Mes séances en solo

Vous allez me dire que je fais une fixette sur le scotch. Certes, mais au lieu de vous refiler la totale de l'histoire du scotch d'un coup, j'ai préféré vous la distiller par petits bouts. Pour que ce soit plus supportable pour vous. Déjà que vous vous tapez toutes mes conneries, je ne vais pas en plus vous faire chier.

Donc, dernier épisode du scotch. Si vous vous souvenez bien, l'idée était de recouvrir le mari d'une copine, déménageur de son état, avec le scotch dont il se sert pour fermer les cartons. Avant de valider toute idée, je l'essayais sur moi-même pour en tester la faisabilité ainsi que les sensations procurées. Pour vous remettre çà en tête, revisionnez "SCOTCH" (et éventuellement "SCOTCH 2"). Rappelez-vous! Je n'avais pas assez de rouleaux pour m'enrubanner les jambes. Ceci est donc la suite, avec les jambes. Cela avait été fait en fait le lendemain de "Corset Maison" je crois. Voilà! Vous savez tout.

Donc, j'ai enroulé du ruban adhésif autour de mais jambe, en serrant bien afin de comprimer fort les muscles.

Je vous confirme que c'est très désagréable, surtout avec les pieds ainsi bandés. Marcher devient assez douloureux.

Histoire d'en rajouter et de voir jusqu'à quel point c'est pénible, je me tortille donc dans tous les sens.

Contrairement au pauvre déménageur qui, lui, n'a pas eu le choix, j'ai fini par enlever le scotch des jambes relativement rapidement. En revanche, comme la première fois, j'ai gardé sur moi la "culotte" ainsi crée. Elle était encore plus serrée que celle avec le scotch rouge et blanc. Tant qu'à faire, j'y suis allé carrément. Impossibilité totale de faire quoi que ce soit côté masturbation. Pourtant, j'ai essayé. Très frustrant.

Le film.

Ah! Au fait! Faites gaffe! Le premier qui fait une réflexion sur les poignées d'amour que j'avais à cette époque s'en prend une. Le premier et les autres aussi. Ou la première! Je ne ferais preuve d'aucun sexisme sur ce sujet.