Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 21:48
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A la maison, Geoffrey retrouva Julia. Elle était comme le voulaient les règles, entièrement nue avec seulement des bottines de cuir verni. Elle était en train de mettre la table, et, de la cuisine, montaient de bonnes odeurs. Il s’approcha d’elle, la serra contre lui et l’embrassa langoureusement tout en la caressant longuement.
- Comment s’est passée ta journée, lui demanda-t-il? Ton accoutrement a-t-il fait sensation?
- Plutôt, oui, répondit-elle. Pas un seul de mes collègues ne m’a quitté des yeux.
- C’est normal! Tu es belle. Autant qu’on te regarde. Bon! Ce n’est pas tout, il faut se préparer.
Il alla chercher dans le placard une espèce de chaise pliante qu’il avait réarrangée. Il s’agissait, en fait, d’un cadre métallique plié en U avec un côté plus haut que l’autre. Sur le grand côté étaient fixés, en haut un dossier, et en bas, touchant le sol, un coussin cylindrique en mousse. Cette chaise ne comportait pas de planche horizontale sur laquelle on pût s’asseoir. C’est Julia qui en fera office, et plus particulièrement ses fesses et ses cuisses.
Geoffrey mit un bâillon à Julia, l’installa dans le cadre et l’y attacha fermement. Pour sa part, il alla se changer avant d’aller voir ce qui se passait en cuisine. Tout avait l’air en ordre. Il ne restait plus qu’à attendre les invités. Il s’assis sur sa nouvelle chaise, prit un livre et attendit. Xavier et Aurélie ne tardèrent pas.
Xavier, comme Geoffrey, était vêtu d’un costume de soirée. Aurélie portait un long manteau de fourrure qui descendait jusqu’au sol. Sur la tête était fixé un harnais de cuir la serrant au front et sous le menton. Il comportait un bâillon boule enfoncé dans sa bouche. Elle semblait marcher sur des oeufs et difficilement tenir debout. Je compris pourquoi lorsqu’elle retira son manteau.
En dessous, elle portait un corset de cuir souple très étroit, attaché devant à un collier par une lanière à boucle. De cette lanière, en partaient deux autres, juste au-dessus des seins libres pour passer dans le dos. Le plus surprenant fût ses chaussures : des chaussures ballet. Ses cuisses sanglées étaient reliées aux chevilles par des lanières trop courtes pour lui permettre de tendre les jambes et qui la contraignaient à de tout petits pas, jambes pliées, les muscles des cuisses contractés.

Julia étant indisponible, c’est Aurélie qui faisait office de maîtresse de maison. Elle déambulait de droite à gauche dans l’appartement, oscillant sur la pointe des pieds. Geoffrey mit Xavier au courant du projet de fête pour l’anniversaire du club. Ils en discutèrent pendant l’apéritif et, au moment de passer à table, Geoffrey décida de faire le service.
Il plaça les convives, donnant à Aurélie Julia comme chaise. Xavier lui défit les sangles des cuisses et des chevilles, lui attacha les bras dans le dos, lui enleva son harnais de tête et, une fois qu’elle fut assise sur Julia, il lui lia les chevilles. Pour manger, elle devait lécher son assiette. Xavier trouva son modèle de siège intéressant. Julia servit de siège durant tout le repas qui s’éternisa pendant quatre heures.

Une fois leurs invités partis, pendant qu’ils rangeaient, Geoffrey parla à Julia de l’idée d’amener son amie Christine au club. Julia la lui avait présentée comme sa meilleure amie et il a toujours soupçonné qu’il y avait entre elles plus que de l’amitié. C’est pour cela qu’il demanda de but en blanc:
- Que pense Christine de tes anneaux et des marques sur ton corps?
Julia rougit et, comprenant qu’il était inutile de nier, répondit:
- Au début, elle était horrifiée jusqu’à ce que je lui explique. Maintenant cela l’excite plutôt, bien qu’elle ne l’ai jamais avoué.
- Christine serait donc une bonne candidate, demanda Geoffrey?
- Je pense que oui.
Il décida d’en parler dès le lendemain à Alexia.
- Et si nous l’invitions à dîner un de ces soirs? Nous pourrions faire une belle partie à trois, qu’en penses-tu?
- Je n’osais pas te le demander, lui répondit Julia. Je meure d’envie de te la faire connaître mieux.
Deux jours plus tard, Julia invita Christine à passer la soirée avec eux. Cela ne faisait pas une demi-heure qu’elle était là que Julia lui dit:
- Fais nous voir ton numéro ma chérie s’il te plaît.
Agissant en femelle avertie, Christine se débarrassa de sa jupe avec une lenteur calculée et exhiba sa croupe rebondie que protégeait encore une adorable petite culotte. Cette culotte était si soyeuse et si diaphane que le triangle de la toison pubienne transparaissait à travers le tissu, tandis que la forme de la vulve était presque aussi apparente que si rien ne l’avait protégée. Elle tourna sur elle-même pour faire admirer les deux côtés de son corps. Elle passa une main sous son corsage et l’autre dans son slip et se massa les seins et la vulve pour montrer, au cas où on ne l’aurait pas compris, qu’on n’était pas là pour parler de la pluie et du beau temps.
Dans un geste spécifiquement féminin, elle se débarrassa de son corsage et dégagea ses seins. Elle en agaça les tétons et une fois ceux-ci gros comme des obus, ses mains descendirent sur son ventre. Alors qu’elle tortillait du popotin, les caresses allèrent vers la culotte qu’elle arracha d’un coup. Un tel spectacle emballa Julia et Geoffrey. Elle s’assit par terre et, fière de l’impression faite par sa chatte, Christine savourait leurs chauds regards pointés sur son entrecuisse. Elle adorait s’exhiber, les cuisses généreusement ouvertes sur une moule que rien ne protégeait des regards des autres.
Elle se caressa ensuite délibérément le sexe en leur montrant les marques d’une grande excitation sexuelle. Ils la virent onduler des hanches et du ventre, gonfler sa poitrine sur les seins de laquelle monta une de ses mains qui se mit en devoir de les pétrir en insistant sur les fraises rose pâle qu’elle effleura du bout des doigts après avoir humecté ceux-ci de sa salive. En nous regardant avec provocation, elle écarta encore plus les cuisses et pris appui sur ses talons pour projeter en sèches saccades son bas-ventre à la rencontre de sa main fouillant l’intérieur de sa vulve suintante.
Geoffrey s’hypnotisait de ses doigts qui allaient chercher très bas le point de départ de leur périple, remontaient lentement entre les lèvres ourlées en disjoignant les bords rose vif de l’entaille pelvienne dont ils écartaient parfois quelques mèches gluantes, s’appuyant un moment en tournant sur le sommet de la chair bâillante où s’érigeait le minuscule mont de volupté. Ils reprenaient ensuite leur voyage en redescendant pour s’insérer profondément entre les fesses légèrement soulevées et revenir en un souple balancement du poignet s’enfoncer plus franchement dans l’anfractuosité trempée de cyprine odorante.
Puis Christine ferma les yeux. Ses jambes pliées se mirent à trembler. Tout son corps s’agita de soubresauts qui la secouèrent de la tête aux pieds. Son ventre accentuait ses bondissements vers la main dispensatrice de plaisir et dont le mouvement de bas en haut entre les muqueuses maintenant rouge vif de sa vulve ruisselante, produisait de petits borborygmes liquides. Son autre main pressait fortement le téton de son sein droit, et sa bouche, aux lèvres entrouvertes, laissait fuser une sorte de gémissement roucoulant qui se transforma bientôt en une plainte rauque et ponctuée de petits cris de plaisir.
Soudain l’orgasme convulsa Christine. Son visage se crispa, ses joues se creusèrent, ses pommettes s’enflammaient et pâlissaient tour à tour violemment, les ailes de son nez se pincèrent et blanchirent pendant que de sa gorge jaillissaient les cris rauques et précipités témoignant de l’intensité de sa jouissance qui exaltait tous ses sens portés au paroxysme de l’excitation voluptueuse.
Geoffrey jeta un regard sur Julia qui ne quittait pas son amie des yeux, son amie qui, les cuisses refermées sur sa main retenues prisonnière, était agitée de spasmes incontrôlés qui la soulevait du sol pour l’y rejeter et la faire bondir encore. Elle perpétuait ainsi, aussi longtemps qu’elle pourrait l’endurer, l’extase qui la possédait.
Enfin les sursauts cessèrent et Christine ouvrit les yeux posant son regard brillant de larmes sur ses hôtes, qui n’avaient cessés de la regarder, immobiles devant ce spectacle fascinant.
- Oooohhh!... Je ne m’arrêterais jamais! Je viens encore de jouir comme une folle! C’était bon de me caresser en sachant que vous me regardiez faire!
Julia se leva, alla chercher la valise d’accessoires et en sortit un godemiché qu’elle tendit à son amie, qui le lui arracha des mains. Christine se l’enfonça à grand renfort de gloussements de satisfaction et lui imprima un mouvement de va-et-vient à une cadence folle dans ses chairs hyper excitées, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Julia se pencha sur elle, et, de sa bouche, happa un de ses tétons et se mit à le sucer. Le contact de la bouche de Julia électrisa Christine et le godemiché gluant lui glissa des mains.
Julia l’embrassait maintenant à pleine bouche, tout en lui triturant la chatte de ses doigts habiles et en portant une bonne partie de ses caresses sur le clitoris archi-bandé. Christine se laissait faire sans participer à l’action, se contentant d’écarter le plus possible les cuisses afin de bien dégager la zone à conquérir. Julia se plaqua étroitement contre elle, poussa son ventre contre le sien et écrasa ses seins contre sa poitrine alors que ses longues jambes se mêlaient aux siennes et que se pressaient leurs cuisses déjà étreintes.
Elle lui prit les lèvres dans les siennes, pulpeuses et sensuelles et, à pleine bouche, avidement, donna son premier baiser de la soirée à son amie. La langue de Julia se glissa, palpitante, entre les dents de Christine et remplit toute sa bouche pour soumettre sa propre langue à sa loi pendant que ses lèvres, chaudes et humides, se pressaient sur celles de son amie.
Délaissant enfin sa bouche, les lèvres descendirent dans son cou et sur sa poitrine. Christine gémit doucement. Saisissant son sein droit d’une main, Julia plaqua sa bouche de goule sur le gauche et commença à le sucer après avoir capturé le téton durci qui gonfla plus encore sous l’étreinte des lèvres. Christine se crispa sous le double effet des caresses synchronisées. Au début, la main et la bouche surent rester douces. Peu à peu, elles se firent plus insistantes, plus impérieuses. Elles pétrirent toutes les deux à leur façon, augmentant irrésistiblement la sensibilité de la poitrine captive et frémissante.
Brusquement, Julia se dégagea et délaissa Christine. Elle protesta de se voir abandonnée alors que la volupté se répandait en elle de ses flots émouvants et irrésistibles:
- Oooohhh!... Julia ne me laisse pas... J’ai trop envie de jouir maintenant!
- Ne crains rien ma belle petite chatte! Je n’en ai pas encore fini avec toi!
Rassurée Christine reprit en main le godemiché, ferma les yeux et se l’enfonça de nouveau dans la chatte en se contorsionnant. En souriant, Julia fouilla dans la valise et y prit un harnais de cuir sur lequel elle vissa un des godes qui s’y adaptaient. Le phallus choisi était de caoutchouc dur, de forme cambrée comme un croissant. Ressemblant à une banane de fortes proportions, son gland lisse et luisant couronnait, comme la tête d’un champignon, la hampe hérissée de poils de velours semi-rigides d’un diamètre de près de cinq centimètres. Julia se ceignit les hanches de l’ensemble du harnais et se trouva alors en mesure de jouer le rôle d’un mâle de belle prestance, tout en jouissant elle-même de la seconde verge solidaire du dispositif et qu’elle avait introduit dans son vagin avant de serrer énergiquement les courroies sur son bassin et ses reins.
Elle revint s’étendre près de Christine à qui elle prit le godemiché des mains et qu’elle fit se retourner sur le ventre et se cambrer pour lui offrir sa croupe largement étalée. Le somptueux fessier exposé à ses regards, saisissant les cuisses de son amie près de l’aine, elle les contraignit à s’écarter et lui fit relever les fesses insolemment pour découvrir la vulve rose aux lèvres charnues et mouillées de cyprine gluante avec, un peu plus haut, le petit cercle de l’anus.
Julia enfouit son visage entre les cuisses désunies et prit son sexe à pleine bouche pour commencer à mâcher les lèvres soyeuses pendant que ses mains, remontant le long des flancs haletants, venaient se glisser entre la poitrine et la moquette pour emprisonner les seins et les pétrir vigoureusement à pleines mains, pinçant les bouts tendus sans cesser de brûler la vulve de la pression de ses lèvres et de pousser dans le vagin sa langue alerte, faisant hésiter son amie entre le plaisir et la douleur qui, l’un comme l’autre, la firent crier, et vouloir toujours plus. Ne sachant plus ce qu’elle disait, délirant déjà, Christine lui demanda de la mordre, de la prendre, de la sucer plus fort, de lui faire mal même, de l’abrutir de plaisir.
Ne demandant que cela, Julia la mordit sévèrement en capturant son clitoris qu’elle aspira entre ses dents serrées pour la faire crier de souffrance et d’hystérique volupté. Christine se démenait comme une forcenée, prisonnière de son amante qui la maintenait énergiquement en s’arrimant à ses seins qu’elle déformait de ses doigts durs pour continuer de sucer, d’aspirer, de mordre le bouton de chair tendre, dispensateur de plaisir voluptueux. Christine criait et s’étouffait, le visage écrasé sur la moquette, les joues couvertes de larmes, agitant convulsivement les fesses et ondulant des hanches, incapable de savoir si elle voulait se donner davantage, ou échapper à l’intolérable baiser qui la rendait démente.
Crispée à se rompre les nerfs, Christine poussa un terrible hurlement et releva la tête en se raidissant sur ses bras tendus dont les muscles saillirent d’un coup sous la peau fine. Elle éprouva l’atroce sensation qui lui venait de son ventre qui s’ouvrait et se déchirait sous la formidable pénétration et fit s’enfuir l’envie de jouir qui se répandait doucement en elle, pour ne laisser subsister que la douleur sous la poussée implacable du taraud poilu qui se chevillait au bas de son ventre impitoyablement meurtri en distendant ses chairs intimes.

- Noooonnn!... Juliaaa!... Aaarêêête! J’ai mal!... Tu me fais trop mal!... Enlève-le, il est trop... trop gros... J’ai mal! Je t’en prie!... Aaaaahhh!...
Sans lui répondre ni se soucier de ses cris et de ses plaintes vibrantes, ignorant ses sanglots et ses supplications pathétiques, Julia, haletant bruyamment sous l’effort que lui demandait la possession de son amante, déplaça sa main gauche pour libérer un sein et l’amena sous le ventre de son amie contre lequel elle la glissa jusqu’à la pointe de la vulve distendue dont elle caressa, d’un doigt actif le pistil exaspéré et projeté vers l’avant par le volume du godemiché. Elle entreprit alors le va-et-vient de la possession, prenant Christine puissamment de son faux pénis, se retirant doucement pour exciter les parois vaginales du glissement des poils de velours relevés en étant pris à rebours et, sans cesser d’agacer le clitoris gorgé de sang, d’un coup de reins imparable, fesses crispées, elle projeta son ventre à la rencontre de la croupe offerte et trépidante de sa monture qui, sous l’inexorable enfoncement mêlait peu à peu de longs gémissements rauques à ses plaintes de douleur allant s’assourdissant. Puis, au rythme régulier de la pénétration, la souffrance de Christine s’estompa et s’effaça totalement pour faire place au plaisir.
- Jouis putain!... Tu aimes çà hein!... A quatre pattes comme une chienne que tu es!... Gigote salope!... Je te tiens bien garce!... Tu sens comme je suis bien dans ton con tout mouillé?... Allez!... Remue-le bien ton gros cul joufflu!...
Geoffrey n’avait jamais vu Julia dans cet état et il la soupçonnait fort de se venger sur son amie pour toutes les humiliations subies. Cela rendait le spectacle tout à fait passionnant.
Sans la moindre retenue, Christine se livrait au rut de Julia qui la possédait vigoureusement et la sabrait à grands coups de reins tout en se pénétrant elle-même de la verge intérieure du harnais. Le buste relevé sur ses bras toujours raidis, un seins captif et l’autre ballottant, la tête renversée et la chevelure folle, les lèvres ouvertes sur une plainte permanente qui montait de sa gorge en feu et s’échappait en longues trilles sanglotantes, secouée par les coups de boutoir de Julia dont les seins se frottaient sur son dos, Christine se mit à hurler, prise de sauvages convulsions. Longuement, à pleins poumons, elle cria sa jouissance en se jetant dans de violents bondissements que son amie avait bien du mal, cette fois, à contenir et à dompter pour continuer de la soumettre à l’infernale étreinte.
Vint le moment où Christine eut mal à force de jouir. Elle voulait que cela cesse, rien qu’un instant, un tout petit instant! Mais implacable, Julia la maintenait dans la houle de ses orgasmes successifs qui la secouaient sans répit et lui refusaient le repos qu’elle réclamait de tout son être, épuisée. Malgré elle, elle continuait à jouir, à hurler à perdre haleine, suppliant d’arrêter, sanglotant et hoquetant des mots sans suite sous l’accablante intensité de son plaisir qui la ravageait. Restant sourde à sa demande, Julia allait et venait en poussant son ventre.
Geoffrey sut que Julia allait jouir à son tour lorsque, délaissant le clitoris de Christine, elle reprit soudainement et sauvagement possession de ses deux seins pour s’y agripper et accélérer la cadence de la pénétration qui se fit plus violente, plus puissante et plus saccadée. La jouissance l’emporta alors d’un coup et, rugissante de plaisir, bacchantes échevelées, délirante, elle se crispa en se tendant désespérément contre son amie et en broyant ses pauvres seins que ses doigts griffaient convulsivement pour, dans un grand cri, retomber sur son dos, molle et demi inconsciente.
Enfin, Christine, sentant la tempête décroître, se laissa aller à son tour sur la moquette où elle retomba inerte.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Commentaires

Houahou !!

Quel talent ! c est le récit le plus excitant que j'ai lu depuis longtemps.

Continue, PLEASE !!!!!
commentaire n° :1 posté par : Mike le: 26/12/2007 à 13h20

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