Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 12:07
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Geoffrey était seul à table ce lundi soir. Il était rentré tard du boulot après une journée mouvementée et s’attendait à n’avoir rien à faire en rentrant que s’installer à table. Mais Julia n’était pas à la maison. Cela le mit de mauvaise humeur. Il n’interdisait pas à Julia de rentrer tard elle aussi, mais tout ce qu’il lui demandait était de le mettre au courant. Tant pis pour elle! Elle pendra une belle correction en arrivant.
Elle arriva enfin. Elle entra dans la salle à manger et le regarda. Il la dévisageait froidement. Elle fit en sorte de conserver une voix assurée, calme.
- Mais... qu’as-tu? Tu es en colère de ne pas m’avoir trouvé à ton arrivée? Oui... je sais, je suis un peu en retard et j’aurais dû te prévenir! Mais tout est de la faute de Christine, tu sais, cette amie que je t’ai présentée et dont je te parle souvent. Elle m’a invité à souper, et, avec elle, il n’est jamais temps de partir!...
D’un geste désinvolte, elle jeta ses chaussures et son sac à main sur le plus proche fauteuil, puis commença à déboutonner sa veste de tailleur qu’elle s’apprêtait à retirer quand Geoffrey dit enfin, d’une voix dure et cinglante:
- Que faisais-tu chez cette Christine?
- Je viens justement de te le dire! J’ai été invité...
- Pour la seconde fois, je te demande de me dire ce que tu as vraiment fait ce soir!
Il la soupçonnait d’avoir avec cette amie des liaisons plus qu’amicales. Elles se voyaient souvent et Julia en revenait toujours fraîche et pimpante.
- Nous avons dîné puis discuté...
A toute volée il la gifla par deux fois, la faisant presque chanceler tant il frappa fort. Elle cria. D’un bond, il lui saisit brutalement les poignets qu’il ramena dans le dos en lui tordant les bras et en la faisant gémir de douleur.
- Non!... Non, cria-t-elle, soudainement effrayée et en tentant vainement de se débattre pour lui échapper!
Geoffrey rassembla ses deux poignets minces et fragiles dans une seule de ses mains dont les doigts la blessèrent et la firent grimacer. Cambrée, son buste se tendit en avant et ses seins saillirent sous son corsage visible entre les revers de sa veste bâillante. De son autre main il chercha l’attache de sa jupe pour en dégrafer le gros-grain, puis tirailla la fermeture-éclair sur ses reins pour la faire glisser. Elle se débattit de plus belle en cherchant, par de folles contorsions, à lui échapper. Mais malgré ses efforts, Geoffrey parvint à faire glisser la jupe relativement peu ajustée sur les hanches rondes, puis sur les cuisses pleines et charnues barrées par les jarretelles tenant les bas clairs. Arrivée aux genoux, la jupe tomba d’elle même sur les jambes et jusqu’aux chevilles autour desquelles elle s’affaissa.
D’un geste sec, il agrippa le corsage au milieu du décolleté et le déchira d’un coup faisant sauter la plupart des boutons de nacre qui roulèrent sur la moquette, et la dépoitrailla violemment. Il craqua le devant du soutien-gorge, dont les deux quarts de balconnets glissèrent de côté et libérèrent les deux beaux fruits de son buste haletant. Il empauma le mamelon droit qu’il se mit à pétrir vigoureusement, hésitant un bref instant entre la caresse que lui suggérait le contact doux et soyeux du sein dont il aimait tant la forme et la lourde générosité, et la brutalité. Il écrasa la pâte souple entre ses doigts durs. Julia eut un long tressaillement et essaya une fois encore d’échapper à la main qui l’emprisonnait à un endroit aussi sensible en se tordant d’un côté et de l’autre. Apeurée, elle vit et sentit le pouce et l’index de son seigneur se saisir du bourgeon érigé sur l’aréole, puis se cabra violemment sous la douleur subite qui irradia son buste en profondeur quand, sèchement, les doigts fortement serrés tordirent sauvagement le petit bout de chair turgescente et terriblement sensible. Elle poussa un cri vibrant et les lames lui piquèrent les yeux. Geoffrey tordit aussitôt une nouvelle fois et la fit encore crier. Puis il recommença dans l’autre sens et sentit qu’elle se convulsait contre lui en jetant une plainte aiguë. Les cris jaillirent de sa bouche grande ouverte. Ses larmes coulèrent et glissèrent sur ses joues empourprées. Elle se laissa aller aux pleurs alors qu’il serrait toujours plus fort et tordait impitoyablement son téton.
Profitant qu’elle ne se débattait plus, il la lâcha subitement pour, sans hésitation, rabattre sa veste et son chemisier déchiré sur ses bras dont il les dégagea avant de saisir dans sa poche la paire de menottes qu’il lui passa. L’agrippant par un bras, il la gifla de nouveau, sèchement, durement, jetant alternativement d’un côté et de l’autre sa tête ballotante, aux traits crispés de souffrance et à la bouche ouverte sur ses cris affolés. A chaque assénement sonore de la main s’abattant violemment sur l’une ou l’autre de ses joues enflammées, elle jetait un cri strident en redoublant de sanglots convulsifs et hoquetants. Un dernier soufflet, brutalement appliqué lui fit perdre l’équilibre et l’envoya choir sur le sol où elle s’étala de tout son long en criant, ne pouvant se rattraper avec les mains menottées dans le dos.
Alors, Geoffrey se pencha sur Julia, lui arracha son soutien-gorge après avoir cassé les minces bretelles, puis s’attaqua aux bas et porte-jarretelles. Roulant ses bas en boule, il les enfonça de force dans sa bouche. Il alla chercher une corde, lui enleva les menottes et lia ses poignets dans le dos.
- A genoux, lui ordonna-t-il en enlevant sa ceinture!
Tenant la corde d’une main, il cingla sauvagement le corps de Julia avec la ceinture. On n’entendait que les claquements secs de la sangle de cuir sur sa peau fine et tendue, suivis à chaque coup d’un gémissement de douleur. Geoffrey insistait longuement sur ses fesses afin qu’elle se souvienne longtemps en s’asseyant qu’elle doit le prévenir de ses retards. Les fesses barrées de striures rosées se crispaient sous les impacts. Variant les angles de projection de la ceinture, il cinglait tour à tour le dos et les bras, les reins et les fesses, les mollets ou les cuisses, les seins tremblants ou le ventre tressaillant. La jeune femme tressautait sous les cinglées et ne pouvait se garantir et moins encore se soustraire à la punition enflammant son épiderme. Il la corrigeait sévèrement en s’échauffant de la voir se tordre comme un ver et s’offrir à ses yeux dans des postures incontrôlées. Les cris assourdis qu’elle poussait dans son bâillon improvisé, accompagnaient ses sursauts de douleur à chaque cinglement de la ceinture. Lorsqu’il arrêta, le corps de Julia, recouvert de zébrures, s’affala à plat ventre sur le sol, secoué de convulsions par les sanglots qui faisaient frémir les deux lobes charnus de ses fesses devenues rouge vif.
- Ce soir, non seulement tu ne mangeras pas, lui dit son seigneur, mais tu me serviras de siège pendant mon repas en attendant la suite de ta correction. De plus, je ne veux plus entendre un mot ou un bruit sortir de ta bouche. Pas un gémissement !
Geoffrey prit deux chaînettes d’une vingtaine de centimètres environs comportant un anneau à un bout et un mousqueton à l’autre. Il passa les mousquetons dans chacun des anneaux que portait la soumise aux seins et passa ensuite dans les anneaux des chaînes un manche à balais. Il fit relever Julia, lui délia les mains, l’amena devant la table où il la mit à quatre pattes, face contre terre, le manche à balais reposant sur le sol. Il se plaça au-dessus d’elle, une jambe de chaque côté, tourné vers ses fesses, les pieds sur le manche à balais pour fixer Julia au sol par l’intermédiaire de ses seins et continua la correction par une belle fessée. Julia se mordait les lèvres pour ne pas crier alors que Geoffrey s’en donnait à coeur joie, frappant sans réserve sur les deux masses de chair qui brûlaient sous sa main.
Il arrêta quand il vit que Julia n’en pouvait plus, et lui dit de se mettre dans cette position la tête sous la table. S’étant préparé une assiette de charcuterie, Geoffrey s’assit à table, la croupe de Julia lui servant de tabouret, bloquant le manche à balais au sol avec ses pieds. Tout en mangeant, il s’amusait à se tortiller, faisant rouler ses fesses sous les siennes et balançant la jeune femme d’un mouvement de va-et-vient qui étirait à chaque fois ses seins. Il prit son temps pour manger et regarda même une bonne partie du film qui passait à la télévision.
Pendant le message publicitaire Geoffrey fit accroupir Julia, retira le manche à balais pour le remplacer par une laisse. Il passa ensuite à ses chevilles des bracelets de cuir reliés par leur anneau à ceux de sa vulve par deux autres courtes chaînes d’une trentaine de centimètres. Tirant Julia avec la laisse par les seins, il la fit avancer en canard, à tout petit pas, jusqu’au canapé. Chaque pas étirait ses lèvres, la faisant grimacer de douleur, surtout lorsqu’elle perdit l’équilibre, et que, par réflexe, elle voulut tendre une jambe. Mais pas un cri ne sortit de sa gorge comme le lui avait ordonné son seigneur. Le film reprit et ils le regardèrent, Julia accroupie devant le canapé et Geoffrey affalé dedans.
A la fin du film, il ordonna à Julia de se coucher sur le dos sur le canapé. Avec ses chevilles attachées à sa vulve, la montée sur le canapé fut pour elle des plus délicates. Une fois en place, il se plaça entre ses jambes écartées. Les chevilles de la jeune femme de chaque côté de son bassin tiraient sur les chaînes. Sa vulve était donc grande ouverte pour l’accueillir. Sans attendre, il s’enfonça en elle et commença à la ramoner. Chaque mouvement se transmettait à ses jambes et, de ce fait, tirait sur les lèvres. Des larmes coulaient de ses yeux le long de ses tempes mais pas un gémissement ne se fit entendre, qu’il fut de douleur ou, à force, de plaisir. Stoïque, Julia se concentrait pour ne pas émettre un son en restant totalement passive. Lui, au contraire, accéléra la cadence, la secouant brutalement pour finir par éjaculer. Il se retira et lui dit:
- Pour te punir de ton retard, nous allons nous promener dans Paris. Mais c’est moi qui décide comment t’habiller. Il détacha ses chevilles et retira ses chaînes. Pendant qu’il débarrassait la table, il lui dit de mettre sa robe de satin noir ainsi que ses cuissardes de cuir épais qui donnent une démarche très particulière, les jambes pouvant difficilement se plier.
Lorsqu’elle revint avec sa robe moulante, juchée sur ses hauts talons, les jambes gainées de leur carcan de cuir, Geoffrey alla chercher la ceinture spéciale. Elle se composait d’une large bande de cuir qui comprimait fortement la taille. De derrière, partait une sangle, qui, passant entre les jambes, s’accrochait à une boucle devant. Il fit bien attention à écarter les lèvres afin qu’elle passa au milieu de la vulve en s’y enfonçant. Il prit ensuite les bras de la jeune femme qu’il passa dans le dos, relevant les mains vers la nuque. Il sangla fortement les poignets et les avant-bras au niveau de la jointure des coudes. Julia, les épaules tirées vers l’arrière, était ainsi obligée de pointer le buste en avant en faisant ressortir sa poitrine. Il fixa ensuite sur ses cuisses, juste au-dessus du genou, deux sangles comportant un anneau et les reliai par une courte chaîne. Ceci limitera les enjambées de Julia. Il alla ensuite chercher sa cape, la lui passa sur les épaules et la ferma. Seul un observateur attentif devinerait l’harnachement de l’esclave.
Ils allèrent en voiture jusqu’au Châtelet et, de là, remontèrent la rue Saint-Denis, qui, quel que soit le jour, est toujours très animée en début de nuit avec ses restaurants et ses clubs de jazz. Le maintient et la démarche de Julia attiraient beaucoup de regards sur elle. Plus d’une personne remarquèrent sans doute, même sans savoir comment, que Julia était entravée sous sa cape. Il y eut même un homme qui venant vers eux s’arrêta devant elle. Geoffrey le laissa la regarder de bas en haut et l’homme lui demanda:
- Elle est punie?
Geoffrey lui répondit affirmativement d’un hochement de tête et l’homme s’en alla. Julia, les yeux remplis de larmes, était blême d’humiliation et de honte. Ils marchèrent ainsi une bonne heure avant de revenir à la voiture puis à la maison.
Une fois chez eux, Geoffrey détacha ses bras et jambes et lui enleva sa ceinture et sa robe. Il put ainsi remarquer, en enlevant la sangle qui passait entre ses jambes, que sa chatte était bien lubrifiée, preuve que cette humiliation publique l’avait bien excitée. Elle se retrouva nue avec ses longues bottes montantes. Il alla chercher du large ruban adhésif d’emballage et lui en colla sur la bouche. Il attacha ensuite, à l’aide d’une corde, ses jambes bien jointes, serrant aux cuisses, juste au-dessus des genoux, et aux chevilles. Il prit derrière une armoire une grande planche de bois sur laquelle il avait monté un gros anneau. Il posa la planche par terre, anneau au-dessus, pile sous l’anneau du plafond auquel, autrefois, avait dû être accroché un lustre, et fit monter Julia en sautillant sur la planche, juste devant l’anneau auquel il fixa les chevilles. Il attacha ses bras dans le dos, serrant aux poignets et aux coudes. Attachant un bout d’une corde à ses poignets, il passa l’autre bout dans l’anneau du plafond et tira. Julia se retrouva courbée en deux, dans une position telle qu’au moindre mouvement de sa part, une fulgurante douleur lui déchirait les épaules.
Geoffrey prit le martinet, s’approcha de Julia, lui caressa avec les lanières de cuir les fesses, le ventre et termina par les seins dont les tétons durcirent. C’est sur ces tétons bien durs qu’il décida de frapper le premier coup. Un long gémissement sortit de derrière le ruban adhésif et des larmes jaillirent des yeux de Julia. Elle devait se concentrer sur son équilibre. Cependant, il continua à frapper sa peau nue et à sa merci. Au dixième coup il arrêta. Il se mit derrière elle, caressa ses fesses toutes chaudes et enfonça d’un coup sec le manche du martinet dans ses entrailles.
- Tu passeras la nuit comme ça, lui dit-il avant d’aller se coucher!
Au milieu de la nuit, les gémissements de Julia le réveillèrent. Il regarda la pendule et vit que cela faisait trois heures qu’elle était attachée dans cette position, et ses jambes menaçaient à tout moment de la lâcher, ce qui lui aurait sinon cassé les épaules, du moins fait horriblement mal. Il se leva et détacha la corde de l’anneau du plafond en retenant la jeune femme dans ses bras pendant un moment, caressant son corps endolori. Il défit ensuite les liens des cuisses afin qu’elle puisse s’accroupir et l’aida à se mettre à genoux sans détacher ses chevilles de l’anneau de la planche. Il la fit asseoir sur ses talons, ce qui lui comprimait fortement ses genoux à cause du cuir épais des bottes, et, passant une corde autour de sa taille et sur le haut de ses cuisses, il la lia de façon qu’elle restât dans cette position.
Julia avait dû croire qu’il la libérerait, car, comprenant qu’il la ligotait à nouveau, elle se remit à pleurer. N’en tenant pas compte, Geoffrey reprit la corde des poignets, la repassai dans l’anneau du plafond et tirai de nouveau ses bras en arrière. Elle se retrouva dans une position à peine plus confortable, mais au moins, ne risquait-elle plus de tomber. Pour éviter tout de même une coupure de la circulation sanguine au niveau des jambes, il délaça les bottes. Il alla se remettre au lit, la laissant ainsi pour le restant de la nuit. Il n’avait pas prononcé un mot de consolation à la pauvre Julia qui gémissait et pleurait de plus belle. Il se coucha, bercé par les pleurs de sa soumise et tomba dans un sommeil profond.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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