intérieur ne peut être entendu à l’extérieur, expliqua Alexia.
Des anneaux et des chaînes pendaient un peu partout des murs et du plafond. Des appareils bizarres permettaient de faire subir différents sévices tels qu’extensions, compressions, torsions et autres immobilisations dans des positions diverses et variées. Elle montra l’endroit où l’on procédait au perçage ainsi que les outils utilisés. Il avait expliqué qu’il envisageait d’offrir à Julia de jolis bijoux.
De retour au salon, on lui expliqua les différentes activités du club. La première était la rencontre et l’échange d’informations et d’idées. La salle du premier était à la disposition des membres du club pour les travaux pratiques. Les membres du club étaient tenus de fournir à tour de rôle une de leurs soumises pour la soirée afin de s’occuper du bar et du ménage après la fermeture.
Les différents frais de l’association, tels que ceux des boissons, les charges de la maison et autre amortissement de matériel, étaient couverts par la caisse du club. Celle-ci était remplie de différentes manières:
Il y avait d’abord les cotisations des membres, mais vu les sommes relativement modestes ainsi perçues, elles seules ne suffisaient pas. La plus grosse part des revenus étaient due à un site internet que le club avait crée par lequel d’ailleurs Geoffrey avait fait la connaissance de l’Homme. En complément certaines activités étaient payantes, comme le perçage et le dressage. On lui apprit ainsi que le club pouvait recevoir jusqu’à cinq pensionnaires à temps plein. Contre un don en espèces d’un montant forfaitaire, l’association assurait au demandeur l’obéissance et la soumission du sujet dans un temps plus ou moins long suivant la docilité de ce dernier. On organisait aussi des stages d’entrainement et de perfectionnement. Là encore, chaque membre du club devait, au moins une soirée par semaine, assurer la permanence pour d’éventuelles séances de dressage qui duraient au minimum deux heures.
La permanence était assurée par Alexia qui habitait sur place. Ainsi pouvait-on venir à n’importe quelle heure du jour pratiquer une séance ou simplement boire un verre. Les éventuelles pensionnaires étaient constamment à la disposition de n’importe quel membre.
Geoffrey demanda naturellement s’il y avait des pensionnaires en ce moment et si oui, s’il pouvait les voir. Alexia le conduisit alors à la cave où étaient aménagées cinq chambres confortables. Les pensionnaires étaient actuellement au nombre de deux. Elles étaient chacune enfermées dans leur chambre. Ils regardèrent par une fenêtre donnant sur le couloir.
Dans la première chambre, la femme était nue, assise par terre dans un carcan métallique lui bloquant la tête, les poignets et les chevilles lui interdisant de fermer les jambes.
- Cette femme, expliqua Alexia, est en fin de stage. Sa séance de ce soir eût lieu avant que vous ne veniez et n’a pas duré très longtemps. Son dressage consiste à peaufiner certains détails. Cela fait maintenant trois jours qu’elle est constamment offerte ainsi à qui veut, sauf quand elle est en salle de travail bien entendu.
Ils passèrent à la chambre suivante.
- Cette jeune esclave, au contraire, est une novice. N’ayant pas encore très bien compris ce qu’on attendait d’elle, ses séances durent près de cinq heures d’affilé.
Son corps était effectivement couvert d’une multitude de traces de coups de fouet et de cravache. Elle était assise à califourchon sur une machine spéciale, qui, lui expliqua son guide, comprenait deux godes gonflables et vibrants fortement, reliés à un compresseur.
- Cela fait maintenant plus d’une demi-heure qu’elle a ainsi un gode dans le cul et un autre dans le vagin, qui se gonflent et se dégonflent indépendamment l’un de l’autre suivant un rythme aléatoire.
Afin que l’esclave ne touche à rien et reste en place, elle était solidement attachée par les poignets, les chevilles et la taille à la machine qui était une espèce de cheval d’arçons.
- C’est une superbe machine à plaisir, dit Geoffrey, et de plus elle a l’air efficace.
En effet, le visage baigné de larmes de la jeune fille montrait un mélange de douleur et de plaisir. Son corps était constamment secoué de convulsions et un râle quasi permanent, entrecoupé de cris de jouissance déchirants, sortait de sa gorge.
- C’est effectivement une machine extrêmement efficace, lui dit Alexia sur le chemin du retour. J’ai eu l’occasion de l’essayer et je vous pris de croire que cette jouissance permanente est quelque chose de sublime. Le problème est que l’on ne tient guère plus d’une heure. Les orgasmes deviennent alors tellement intenses et se suivent de manière si rapprochée que l’on finit par s’évanouir de plaisir.
- Vous l’avez essayé, dites-vous? Seriez-vous alors une soumise ?
- Non, absolument pas. Mais en tant que membre du club, on peut essayer n’importe quel appareil. Un jour peut-être l’essaierez-vous.
- Je n’y manquerais pas, répondit-il pas trop convaincu alors qu’ils arrivaient au salon.
Les membres encore présents lui proposèrent d’essayer sur la soubrette les installations de la salle de travail. Mise à l’épreuve ou cadeau de bienvenue ? De toute façon, il accepta. La soubrette, elle, fut un peu surprise car la soirée étant bien avancée, elle pensait avoir échappé aux sévices pour ce soir.

En entrant dans la salle de travail, Geoffrey trouva l’esclave debout, nue, lui tournant le dos. Il se dirigea vers l’armoire d’ustensiles et l’ouvrit. A l’intérieur étaient rangés toutes sortes d’instruments. Il y prit un bandeau gonflable en latex. La fille était toujours dans la même position. S’approchant d’elle par-derrière, il lui demanda son nom.
- Je m’appelle Saskia, monsieur, lui répondit-elle.
- Très bien Saskia, lui dit-il. J’espère que l’on va passer un bon moment tout les deux.
- Je ferais de mon mieux pour vous satisfaire, monsieur.
Il lui passa le bandeau sur les yeux, le serra et le gonfla. Aucune lumière ne parvenait plus à ses yeux. Il retourna à l’armoire et y prit un martinet à huit brins de caoutchouc de cinq millimètres de diamètre avec un nœud à chaque bout. Il prit aussi un écarteur pour ses chevilles et un deuxième pour ses poignets comportant un collier au milieu. Il fixa au cou de Saskia le collier. De chaque côté de sa tête partait une barre métallique au bout de laquelle se trouvait une menotte en cuir. Il y attacha ses poignets et fixa ensuite l’autre écarteur à ses chevilles. Il fit le tour de l’esclave pour l’admirer. Elle lui livrait entièrement son corps, ne pouvant ni baisser les bras ni serrer les jambes. Il vit que sa vulve était rasée et que des anneaux étaient passés dans ses grandes lèvres ainsi que dans ses tétons percés.
- A genoux, lui dit-il, face contre terre !
Saskia s’exécuta immédiatement. Dans cette position, elle offrait son sexe et son cul dans toute leur splendeur. Il s’assit à califourchon sur ses reins, la tête vers son cul, et, sans autres préambules, enfonça son doigt dans son anus. Tabouret de son maître, nue comme un ver, en position de prière musulmane, toute son intimité dévoilée sans pudeur, Saskia se soumettait à tous ses caprices. Il fouillait frénétiquement dans son cul. Cela du lui faire mal car elle eut un sursaut et un gémissement sortit de sa gorge. Il retira son doigt de ses entrailles et commença une belle fessée. Les mains de Geoffrey claquaient fort sur les fesses de Saskia qui tremblotaient à chaque coup en devenant de plus en plus rouges. Il ne sortait aucun son de la gorge de la jeune femme qui se contrôlait parfaitement malgré la douleur. Cela étonna Geoffrey qui se mit à taper tellement fort qu’il réussit finalement à la faire crier. Il finit quand même par arrêter la fessée car il avait trop mal aux mains. Cela fit rire l’assistance. Il se leva et tourna sur lui-même en balayant la pièce du regard. Il s’arrêta ayant trouvé ce qu’il cherchait. Une badine en bois souple d’environs un mètre de long. Il alla la prendre.
- Lève bien haut ton cul et cambre-toi au maximum, ordonna-t-il à la soubrette.
Le premier coup l’atteignit sur les deux fesses engendrant un cri aigu et bref suivi d’un râle plus sourd et plus ou moins contrôlé. Il la cingla plusieurs fois de suite au même endroit puis descendis sur l’arrière des cuisses, l’arrière des mollets, et la plante des pieds. A chaque coup un gémissement sortait de la bouche de Saskia. Il arrêta au bout de quelques minutes. Le dos, les fesses et l’arrière des jambes de la jeune femme étaient zébrés de jolies traces bien nettes et à peu près régulièrement espacée. Jolie décoration. Pour le coup, il n’utilisa pas le martinet qui aurait gâché ces jolis « tatouages ».
Sans rien dire, Geoffrey prit dans l’armoire une bouteille de lubrifiant et s’en enduit complètement l’avant-bras gauche. Il se mit à genoux devant le cul de Saskia et commença à titiller sa vulve, écartant sans ménagement les lèvres, faisant pénétrer deux doigts et fouillant sauvagement l’intérieur du vagin.
Puis, sans prévenir, il fit pénétrer le bout de ses cinq doigts et, exerçant une pression constante, enfonça sa main entière dans son con. Malgré la dose importante de lubrifiant qui rendait les frottements négligeables, la souffrance due à l’étirement progressif mais constant des lèvres de sa vulve fit gémir Saskia en une très longue plainte dont la sensualité ne laissait pas l’assistance indifférente. Une fois à l’intérieur, Geoffrey n’arrêta pas pour autant la pression et son poignet entra, ainsi qu’une partie de son avant-bras jusqu’à ce que son poing tape contre le col de l’utérus. Les gémissements rauques se transformèrent en pleurs accompagnés d’un abondant flot de larmes qui inondaient le visage de Saskia dont le vagin n’avait en rien été préparé à être dilaté de la sorte. Néanmoins, à aucun moment elle n’essaya de se soustraire à la pénétration.
Geoffrey ferma son poing et donna à son bras un mouvement de va et vient tournant, lent au début puis de plus en plus rapide. Les gémissements reprirent de plus belle, oscillant entre la douleur et le plaisir, et se terminant par un hurlement lorsqu’il retira d’un coup son poing fermé. Lui donnant l’ordre de garder la position, il alla se laver le bras au lavabo.
En revenant, il releva le torse de Saskia et baissa son pantalon et son slip. Il enfourna sa bite dans sa bouche. Ses lèvres se comprimèrent immédiatement autour de son membre mais il ne lui laissa pas l’initiative de le sucer. Tenant fermement sa tête de sa main droite, il se masturbait dans sa bouche, allant et venant très rapidement et enfonçant son sexe jusqu’au fond de sa gorge. Bandant correctement, il abandonna sa bouche et plaqua de nouveau sa tête sur le sol.
Il retourna vers son cul, mit son gland sur son anus, badigeonnant le tout de lubrifiant et, d’un geste sec, lui enfonça jusqu’au plus profond de son être son dard. Saskia ne broncha pas. Après le fisting de son vagin cela devait lui sembler une sinécure. Geoffrey commença son mouvement de va et vient de l’anus béant jusqu’au fond de ses entrailles pour bien imposer sa présence et affirmer sa maîtrise des lieux. Saskia suivait la cadence, chaque coup de boutoir qu’elle se prenait dans le cul faisait frémir sa poitrine. Ses coups de reins se répercutaient tout le long de son corps, le faisant vibrer au rythme de son plaisir. D’un va et vient infernal, il lui labourait le bas-ventre, forçant le passage sans ménagement. Saskia commençait à y prendre plaisir.
Il sortit alors de son cul et continua dans son vagin. Les gémissements de l’esclave lui firent comprendre qu’il était encore douloureux de la pénétration de son bras. Il continuait cependant à se branler en elle. Sentant venir la jouissance, il sortit, la remis à genoux et lui dit de le terminer avec la bouche.
- Et surtout, n’en perds pas une goutte!

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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