Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 20:51
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Avec le temps, on finissait par assez bien connaître les membres du Club. On savait leurs petites manies concernant les activités propres à l’association, ainsi que certaines choses de la vie privée. Ceci pour tous les membres à l’exception d’une personne, qui était, paradoxalement, celle que l’on voyait le plus souvent: Alexia. Geoffrey apprit un jour que c’était elle la fondatrice du Club, et qu’elle y investissait une bonne partie de sa fortune personnelle. De plus elle possédait une admirable propriété en province, au milieu d’un parc superbe. Elle y organisait chaque été, pour son anniversaire, une fête réunissant les membres du Club et leurs esclaves. Le clou des réjouissances était une course de pouliches attelées, précédée d’une grande parade hippique. Pas un seul représentant de l’espèce chevaline ne participait à ces réunions. Les esclaves faisaient office de canasson.

La première fois que Geoffrey y emmena Julia, il lui avait dit qu’ils allaient faire du cheval. Pour le voyage, il avait coiffé les cheveux de Julia en natte, dans laquelle avait été intégrée une cordelette. Ses mains furent attachées dans le dos, les coudes serrés l’un contre l’autre afin de tirer les épaules en arrière et faire ainsi ressortir le buste. La cordelette des cheveux fut fixée à la sangle des coudes en tirant bien dessus pour obliger Julia à lever le menton. Bien entendu, ses chevilles étaient reliées par une courte chaîne, la forçant à n’avancer qu’à petits pas.
Ils partirent au milieu de la nuit du vendredi au samedi afin d’arriver le matin au château. Sur le chemin vers la voiture, ils ne rencontrèrent âme qui vive dans l’immeuble, ce qui aurait été fort gênant et humiliant pour Julia. Ils sortirent de Paris, et s’engagèrent sur l’autoroute pour de longs kilomètres tranquilles.

Arrivés à l’entrée du domaine d’Alexia, Geoffrey se fit connaître à l’Interphone de la grille. On la lui ouvrit. Il rentra la voiture et l’arrêta quelques mètres plus loin à l’abri des regards. Il fit sortir Julia, lui détacha bras et jambes et lui ordonna de retirer sa robe et de s’asseoir sur le capot de la voiture. Elle s’exécuta, ses fesses nues posées sur la tôle tiède. Il lui écarta les jambes et attacha chacune de ses chevilles à un bout du pare-chocs avant grâce à des cordes prises dans le coffre. Il la fit ensuite coucher sur le dos, bras maintenus écartés par des cordes attachées aux points d’accroche du cric, de chaque côté du bas de caisse. Julia se retrouva sur le dos, bras et jambes écartés, sur le capot de la voiture, avec pour seuls vêtements une paire de gants longs et noirs, un porte-jarretelles, des bas de nylon noirs et ses chaussures. Sa peau blanche contrastait fortement avec le verni noir de la voiture.
Geoffrey roula ainsi à travers le parc jusqu’au château où leur arrivée fut fort remarquée. Pas de chance pour Julia, tout le monde se trouvait sur le perron se demandant où ils avaient bien pu passer depuis l’appel à la grille. La courtoisie la plus élémentaire obligea Geoffrey à proposer à chacun son esclave ainsi offerte. Pas un ne résista à la tentation et Julia se fit violer par onze personnes à la suite devant toutes les esclaves que l’on avait rassemblées pour assister au spectacle. L’humiliation dura une demi-heure pendant laquelle Julia pleura toutes les larmes de son corps qui se retrouva maculé de traces de sperme. Ils ordonnèrent ensuite aux autres esclaves de la nettoyer entièrement en la léchant, en même temps que chacun d’eux en sodomisait une.
Quand ce fut fait, Geoffrey laissa Julia aux mains d’Alexia, qui devait la préparer pour la séance de dressage. Il rejoignit les autres membres et, ensembles, allèrent au grand salon où on le mit au courant du programme de la journée devant des verres servis par les adorables servantes d’Alexia.
Elles étaient juchées sur les très hauts talons de leurs sandales et portaient un collant montant sur le ventre, un corsage à manches longues dont le soutien-gorge intégré moulait fortement leurs seins, des gants et une cagoule ne comportant que deux trous pour les narines et des perforations pour les yeux. Le tout était en latex transparent. Leur corps était ainsi entièrement recouvert de matière à travers laquelle on voyait leurs chairs comprimées. Les réjouissances ne commenceraient que le lendemain matin, expliqua-t-on à Geoffrey, avec la présentation des pouliches et la désignation par Alexia de celle qui aura l’honneur de conduire la parade. Après la parade, on préparera les pouliches pour la course de la soirée. En attendant le lendemain, toute la journée était prévue pour le dressage des filles.
Après le déjeuner, chacun rejoignit son esclave dans son box à l’écurie. Geoffrey y retrouva Julia qui l’attendait, entièrement nue à part une large ceinture de cuir qui lui serrait fortement la taille. Plusieurs lanières en partaient. Une première passait entre ses jambes, entre les lèvres de sa vulve, dans le sillon des fesses pour s’accrocher dans le dos. Deux autres remontaient sur le devant, se croisaient entre ses seins, passaient chacune sur une épaule pour se rejoindre dans le dos et s’accrocher au même endroit que la première. Ses bras étaient reliés dans le dos, repliés avec les poignets attachés entre les omoplates aux lanières.
Elle portait aussi un harnais de tête, consistant en trois sangles: l’une autour du front, la deuxième sous le menton et la troisième réunissant les deux autres et continuant dans le dos où elle s’attachait au même endroit que les poignets. Les sangles étaient très fortement tendues, projetant la tête de la pouliche en arrière, accentuant la courbe de sa colonne vertébrale et avec les poignets entre les omoplates, projetaient la poitrine en avant d’une manière agressive. Le harnais comportait aussi un mors que Julia avait dans la bouche, duquel partait la longe qui l’attachait à sa mangeoire.
Geoffrey prit la longe et amena Julia sur la grande pelouse où d’autres maîtres entraînaient déjà leur esclave, et commença à faire trotter Julia en rond, ce qui, avec ses chaussures, lui posait quelques problèmes. Il la mena ainsi près d’une heure, ne sachant d’ailleurs pas trop comment s’y prendre exactement. C’était pour lui comme pour elle la première fois qu’ils participaient à ce genre d’événement. Il l’arrêtait de temps en temps afin qu’elle puisse, d’un souffle rauque, reprendre sa respiration, avant de la refaire courir au galop. Il fallait aussi apprendre à Julia à tirer un attelage en obéissant aux ordres d’un driver. C’était Alexia qui se chargea de son éducation avec l’autre débutante: Aurélie.
Les deux femmes se retrouvèrent attelées à une carriole dans laquelle était confortablement installée Alexia, tenant les rennes d’une main et un fouet de l’autre. Elle commença par leur faire faire quelques tours de pelouse leur expliquant à coups de fouet comment répondre aux ordres transmis par les rennes. Pour mettre en pratique leur première leçon, Alexia les conduisit pour une grande promenade dans le parc du château. Elles partirent au petit trot, suivant la grande allée par laquelle Julia et Geoffrey étaient arrivés, puis disparurent sous les arbres.
De même qu’Aurélie et Julia n’avaient jamais servi de pouliches, Xavier et Geoffrey n’avaient jamais conduit d’attelage féminin. On leur proposa à chacun une esclave confirmée, harnachée et attelée à une carriole individuelle afin qu’ils apprennent comment les conduire pour la course du lendemain. Ils s’installèrent, chacun dans leur voiture, et on leur montra les quelques ordres à fournir pour aller où l’on veut comme on veut. Ils firent quelques tours d’essai dans la cour. On leur avait mis des pouliches très dociles et déjà habituées à ce genre d’exercices. Cela ne se passa donc pas trop mal, sauf pour les filles qui ruaient dans les brancards lorsqu’ils tiraient trop fort sur les rennes. Ils décidèrent d’aller dans le parc retrouver Julia et Aurélie, et partirent par le même chemin.
Complètement excités de voir devant eux une fille nue et harnachée, ils les menaient sans aucun ménagement à travers les chemins les plus difficiles, les faisant courir dans des descentes où elles devaient retenir la voiture, coupant à travers les sous-bois qui lacéraient leur peau, s’amusant à passer dans des flaques d’eau où elles trébuchaient, lorsque, lors d’un galop effréné, au détour d’un chemin, ils se retrouvèrent face à Alexia. Ils s’arrêtèrent. La leçon dû être difficile car les corps d’Aurélie et de Julia étaient couverts de traces de fouet. Ils échangèrent les pouliches de telle sorte que chacun se retrouve avec son esclave alors qu’Alexia entrait au château avec les deux autres filles. Ils purent donc se familiariser avec leur propre attelage pendant près d’une heure en terminant par une course d’une centaine de mètres jusqu’au perron du château.

Le lendemain matin, tous les membres du club se retrouvèrent aux écuries. Il fallait préparer les filles à la présentation, cérémonie pendant laquelle Alexia choisissait la pouliche qui ouvrirait la Parade. C’était un grand honneur pour le Maître dont l’esclave était choisie. Chacun passa près d’une heure à bichonner sa fille, la nettoyant au jet d’abord pour ensuite, chacun dans son box, la rendre la plus attrayante possible.
Geoffrey passa sur le corps de Julia un lait corporel discrètement parfumé, n’oubliant aucune partie, du visage aux pieds, étalant amoureusement le liquide nacré jusqu’à ce qu’il pénètre dans la peau, la rendant ainsi douce et légèrement luisante. Il peigna ensuite ses cheveux dorés, les démêlant sous le sèche-cheveux afin qu’ils prennent du volume en ondoyant naturellement sur les épaules. Puis il les brossa pendant une demi-heure jusqu’à ce qu’ils brillent de mille feux sous l’éclat du soleil. Enfin, il laissa Julia se maquiller comme elle savait si bien le faire, très légèrement, ne faisant que mettre en évidence sa beauté naturelle.
Une fois qu’elle fut prête, il lui attacha les bras dans le dos, serrant au niveau des coudes de manière à, comme d’habitude, rejeter les épaules en arrière et le buste en avant, passa ensuite une corde à son cou et la tira jusqu’à la cour arrière du château où avait lieu la présentation. Une longue barre métallique courait à plus de deux mètres de haut avec, tous les deux mètres, une pancarte portant le nom de chacune des pouliches. Il plaça Julia sous son nom et attacha la corde à la barre. D’autres filles étaient déjà là, recevant de leur maître les dernières instructions, se faisant promettre les pires sévices si elles n’étaient pas choisies. Geoffrey fit de même puis alla rejoindre ses collègues. Même s’il savait que son objectivité était toute relative, Geoffrey trouva toutes les autres filles pâles et insignifiantes à côté de la beauté surnaturelle de Julia.
Alexia arriva. Elle portait une longue robe, où plutôt devrait-on dire une demi-robe. Elle était totalement ouverte devant, rigidement baleinée au niveau de la taille, ce qui la maintenait au corps sans l’aide de bretelle ou de ceinture. Elle laissait entrevoir tous le devant du corps d’Alexia, ne cachant que très partiellement ses seins. Ses jambes étaient recouvertes de longues bottes lacées en cuir, remontant jusqu’en haut des cuisses. Elle avait sur la tête un grand chapeau rond, lui protégeant le visage des feux du soleil, et, comble de l’hypocrisie, Alexia avait enfilé un petit slip comportant sur le devant une grosse rose rouge en tissu. Dans ses mains gantées de noir pratiquement jusqu’aux épaules, elle tenait une badine.
Alexia descendit avec grâce les marches du perron et passa en revue les filles comme un général devant ses troupes. Au deuxième passage, elle fit une première sélection. Elle désignait les filles qu’elle ne retenait pas d’un sévère coup de cravache sur les seins, ponctué par un cri de souffrance de l’esclave incriminée. Sur plus d’une dizaine de filles, il n’en restait que trois en compétition dont, heureusement pour elle, Julia. Afin de les départager, Alexia retira ses gants, s’approcha d’elles et entreprit de caresser et de palper leur corps. Ses mains couraient partout, s’attardant sur les parties les plus intimes. Une autre fille fut éliminée par un violent coup de badine en travers des seins. Ne restaient plus pour la finale que Julia et Aurélie. Il était vrai qu’Aurélie était très belle, elle aussi. Retirant son chapeau, Alexia s’approcha d’Aurélie et l’embrassa goulûment sur la bouche. Ce fut ensuite au tour de Julia. Alexia commença comme pour Aurélie, puis, soudain, passa son bras droit autour de sa taille et sa main gauche derrière sa tête et le baiser continua pendant une bonne minute. Geoffrey ne s’inquiétait plus. Il connaissait les goûts de Julia pour les amours saphiques en raison de sa liaison avec son amie Christine.
S’arrêtant, hors d’haleine, Alexia remit tranquillement ses gants et son chapeau puis retourna vers le château. En passant devant Aurélie, elle lui cingla sauvagement les seins. Julia avait été choisie. Pour l’heureuse élue, la récompense était de passer tout le reste de la matinée avec Alexia dans son lit. Quant au maître, il avait toutes les servantes à sa disposition.
Geoffrey détacha Julia, qui était rayonnante, et lui dit de monter dans la chambre d’Alexia. Quant à lui, on imagine aisément la matinée infernale qu’il passa avec les cinq servantes qui étaient aux petits soins pour lui. Le tout se passait sur fond sonore de cris et de hurlements de souffrance des esclaves non choisies qui étaient punies dans les écuries.

A midi, les servantes laissèrent Geoffrey, se rhabillèrent et allèrent chercher Julia chez Alexia. Elles la menèrent dans une des chambres du rez-de-chaussée. Intrigué, Geoffrey les suivi et assista à l’habillage de Julia pour la Parade.

Son costume, entièrement de latex rouge, se composait de quatre parties, dont les trois premières ne formaient qu’une: une cagoule ouverte sur le visage avec un gros brillant sur le front et un panache rouge sur le sommet du crâne. Cette cagoule était soudée au niveau de la nuque à une chemise à manches longues, également ouverte devant, laissant nue la poitrine. Ce bustier se terminait par une large ceinture en pointe devant et derrière, sur lesquelles venait s’accrocher un minuscule cache-sexe. Ses jambes étaient gainées de bas rouge et elle portait des chaussures vernies rouges à très hauts talons. Ses bras attachés étroitement dans le dos tiraient ses épaules en arrière et faisaient ressortir ses seins où deux cache-tétons de cuir rouge étaient fixés.
Les soubrettes emmenèrent Julia aux écuries où les autres esclaves attendaient, attelées à leur voiture. On attela Julia à une voiture rouge, dans laquelle grimpa une des servantes d’Alexia.
- Je conduirais la Parade, dit-elle à Geoffrey. Vous, vous aurez le privilège d’y assister au côté de ma Maîtresse.

Geoffrey revint donc au château et trouva Alexia qui l’attendait au salon.
- Les pouliches sont-elles prêtes pour la Parade, lui demanda-t-elle?
Sur sa réponse affirmative, ils allèrent s’installer en haut de l’escalier monumental de la façade.
Les pouliches arrivèrent, trottinant en colonne. Elles trottèrent d’abord en cercle, s’arrêtant, se mirent en ligne devant nous, repartirent pour former un grand huit en trottant le plus rapidement possible, traçant des arabesques de plus en plus compliquées. Les figures durèrent un quart d’heure après quoi on ramena les filles aux écuries pour les faire manger.

Après le déjeuner, chacun alla aux écuries préparer sa pouliche pour la course. Comme Xavier et Geoffrey n’avaient jamais fait enfiler le costume exigé à une fille, deux servantes les aidèrent. Julia et Aurélie se levèrent, oscillant sur la pointe des pieds. Elles serrèrent très étroitement les bras le long de leur corps afin que les servantes puissent leur mettre leur corset. Elles se tortillèrent un peu pour que le corset soit mieux ajusté et bientôt leur bras disparut complètement. Elles ressemblaient presque à une pouliche. Mais les pouliches bien sûr, ne parlent pas. Aussi, en attendant le mors, Julia et Aurélie durent porter un bâillon fait d’une boule de caoutchouc dur que l’on força entre leurs dents avant de boucler derrière la nuque la sangle destinée à les fixer.
Puis les servantes sanglèrent étroitement le haut de leurs jambes, leur passèrent une autre sangle autour des épaules et, à l’aide d’une troisième, les forcèrent à arquer leur dos afin que le corset qu’elles installaient se trouva parfaitement ajusté. Elles tirèrent fortement sur les lacets jusqu’à ce que les bords du corset se rejoignent; puis elles les nouèrent et en coupèrent les extrémités.
Maintenant Julia et Aurélie n’avaient plus de bras. Elles se tenaient là, joliment dressée sur leurs talons, la poitrine ressortie et les épaules tirées en arrière, la taille amincie et l’estomac plat. Leur silhouette était parfaite, mais dépourvue de bras. Il ne restait plus qu’à enfiler leur costume de pouliche. Il se constituait d’une cagoule ouverte sur le nez et la bouche mais recouvrant les yeux, d’un bustier évidemment sans manches et d’un collant comportant sur la pointe des pieds une paire de sabot. Le tout était en latex noir pour Julia, blanc pour Aurélie. Une fois recouverte de leur seconde peau, les filles devaient se tenir sur les sabots, sur la pointe des pieds, sans l’aide d’aucun talon. Elles furent ensuite emmenées sans rien voir à la salle des harnais, guidées par la sangle de leur bâillon. Là, un harnais de tête leur fut placé, puis un large collier comportant de chaque côté une boucle où se fixaient les rennes. Resserrant encore la taille, une gosse ceinture leur fut ajustée. Il en partait une lanière sur le devant, qui, passant entre les jambes, sur la vulve et dans la raie des fesses, venait se fixer par-derrière sur le sommet du crâne. Une autre sangle fut mise autour des épaules, juste au-dessus des seins avec, à droite et à gauche deux lanières que l’on fixait sur le harnais de chaque côté de la tête. Lorsque les sangles furent très fortement tendues, la tête de la pouliche ne pouvait plus bouger de côté et se retrouvait projetée en arrière, accentuant la courbe de la colonne vertébrale et projetant la poitrine en avant d’une manière fort provocante.
Une fois harnachées, les pouliches furent conduites à la salle d’attelage. Les brancards des voitures étaient fixés au niveau des hanches à des sangles fortement serrées. Geoffrey et Xavier firent d’abord faire un trot d’essai à leur pouliche, pour les échauffer, s’arrêtant parfois pour resserrer une sangle. Geoffrey était fasciné par ces splendides pouliches humaines étroitement harnachées, trottant ainsi, privées de l’usage de leurs bras, la tête rejetée en arrière et le mors à la bouche, entre les brancards d’une voiture, devant avancer se fiant aux ordres du driver car rendues aveugles par la cagoule.
Puis la course commença. Les anciennes dirigeaient facilement, luttant pour la première place. Julia fut rapidement derrière, fatiguée, corsetée, harnachée et tendue dans les rennes à la limite de son endurance. Sans parler des très modestes dons de driver de Geoffrey. A la fin de la course, Aurélie et Julia, manifestement désespérées par la sévérité de leur harnais, furent bonnes dernières, passant la ligne complètement étouffée par le corset, l’air sifflant entre leurs dents et le bâillon.

Après la course, une fois que chacune des pouliches eu reprit son souffle ou à peu près, chaque membre conduisit sa pouliche par la longe jusqu’à la bibliothèque afin d’y prendre le café. Chacune dû s’agenouiller près de son Maître, les chevilles liées ensemble et reliées à leur ceinture afin qu’elles ne puissent pas se relever. Alors, les bras toujours lacés le long du corps, en costume de pouliche, toujours chaussées de sabot, maintenues rigide par le harnais et la sangle qui leur tendaient le dos et leur maintenaient la tête en arrière, toujours aveuglées, les oreilles encore assourdies et la langue pressée sous le bâillon, chaque pouliche, immobile et sans défense, partagea le café de son Maître.

Ils discutèrent des mérites déployés par l’une ou l’autre durant la course. Le soir, un grand banquet était organisé en l’honneur de chacun et chacune. Les participants, maîtres et soumises prirent place autour de la gigantesque table dressée dans la grande salle du château devant une petite scène, chacun ayant endossé une tenue de soirée.
Ce fut un dîner somptueux où chacun s’amusa beaucoup.

 

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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