JULIA

Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 20:51
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Avec le temps, on finissait par assez bien connaître les membres du Club. On savait leurs petites manies concernant les activités propres à l’association, ainsi que certaines choses de la vie privée. Ceci pour tous les membres à l’exception d’une personne, qui était, paradoxalement, celle que l’on voyait le plus souvent: Alexia. Geoffrey apprit un jour que c’était elle la fondatrice du Club, et qu’elle y investissait une bonne partie de sa fortune personnelle. De plus elle possédait une admirable propriété en province, au milieu d’un parc superbe. Elle y organisait chaque été, pour son anniversaire, une fête réunissant les membres du Club et leurs esclaves. Le clou des réjouissances était une course de pouliches attelées, précédée d’une grande parade hippique. Pas un seul représentant de l’espèce chevaline ne participait à ces réunions. Les esclaves faisaient office de canasson.

La première fois que Geoffrey y emmena Julia, il lui avait dit qu’ils allaient faire du cheval. Pour le voyage, il avait coiffé les cheveux de Julia en natte, dans laquelle avait été intégrée une cordelette. Ses mains furent attachées dans le dos, les coudes serrés l’un contre l’autre afin de tirer les épaules en arrière et faire ainsi ressortir le buste. La cordelette des cheveux fut fixée à la sangle des coudes en tirant bien dessus pour obliger Julia à lever le menton. Bien entendu, ses chevilles étaient reliées par une courte chaîne, la forçant à n’avancer qu’à petits pas.
Ils partirent au milieu de la nuit du vendredi au samedi afin d’arriver le matin au château. Sur le chemin vers la voiture, ils ne rencontrèrent âme qui vive dans l’immeuble, ce qui aurait été fort gênant et humiliant pour Julia. Ils sortirent de Paris, et s’engagèrent sur l’autoroute pour de longs kilomètres tranquilles.

Arrivés à l’entrée du domaine d’Alexia, Geoffrey se fit connaître à l’Interphone de la grille. On la lui ouvrit. Il rentra la voiture et l’arrêta quelques mètres plus loin à l’abri des regards. Il fit sortir Julia, lui détacha bras et jambes et lui ordonna de retirer sa robe et de s’asseoir sur le capot de la voiture. Elle s’exécuta, ses fesses nues posées sur la tôle tiède. Il lui écarta les jambes et attacha chacune de ses chevilles à un bout du pare-chocs avant grâce à des cordes prises dans le coffre. Il la fit ensuite coucher sur le dos, bras maintenus écartés par des cordes attachées aux points d’accroche du cric, de chaque côté du bas de caisse. Julia se retrouva sur le dos, bras et jambes écartés, sur le capot de la voiture, avec pour seuls vêtements une paire de gants longs et noirs, un porte-jarretelles, des bas de nylon noirs et ses chaussures. Sa peau blanche contrastait fortement avec le verni noir de la voiture.
Geoffrey roula ainsi à travers le parc jusqu’au château où leur arrivée fut fort remarquée. Pas de chance pour Julia, tout le monde se trouvait sur le perron se demandant où ils avaient bien pu passer depuis l’appel à la grille. La courtoisie la plus élémentaire obligea Geoffrey à proposer à chacun son esclave ainsi offerte. Pas un ne résista à la tentation et Julia se fit violer par onze personnes à la suite devant toutes les esclaves que l’on avait rassemblées pour assister au spectacle. L’humiliation dura une demi-heure pendant laquelle Julia pleura toutes les larmes de son corps qui se retrouva maculé de traces de sperme. Ils ordonnèrent ensuite aux autres esclaves de la nettoyer entièrement en la léchant, en même temps que chacun d’eux en sodomisait une.
Quand ce fut fait, Geoffrey laissa Julia aux mains d’Alexia, qui devait la préparer pour la séance de dressage. Il rejoignit les autres membres et, ensembles, allèrent au grand salon où on le mit au courant du programme de la journée devant des verres servis par les adorables servantes d’Alexia.
Elles étaient juchées sur les très hauts talons de leurs sandales et portaient un collant montant sur le ventre, un corsage à manches longues dont le soutien-gorge intégré moulait fortement leurs seins, des gants et une cagoule ne comportant que deux trous pour les narines et des perforations pour les yeux. Le tout était en latex transparent. Leur corps était ainsi entièrement recouvert de matière à travers laquelle on voyait leurs chairs comprimées. Les réjouissances ne commenceraient que le lendemain matin, expliqua-t-on à Geoffrey, avec la présentation des pouliches et la désignation par Alexia de celle qui aura l’honneur de conduire la parade. Après la parade, on préparera les pouliches pour la course de la soirée. En attendant le lendemain, toute la journée était prévue pour le dressage des filles.
Après le déjeuner, chacun rejoignit son esclave dans son box à l’écurie. Geoffrey y retrouva Julia qui l’attendait, entièrement nue à part une large ceinture de cuir qui lui serrait fortement la taille. Plusieurs lanières en partaient. Une première passait entre ses jambes, entre les lèvres de sa vulve, dans le sillon des fesses pour s’accrocher dans le dos. Deux autres remontaient sur le devant, se croisaient entre ses seins, passaient chacune sur une épaule pour se rejoindre dans le dos et s’accrocher au même endroit que la première. Ses bras étaient reliés dans le dos, repliés avec les poignets attachés entre les omoplates aux lanières.
Elle portait aussi un harnais de tête, consistant en trois sangles: l’une autour du front, la deuxième sous le menton et la troisième réunissant les deux autres et continuant dans le dos où elle s’attachait au même endroit que les poignets. Les sangles étaient très fortement tendues, projetant la tête de la pouliche en arrière, accentuant la courbe de sa colonne vertébrale et avec les poignets entre les omoplates, projetaient la poitrine en avant d’une manière agressive. Le harnais comportait aussi un mors que Julia avait dans la bouche, duquel partait la longe qui l’attachait à sa mangeoire.
Geoffrey prit la longe et amena Julia sur la grande pelouse où d’autres maîtres entraînaient déjà leur esclave, et commença à faire trotter Julia en rond, ce qui, avec ses chaussures, lui posait quelques problèmes. Il la mena ainsi près d’une heure, ne sachant d’ailleurs pas trop comment s’y prendre exactement. C’était pour lui comme pour elle la première fois qu’ils participaient à ce genre d’événement. Il l’arrêtait de temps en temps afin qu’elle puisse, d’un souffle rauque, reprendre sa respiration, avant de la refaire courir au galop. Il fallait aussi apprendre à Julia à tirer un attelage en obéissant aux ordres d’un driver. C’était Alexia qui se chargea de son éducation avec l’autre débutante: Aurélie.
Les deux femmes se retrouvèrent attelées à une carriole dans laquelle était confortablement installée Alexia, tenant les rennes d’une main et un fouet de l’autre. Elle commença par leur faire faire quelques tours de pelouse leur expliquant à coups de fouet comment répondre aux ordres transmis par les rennes. Pour mettre en pratique leur première leçon, Alexia les conduisit pour une grande promenade dans le parc du château. Elles partirent au petit trot, suivant la grande allée par laquelle Julia et Geoffrey étaient arrivés, puis disparurent sous les arbres.
De même qu’Aurélie et Julia n’avaient jamais servi de pouliches, Xavier et Geoffrey n’avaient jamais conduit d’attelage féminin. On leur proposa à chacun une esclave confirmée, harnachée et attelée à une carriole individuelle afin qu’ils apprennent comment les conduire pour la course du lendemain. Ils s’installèrent, chacun dans leur voiture, et on leur montra les quelques ordres à fournir pour aller où l’on veut comme on veut. Ils firent quelques tours d’essai dans la cour. On leur avait mis des pouliches très dociles et déjà habituées à ce genre d’exercices. Cela ne se passa donc pas trop mal, sauf pour les filles qui ruaient dans les brancards lorsqu’ils tiraient trop fort sur les rennes. Ils décidèrent d’aller dans le parc retrouver Julia et Aurélie, et partirent par le même chemin.
Complètement excités de voir devant eux une fille nue et harnachée, ils les menaient sans aucun ménagement à travers les chemins les plus difficiles, les faisant courir dans des descentes où elles devaient retenir la voiture, coupant à travers les sous-bois qui lacéraient leur peau, s’amusant à passer dans des flaques d’eau où elles trébuchaient, lorsque, lors d’un galop effréné, au détour d’un chemin, ils se retrouvèrent face à Alexia. Ils s’arrêtèrent. La leçon dû être difficile car les corps d’Aurélie et de Julia étaient couverts de traces de fouet. Ils échangèrent les pouliches de telle sorte que chacun se retrouve avec son esclave alors qu’Alexia entrait au château avec les deux autres filles. Ils purent donc se familiariser avec leur propre attelage pendant près d’une heure en terminant par une course d’une centaine de mètres jusqu’au perron du château.

Le lendemain matin, tous les membres du club se retrouvèrent aux écuries. Il fallait préparer les filles à la présentation, cérémonie pendant laquelle Alexia choisissait la pouliche qui ouvrirait la Parade. C’était un grand honneur pour le Maître dont l’esclave était choisie. Chacun passa près d’une heure à bichonner sa fille, la nettoyant au jet d’abord pour ensuite, chacun dans son box, la rendre la plus attrayante possible.
Geoffrey passa sur le corps de Julia un lait corporel discrètement parfumé, n’oubliant aucune partie, du visage aux pieds, étalant amoureusement le liquide nacré jusqu’à ce qu’il pénètre dans la peau, la rendant ainsi douce et légèrement luisante. Il peigna ensuite ses cheveux dorés, les démêlant sous le sèche-cheveux afin qu’ils prennent du volume en ondoyant naturellement sur les épaules. Puis il les brossa pendant une demi-heure jusqu’à ce qu’ils brillent de mille feux sous l’éclat du soleil. Enfin, il laissa Julia se maquiller comme elle savait si bien le faire, très légèrement, ne faisant que mettre en évidence sa beauté naturelle.
Une fois qu’elle fut prête, il lui attacha les bras dans le dos, serrant au niveau des coudes de manière à, comme d’habitude, rejeter les épaules en arrière et le buste en avant, passa ensuite une corde à son cou et la tira jusqu’à la cour arrière du château où avait lieu la présentation. Une longue barre métallique courait à plus de deux mètres de haut avec, tous les deux mètres, une pancarte portant le nom de chacune des pouliches. Il plaça Julia sous son nom et attacha la corde à la barre. D’autres filles étaient déjà là, recevant de leur maître les dernières instructions, se faisant promettre les pires sévices si elles n’étaient pas choisies. Geoffrey fit de même puis alla rejoindre ses collègues. Même s’il savait que son objectivité était toute relative, Geoffrey trouva toutes les autres filles pâles et insignifiantes à côté de la beauté surnaturelle de Julia.
Alexia arriva. Elle portait une longue robe, où plutôt devrait-on dire une demi-robe. Elle était totalement ouverte devant, rigidement baleinée au niveau de la taille, ce qui la maintenait au corps sans l’aide de bretelle ou de ceinture. Elle laissait entrevoir tous le devant du corps d’Alexia, ne cachant que très partiellement ses seins. Ses jambes étaient recouvertes de longues bottes lacées en cuir, remontant jusqu’en haut des cuisses. Elle avait sur la tête un grand chapeau rond, lui protégeant le visage des feux du soleil, et, comble de l’hypocrisie, Alexia avait enfilé un petit slip comportant sur le devant une grosse rose rouge en tissu. Dans ses mains gantées de noir pratiquement jusqu’aux épaules, elle tenait une badine.
Alexia descendit avec grâce les marches du perron et passa en revue les filles comme un général devant ses troupes. Au deuxième passage, elle fit une première sélection. Elle désignait les filles qu’elle ne retenait pas d’un sévère coup de cravache sur les seins, ponctué par un cri de souffrance de l’esclave incriminée. Sur plus d’une dizaine de filles, il n’en restait que trois en compétition dont, heureusement pour elle, Julia. Afin de les départager, Alexia retira ses gants, s’approcha d’elles et entreprit de caresser et de palper leur corps. Ses mains couraient partout, s’attardant sur les parties les plus intimes. Une autre fille fut éliminée par un violent coup de badine en travers des seins. Ne restaient plus pour la finale que Julia et Aurélie. Il était vrai qu’Aurélie était très belle, elle aussi. Retirant son chapeau, Alexia s’approcha d’Aurélie et l’embrassa goulûment sur la bouche. Ce fut ensuite au tour de Julia. Alexia commença comme pour Aurélie, puis, soudain, passa son bras droit autour de sa taille et sa main gauche derrière sa tête et le baiser continua pendant une bonne minute. Geoffrey ne s’inquiétait plus. Il connaissait les goûts de Julia pour les amours saphiques en raison de sa liaison avec son amie Christine.
S’arrêtant, hors d’haleine, Alexia remit tranquillement ses gants et son chapeau puis retourna vers le château. En passant devant Aurélie, elle lui cingla sauvagement les seins. Julia avait été choisie. Pour l’heureuse élue, la récompense était de passer tout le reste de la matinée avec Alexia dans son lit. Quant au maître, il avait toutes les servantes à sa disposition.
Geoffrey détacha Julia, qui était rayonnante, et lui dit de monter dans la chambre d’Alexia. Quant à lui, on imagine aisément la matinée infernale qu’il passa avec les cinq servantes qui étaient aux petits soins pour lui. Le tout se passait sur fond sonore de cris et de hurlements de souffrance des esclaves non choisies qui étaient punies dans les écuries.

A midi, les servantes laissèrent Geoffrey, se rhabillèrent et allèrent chercher Julia chez Alexia. Elles la menèrent dans une des chambres du rez-de-chaussée. Intrigué, Geoffrey les suivi et assista à l’habillage de Julia pour la Parade.

Son costume, entièrement de latex rouge, se composait de quatre parties, dont les trois premières ne formaient qu’une: une cagoule ouverte sur le visage avec un gros brillant sur le front et un panache rouge sur le sommet du crâne. Cette cagoule était soudée au niveau de la nuque à une chemise à manches longues, également ouverte devant, laissant nue la poitrine. Ce bustier se terminait par une large ceinture en pointe devant et derrière, sur lesquelles venait s’accrocher un minuscule cache-sexe. Ses jambes étaient gainées de bas rouge et elle portait des chaussures vernies rouges à très hauts talons. Ses bras attachés étroitement dans le dos tiraient ses épaules en arrière et faisaient ressortir ses seins où deux cache-tétons de cuir rouge étaient fixés.
Les soubrettes emmenèrent Julia aux écuries où les autres esclaves attendaient, attelées à leur voiture. On attela Julia à une voiture rouge, dans laquelle grimpa une des servantes d’Alexia.
- Je conduirais la Parade, dit-elle à Geoffrey. Vous, vous aurez le privilège d’y assister au côté de ma Maîtresse.

Geoffrey revint donc au château et trouva Alexia qui l’attendait au salon.
- Les pouliches sont-elles prêtes pour la Parade, lui demanda-t-elle?
Sur sa réponse affirmative, ils allèrent s’installer en haut de l’escalier monumental de la façade.
Les pouliches arrivèrent, trottinant en colonne. Elles trottèrent d’abord en cercle, s’arrêtant, se mirent en ligne devant nous, repartirent pour former un grand huit en trottant le plus rapidement possible, traçant des arabesques de plus en plus compliquées. Les figures durèrent un quart d’heure après quoi on ramena les filles aux écuries pour les faire manger.

Après le déjeuner, chacun alla aux écuries préparer sa pouliche pour la course. Comme Xavier et Geoffrey n’avaient jamais fait enfiler le costume exigé à une fille, deux servantes les aidèrent. Julia et Aurélie se levèrent, oscillant sur la pointe des pieds. Elles serrèrent très étroitement les bras le long de leur corps afin que les servantes puissent leur mettre leur corset. Elles se tortillèrent un peu pour que le corset soit mieux ajusté et bientôt leur bras disparut complètement. Elles ressemblaient presque à une pouliche. Mais les pouliches bien sûr, ne parlent pas. Aussi, en attendant le mors, Julia et Aurélie durent porter un bâillon fait d’une boule de caoutchouc dur que l’on força entre leurs dents avant de boucler derrière la nuque la sangle destinée à les fixer.
Puis les servantes sanglèrent étroitement le haut de leurs jambes, leur passèrent une autre sangle autour des épaules et, à l’aide d’une troisième, les forcèrent à arquer leur dos afin que le corset qu’elles installaient se trouva parfaitement ajusté. Elles tirèrent fortement sur les lacets jusqu’à ce que les bords du corset se rejoignent; puis elles les nouèrent et en coupèrent les extrémités.
Maintenant Julia et Aurélie n’avaient plus de bras. Elles se tenaient là, joliment dressée sur leurs talons, la poitrine ressortie et les épaules tirées en arrière, la taille amincie et l’estomac plat. Leur silhouette était parfaite, mais dépourvue de bras. Il ne restait plus qu’à enfiler leur costume de pouliche. Il se constituait d’une cagoule ouverte sur le nez et la bouche mais recouvrant les yeux, d’un bustier évidemment sans manches et d’un collant comportant sur la pointe des pieds une paire de sabot. Le tout était en latex noir pour Julia, blanc pour Aurélie. Une fois recouverte de leur seconde peau, les filles devaient se tenir sur les sabots, sur la pointe des pieds, sans l’aide d’aucun talon. Elles furent ensuite emmenées sans rien voir à la salle des harnais, guidées par la sangle de leur bâillon. Là, un harnais de tête leur fut placé, puis un large collier comportant de chaque côté une boucle où se fixaient les rennes. Resserrant encore la taille, une gosse ceinture leur fut ajustée. Il en partait une lanière sur le devant, qui, passant entre les jambes, sur la vulve et dans la raie des fesses, venait se fixer par-derrière sur le sommet du crâne. Une autre sangle fut mise autour des épaules, juste au-dessus des seins avec, à droite et à gauche deux lanières que l’on fixait sur le harnais de chaque côté de la tête. Lorsque les sangles furent très fortement tendues, la tête de la pouliche ne pouvait plus bouger de côté et se retrouvait projetée en arrière, accentuant la courbe de la colonne vertébrale et projetant la poitrine en avant d’une manière fort provocante.
Une fois harnachées, les pouliches furent conduites à la salle d’attelage. Les brancards des voitures étaient fixés au niveau des hanches à des sangles fortement serrées. Geoffrey et Xavier firent d’abord faire un trot d’essai à leur pouliche, pour les échauffer, s’arrêtant parfois pour resserrer une sangle. Geoffrey était fasciné par ces splendides pouliches humaines étroitement harnachées, trottant ainsi, privées de l’usage de leurs bras, la tête rejetée en arrière et le mors à la bouche, entre les brancards d’une voiture, devant avancer se fiant aux ordres du driver car rendues aveugles par la cagoule.
Puis la course commença. Les anciennes dirigeaient facilement, luttant pour la première place. Julia fut rapidement derrière, fatiguée, corsetée, harnachée et tendue dans les rennes à la limite de son endurance. Sans parler des très modestes dons de driver de Geoffrey. A la fin de la course, Aurélie et Julia, manifestement désespérées par la sévérité de leur harnais, furent bonnes dernières, passant la ligne complètement étouffée par le corset, l’air sifflant entre leurs dents et le bâillon.

Après la course, une fois que chacune des pouliches eu reprit son souffle ou à peu près, chaque membre conduisit sa pouliche par la longe jusqu’à la bibliothèque afin d’y prendre le café. Chacune dû s’agenouiller près de son Maître, les chevilles liées ensemble et reliées à leur ceinture afin qu’elles ne puissent pas se relever. Alors, les bras toujours lacés le long du corps, en costume de pouliche, toujours chaussées de sabot, maintenues rigide par le harnais et la sangle qui leur tendaient le dos et leur maintenaient la tête en arrière, toujours aveuglées, les oreilles encore assourdies et la langue pressée sous le bâillon, chaque pouliche, immobile et sans défense, partagea le café de son Maître.

Ils discutèrent des mérites déployés par l’une ou l’autre durant la course. Le soir, un grand banquet était organisé en l’honneur de chacun et chacune. Les participants, maîtres et soumises prirent place autour de la gigantesque table dressée dans la grande salle du château devant une petite scène, chacun ayant endossé une tenue de soirée.
Ce fut un dîner somptueux où chacun s’amusa beaucoup.

 

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Jeudi 15 novembre 4 15 /11 /Nov 21:48
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A la maison, Geoffrey retrouva Julia. Elle était comme le voulaient les règles, entièrement nue avec seulement des bottines de cuir verni. Elle était en train de mettre la table, et, de la cuisine, montaient de bonnes odeurs. Il s’approcha d’elle, la serra contre lui et l’embrassa langoureusement tout en la caressant longuement.
- Comment s’est passée ta journée, lui demanda-t-il? Ton accoutrement a-t-il fait sensation?
- Plutôt, oui, répondit-elle. Pas un seul de mes collègues ne m’a quitté des yeux.
- C’est normal! Tu es belle. Autant qu’on te regarde. Bon! Ce n’est pas tout, il faut se préparer.
Il alla chercher dans le placard une espèce de chaise pliante qu’il avait réarrangée. Il s’agissait, en fait, d’un cadre métallique plié en U avec un côté plus haut que l’autre. Sur le grand côté étaient fixés, en haut un dossier, et en bas, touchant le sol, un coussin cylindrique en mousse. Cette chaise ne comportait pas de planche horizontale sur laquelle on pût s’asseoir. C’est Julia qui en fera office, et plus particulièrement ses fesses et ses cuisses.
Geoffrey mit un bâillon à Julia, l’installa dans le cadre et l’y attacha fermement. Pour sa part, il alla se changer avant d’aller voir ce qui se passait en cuisine. Tout avait l’air en ordre. Il ne restait plus qu’à attendre les invités. Il s’assis sur sa nouvelle chaise, prit un livre et attendit. Xavier et Aurélie ne tardèrent pas.
Xavier, comme Geoffrey, était vêtu d’un costume de soirée. Aurélie portait un long manteau de fourrure qui descendait jusqu’au sol. Sur la tête était fixé un harnais de cuir la serrant au front et sous le menton. Il comportait un bâillon boule enfoncé dans sa bouche. Elle semblait marcher sur des oeufs et difficilement tenir debout. Je compris pourquoi lorsqu’elle retira son manteau.
En dessous, elle portait un corset de cuir souple très étroit, attaché devant à un collier par une lanière à boucle. De cette lanière, en partaient deux autres, juste au-dessus des seins libres pour passer dans le dos. Le plus surprenant fût ses chaussures : des chaussures ballet. Ses cuisses sanglées étaient reliées aux chevilles par des lanières trop courtes pour lui permettre de tendre les jambes et qui la contraignaient à de tout petits pas, jambes pliées, les muscles des cuisses contractés.

Julia étant indisponible, c’est Aurélie qui faisait office de maîtresse de maison. Elle déambulait de droite à gauche dans l’appartement, oscillant sur la pointe des pieds. Geoffrey mit Xavier au courant du projet de fête pour l’anniversaire du club. Ils en discutèrent pendant l’apéritif et, au moment de passer à table, Geoffrey décida de faire le service.
Il plaça les convives, donnant à Aurélie Julia comme chaise. Xavier lui défit les sangles des cuisses et des chevilles, lui attacha les bras dans le dos, lui enleva son harnais de tête et, une fois qu’elle fut assise sur Julia, il lui lia les chevilles. Pour manger, elle devait lécher son assiette. Xavier trouva son modèle de siège intéressant. Julia servit de siège durant tout le repas qui s’éternisa pendant quatre heures.

Une fois leurs invités partis, pendant qu’ils rangeaient, Geoffrey parla à Julia de l’idée d’amener son amie Christine au club. Julia la lui avait présentée comme sa meilleure amie et il a toujours soupçonné qu’il y avait entre elles plus que de l’amitié. C’est pour cela qu’il demanda de but en blanc:
- Que pense Christine de tes anneaux et des marques sur ton corps?
Julia rougit et, comprenant qu’il était inutile de nier, répondit:
- Au début, elle était horrifiée jusqu’à ce que je lui explique. Maintenant cela l’excite plutôt, bien qu’elle ne l’ai jamais avoué.
- Christine serait donc une bonne candidate, demanda Geoffrey?
- Je pense que oui.
Il décida d’en parler dès le lendemain à Alexia.
- Et si nous l’invitions à dîner un de ces soirs? Nous pourrions faire une belle partie à trois, qu’en penses-tu?
- Je n’osais pas te le demander, lui répondit Julia. Je meure d’envie de te la faire connaître mieux.
Deux jours plus tard, Julia invita Christine à passer la soirée avec eux. Cela ne faisait pas une demi-heure qu’elle était là que Julia lui dit:
- Fais nous voir ton numéro ma chérie s’il te plaît.
Agissant en femelle avertie, Christine se débarrassa de sa jupe avec une lenteur calculée et exhiba sa croupe rebondie que protégeait encore une adorable petite culotte. Cette culotte était si soyeuse et si diaphane que le triangle de la toison pubienne transparaissait à travers le tissu, tandis que la forme de la vulve était presque aussi apparente que si rien ne l’avait protégée. Elle tourna sur elle-même pour faire admirer les deux côtés de son corps. Elle passa une main sous son corsage et l’autre dans son slip et se massa les seins et la vulve pour montrer, au cas où on ne l’aurait pas compris, qu’on n’était pas là pour parler de la pluie et du beau temps.
Dans un geste spécifiquement féminin, elle se débarrassa de son corsage et dégagea ses seins. Elle en agaça les tétons et une fois ceux-ci gros comme des obus, ses mains descendirent sur son ventre. Alors qu’elle tortillait du popotin, les caresses allèrent vers la culotte qu’elle arracha d’un coup. Un tel spectacle emballa Julia et Geoffrey. Elle s’assit par terre et, fière de l’impression faite par sa chatte, Christine savourait leurs chauds regards pointés sur son entrecuisse. Elle adorait s’exhiber, les cuisses généreusement ouvertes sur une moule que rien ne protégeait des regards des autres.
Elle se caressa ensuite délibérément le sexe en leur montrant les marques d’une grande excitation sexuelle. Ils la virent onduler des hanches et du ventre, gonfler sa poitrine sur les seins de laquelle monta une de ses mains qui se mit en devoir de les pétrir en insistant sur les fraises rose pâle qu’elle effleura du bout des doigts après avoir humecté ceux-ci de sa salive. En nous regardant avec provocation, elle écarta encore plus les cuisses et pris appui sur ses talons pour projeter en sèches saccades son bas-ventre à la rencontre de sa main fouillant l’intérieur de sa vulve suintante.
Geoffrey s’hypnotisait de ses doigts qui allaient chercher très bas le point de départ de leur périple, remontaient lentement entre les lèvres ourlées en disjoignant les bords rose vif de l’entaille pelvienne dont ils écartaient parfois quelques mèches gluantes, s’appuyant un moment en tournant sur le sommet de la chair bâillante où s’érigeait le minuscule mont de volupté. Ils reprenaient ensuite leur voyage en redescendant pour s’insérer profondément entre les fesses légèrement soulevées et revenir en un souple balancement du poignet s’enfoncer plus franchement dans l’anfractuosité trempée de cyprine odorante.
Puis Christine ferma les yeux. Ses jambes pliées se mirent à trembler. Tout son corps s’agita de soubresauts qui la secouèrent de la tête aux pieds. Son ventre accentuait ses bondissements vers la main dispensatrice de plaisir et dont le mouvement de bas en haut entre les muqueuses maintenant rouge vif de sa vulve ruisselante, produisait de petits borborygmes liquides. Son autre main pressait fortement le téton de son sein droit, et sa bouche, aux lèvres entrouvertes, laissait fuser une sorte de gémissement roucoulant qui se transforma bientôt en une plainte rauque et ponctuée de petits cris de plaisir.
Soudain l’orgasme convulsa Christine. Son visage se crispa, ses joues se creusèrent, ses pommettes s’enflammaient et pâlissaient tour à tour violemment, les ailes de son nez se pincèrent et blanchirent pendant que de sa gorge jaillissaient les cris rauques et précipités témoignant de l’intensité de sa jouissance qui exaltait tous ses sens portés au paroxysme de l’excitation voluptueuse.
Geoffrey jeta un regard sur Julia qui ne quittait pas son amie des yeux, son amie qui, les cuisses refermées sur sa main retenues prisonnière, était agitée de spasmes incontrôlés qui la soulevait du sol pour l’y rejeter et la faire bondir encore. Elle perpétuait ainsi, aussi longtemps qu’elle pourrait l’endurer, l’extase qui la possédait.
Enfin les sursauts cessèrent et Christine ouvrit les yeux posant son regard brillant de larmes sur ses hôtes, qui n’avaient cessés de la regarder, immobiles devant ce spectacle fascinant.
- Oooohhh!... Je ne m’arrêterais jamais! Je viens encore de jouir comme une folle! C’était bon de me caresser en sachant que vous me regardiez faire!
Julia se leva, alla chercher la valise d’accessoires et en sortit un godemiché qu’elle tendit à son amie, qui le lui arracha des mains. Christine se l’enfonça à grand renfort de gloussements de satisfaction et lui imprima un mouvement de va-et-vient à une cadence folle dans ses chairs hyper excitées, se trémoussant dans tous les sens, son bassin ondulant frénétiquement. Julia se pencha sur elle, et, de sa bouche, happa un de ses tétons et se mit à le sucer. Le contact de la bouche de Julia électrisa Christine et le godemiché gluant lui glissa des mains.
Julia l’embrassait maintenant à pleine bouche, tout en lui triturant la chatte de ses doigts habiles et en portant une bonne partie de ses caresses sur le clitoris archi-bandé. Christine se laissait faire sans participer à l’action, se contentant d’écarter le plus possible les cuisses afin de bien dégager la zone à conquérir. Julia se plaqua étroitement contre elle, poussa son ventre contre le sien et écrasa ses seins contre sa poitrine alors que ses longues jambes se mêlaient aux siennes et que se pressaient leurs cuisses déjà étreintes.
Elle lui prit les lèvres dans les siennes, pulpeuses et sensuelles et, à pleine bouche, avidement, donna son premier baiser de la soirée à son amie. La langue de Julia se glissa, palpitante, entre les dents de Christine et remplit toute sa bouche pour soumettre sa propre langue à sa loi pendant que ses lèvres, chaudes et humides, se pressaient sur celles de son amie.
Délaissant enfin sa bouche, les lèvres descendirent dans son cou et sur sa poitrine. Christine gémit doucement. Saisissant son sein droit d’une main, Julia plaqua sa bouche de goule sur le gauche et commença à le sucer après avoir capturé le téton durci qui gonfla plus encore sous l’étreinte des lèvres. Christine se crispa sous le double effet des caresses synchronisées. Au début, la main et la bouche surent rester douces. Peu à peu, elles se firent plus insistantes, plus impérieuses. Elles pétrirent toutes les deux à leur façon, augmentant irrésistiblement la sensibilité de la poitrine captive et frémissante.
Brusquement, Julia se dégagea et délaissa Christine. Elle protesta de se voir abandonnée alors que la volupté se répandait en elle de ses flots émouvants et irrésistibles:
- Oooohhh!... Julia ne me laisse pas... J’ai trop envie de jouir maintenant!
- Ne crains rien ma belle petite chatte! Je n’en ai pas encore fini avec toi!
Rassurée Christine reprit en main le godemiché, ferma les yeux et se l’enfonça de nouveau dans la chatte en se contorsionnant. En souriant, Julia fouilla dans la valise et y prit un harnais de cuir sur lequel elle vissa un des godes qui s’y adaptaient. Le phallus choisi était de caoutchouc dur, de forme cambrée comme un croissant. Ressemblant à une banane de fortes proportions, son gland lisse et luisant couronnait, comme la tête d’un champignon, la hampe hérissée de poils de velours semi-rigides d’un diamètre de près de cinq centimètres. Julia se ceignit les hanches de l’ensemble du harnais et se trouva alors en mesure de jouer le rôle d’un mâle de belle prestance, tout en jouissant elle-même de la seconde verge solidaire du dispositif et qu’elle avait introduit dans son vagin avant de serrer énergiquement les courroies sur son bassin et ses reins.
Elle revint s’étendre près de Christine à qui elle prit le godemiché des mains et qu’elle fit se retourner sur le ventre et se cambrer pour lui offrir sa croupe largement étalée. Le somptueux fessier exposé à ses regards, saisissant les cuisses de son amie près de l’aine, elle les contraignit à s’écarter et lui fit relever les fesses insolemment pour découvrir la vulve rose aux lèvres charnues et mouillées de cyprine gluante avec, un peu plus haut, le petit cercle de l’anus.
Julia enfouit son visage entre les cuisses désunies et prit son sexe à pleine bouche pour commencer à mâcher les lèvres soyeuses pendant que ses mains, remontant le long des flancs haletants, venaient se glisser entre la poitrine et la moquette pour emprisonner les seins et les pétrir vigoureusement à pleines mains, pinçant les bouts tendus sans cesser de brûler la vulve de la pression de ses lèvres et de pousser dans le vagin sa langue alerte, faisant hésiter son amie entre le plaisir et la douleur qui, l’un comme l’autre, la firent crier, et vouloir toujours plus. Ne sachant plus ce qu’elle disait, délirant déjà, Christine lui demanda de la mordre, de la prendre, de la sucer plus fort, de lui faire mal même, de l’abrutir de plaisir.
Ne demandant que cela, Julia la mordit sévèrement en capturant son clitoris qu’elle aspira entre ses dents serrées pour la faire crier de souffrance et d’hystérique volupté. Christine se démenait comme une forcenée, prisonnière de son amante qui la maintenait énergiquement en s’arrimant à ses seins qu’elle déformait de ses doigts durs pour continuer de sucer, d’aspirer, de mordre le bouton de chair tendre, dispensateur de plaisir voluptueux. Christine criait et s’étouffait, le visage écrasé sur la moquette, les joues couvertes de larmes, agitant convulsivement les fesses et ondulant des hanches, incapable de savoir si elle voulait se donner davantage, ou échapper à l’intolérable baiser qui la rendait démente.
Crispée à se rompre les nerfs, Christine poussa un terrible hurlement et releva la tête en se raidissant sur ses bras tendus dont les muscles saillirent d’un coup sous la peau fine. Elle éprouva l’atroce sensation qui lui venait de son ventre qui s’ouvrait et se déchirait sous la formidable pénétration et fit s’enfuir l’envie de jouir qui se répandait doucement en elle, pour ne laisser subsister que la douleur sous la poussée implacable du taraud poilu qui se chevillait au bas de son ventre impitoyablement meurtri en distendant ses chairs intimes.

- Noooonnn!... Juliaaa!... Aaarêêête! J’ai mal!... Tu me fais trop mal!... Enlève-le, il est trop... trop gros... J’ai mal! Je t’en prie!... Aaaaahhh!...
Sans lui répondre ni se soucier de ses cris et de ses plaintes vibrantes, ignorant ses sanglots et ses supplications pathétiques, Julia, haletant bruyamment sous l’effort que lui demandait la possession de son amante, déplaça sa main gauche pour libérer un sein et l’amena sous le ventre de son amie contre lequel elle la glissa jusqu’à la pointe de la vulve distendue dont elle caressa, d’un doigt actif le pistil exaspéré et projeté vers l’avant par le volume du godemiché. Elle entreprit alors le va-et-vient de la possession, prenant Christine puissamment de son faux pénis, se retirant doucement pour exciter les parois vaginales du glissement des poils de velours relevés en étant pris à rebours et, sans cesser d’agacer le clitoris gorgé de sang, d’un coup de reins imparable, fesses crispées, elle projeta son ventre à la rencontre de la croupe offerte et trépidante de sa monture qui, sous l’inexorable enfoncement mêlait peu à peu de longs gémissements rauques à ses plaintes de douleur allant s’assourdissant. Puis, au rythme régulier de la pénétration, la souffrance de Christine s’estompa et s’effaça totalement pour faire place au plaisir.
- Jouis putain!... Tu aimes çà hein!... A quatre pattes comme une chienne que tu es!... Gigote salope!... Je te tiens bien garce!... Tu sens comme je suis bien dans ton con tout mouillé?... Allez!... Remue-le bien ton gros cul joufflu!...
Geoffrey n’avait jamais vu Julia dans cet état et il la soupçonnait fort de se venger sur son amie pour toutes les humiliations subies. Cela rendait le spectacle tout à fait passionnant.
Sans la moindre retenue, Christine se livrait au rut de Julia qui la possédait vigoureusement et la sabrait à grands coups de reins tout en se pénétrant elle-même de la verge intérieure du harnais. Le buste relevé sur ses bras toujours raidis, un seins captif et l’autre ballottant, la tête renversée et la chevelure folle, les lèvres ouvertes sur une plainte permanente qui montait de sa gorge en feu et s’échappait en longues trilles sanglotantes, secouée par les coups de boutoir de Julia dont les seins se frottaient sur son dos, Christine se mit à hurler, prise de sauvages convulsions. Longuement, à pleins poumons, elle cria sa jouissance en se jetant dans de violents bondissements que son amie avait bien du mal, cette fois, à contenir et à dompter pour continuer de la soumettre à l’infernale étreinte.
Vint le moment où Christine eut mal à force de jouir. Elle voulait que cela cesse, rien qu’un instant, un tout petit instant! Mais implacable, Julia la maintenait dans la houle de ses orgasmes successifs qui la secouaient sans répit et lui refusaient le repos qu’elle réclamait de tout son être, épuisée. Malgré elle, elle continuait à jouir, à hurler à perdre haleine, suppliant d’arrêter, sanglotant et hoquetant des mots sans suite sous l’accablante intensité de son plaisir qui la ravageait. Restant sourde à sa demande, Julia allait et venait en poussant son ventre.
Geoffrey sut que Julia allait jouir à son tour lorsque, délaissant le clitoris de Christine, elle reprit soudainement et sauvagement possession de ses deux seins pour s’y agripper et accélérer la cadence de la pénétration qui se fit plus violente, plus puissante et plus saccadée. La jouissance l’emporta alors d’un coup et, rugissante de plaisir, bacchantes échevelées, délirante, elle se crispa en se tendant désespérément contre son amie et en broyant ses pauvres seins que ses doigts griffaient convulsivement pour, dans un grand cri, retomber sur son dos, molle et demi inconsciente.
Enfin, Christine, sentant la tempête décroître, se laissa aller à son tour sur la moquette où elle retomba inerte.

 

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 07:31
2

 

Le lendemain matin, Geoffrey eut l’extrême plaisir de voir Julia toujours ligotée au milieu du salon. Elle était restée attachée en tout plus de six heures, et n’avait évidemment pas fermé l’oeil de la nuit. La voyant ainsi, complètement soumise, il eut une violente érection. Il s’approcha d’elle, lui arracha son bâillon et enfonça sa verge dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge, collant son nez à son pubis.
- Rends-toi utile, avant de préparer le p’tit déj, lui dit-il! Tu m’as fait chier toute la nuit avec tes pleurs, fais-toi pardonner!
Elle le suça goulûment, le téta plutôt, aspirant violemment, ses lèvres bien jointes autour de sa hampe, sa langue l’écrasant sur son palais. Geoffrey, ses mains sur sa nuque, entretenait le mouvement de va-et-vient et l’éjaculation ne se fit pas attendre. Julia avala jusqu’à la dernière goutte de son sperme. Il la détacha, lui laissant le martinet dans le cul et alla prendre sa douche pendant qu’elle préparait à manger. S’installant à table, il fit mettre Julia à genoux dessous, entre ses cuisses:
- Ton petit déjeuner sera mon sperme, lui annonça-t-il!
Durant tout le temps où il mangeait, Julia le suçait sous la table.

Après manger, Julia alla faire sa toilette et s’habiller suivant les ordres de son seigneur comme la veille au soir, avec la ceinture à sangles sous sa robe ce coup çi.
- Tu iras au boulot ainsi habillée, lui dit-il, et ce soir tu me raconteras les réactions de tes collègues.
Ces réactions ne manqueront sûrement pas car Julia était particulièrement excitante avec ses longues bottes de cuir qui montaient jusqu’en haut des cuisses, ne laissant apparaître que de temps en temps une mince bande de sa peau blanche sous sa robe ultracourte. Cette idée semblait exciter Julia, car on voyait poindre ses tétons sous le mince tissu de sa robe.
- Sois à l’heure ce soir, la prévint-il! Je te rappelle que nous avons du monde à dîner.
En effet, ce soir là, Geoffrey et Julia avaient invité Xavier et son esclave Aurélie, tout juste sortie de l’école du club.

Le lendemain, Geoffrey put se libérer du travail en milieu d’après-midi. Il décida de passer au club, histoire de dire bonjour à Alexia et ses pensionnaires. Alexia l’accueillit avec ce sourire qui ravissait quiconque à qui il était adressé. Cette fille aurait fait bander un eunuque. Elle le conduisit aux chambres des pensionnaires.
La première était pendue par les pieds, une corde autour du cou fixée au sol la maintenait légèrement de travers. Son maître, lui expliqua Alexia, voulait qu’elle restât le plus souvent possible la tête en bas.
- Cela fait deux heures qu’elle est ainsi pendue, ajouta-t-elle. En fait, je l’avais complètement oublié, ainsi que sa copine, tout occupée que j’étais à faire les comptes de l’association.
Sa copine, justement, la seconde fille en pension, était attachée sur le dos, bras et jambes écartées à une table en bois. Un cylindre en bois d’environs vingt centimètres de diamètre, recouvert de cuir molletonné était placé entre ses reins et le plateau de la table. Il la forçait à se cambrer fortement. Son ventre, le haut de ses cuisses et son entrejambe étaient zébrées de traces de fouet. Son maître lui reprochait toujours de n’être pas assez cambrée. Elle, par contre, se trouvait dans cette position depuis la veille au soir. Elle était restée entravée dans cette position toute la nuit et toute la journée jusqu’à maintenant.
- Je vais m’occuper de ces demoiselles, proposa Geoffrey à Alexia. Tu peux remonter faire tes comptes.
Alexia remonta, le laissant seul dans le couloir des chambres. Il entra dans la seconde chambre. La vue de cette fille immobilisée sur cette table le rendit fou de désir, d’autant plus qu’elle était dans une position attrayante. Il enleva son pantalon et monta sur la table, se mettant à genoux entre ses jambes écartées. Il lui retira le bâillon et lui demanda son prénom:
- Véronique, Maître, répondit-elle.
- Très bien Véronique, lui dit-il. On va s’amuser un peu tout les deux.
Pour ponctuer sa phrase, il badigeonna le sexe offert ainsi que le sien de gel lubrifiant et entra d’un coup, dans son ventre et se mit à aller et venir sans ménagement. Véronique hurla de douleur lorsque son dos, immobilisé depuis la veille, roula sur le cylindre sous les assauts de Geoffrey.
Une fois vidé en elle, il la détacha et la mena à la salle de travail, à l’étage. Cette salle était aménagée avec un tas d’appareil dont un trapèze amovible, dont les cordes étaient reliées au plafond à des poulies, de sorte qu’on pouvait en régler la hauteur. Il le descendit au sol et fit coucher Véronique sur le dos, la barre du trapèze au niveau des reins, maintenue en place grâce à une sangle autour de sa taille. Relevant le trapèze d’environs soixante, soixante-dix centimètres, il souleva l’esclave du sol et lui attacha, à l’aide de cordelettes, les poignets aux chevilles. Ceci fait, il monta la barre du trapèze juste se qu’il fallait pour cambrer la jeune femme tout en laissant pieds et mains au sol afin de ne pas faire porter tous son poids sur ses reins.
- Tu ne bouges pas, lui ordonna-t-il! Je vais chercher ta collègue et je reviens.
En entrant dans la chambre de la pendue, Geoffrey reconnut Inès, l’esclave de Pierrick. Il se souvint que, comme Julia, elle était percée.
- Bonjour Inès, lui dit-il en s’approchant d’elle. Comment vas-tu?
Sans attendre la réponse, puisqu’elle était bâillonnée, il la détacha, lui laissant les bras et les genoux liés. Il prit le bout de corde qu’elle avait au cou, et le passa dans chacun des anneaux qu’elle avait aux seins et en fis une laisse. Passant devant elle, il la tira par la laisse jusqu’à la salle du premier. Il marchait vite, sachant qu’avec ses genoux serrés, elle aurait du mal à le suivre. La corde était tendue presque à l’horizontale tirant sur les tétons et les faisant remonter au niveau du cou. Les deux escaliers entre le sous-sol et le premier étage furent le plus difficile, pour elle. Comme elle n’avançait pas, Geoffrey tirait sur la laisse, l’obligeant à se dépêcher. Bien évidemment, elle rata une marche dans le deuxième escalier, et s’étala de tout son long, d’autant qu’ayant les mains liées dans le dos, elle ne put se rattraper.
En entrant dans la salle de travail, Geoffrey vit que Véronique n’avait pas bougé. Elle pleurait de douleur, la barre du trapèze lui sciant les reins.
- Tiens encore un peu, lui dit-il! Je m’occupe de toi dans un instant.
Il défit la laisse d’Inès ainsi que les liens de ses genoux. Il alla chercher dans l’armoire à accessoires trois chaînes, deux bracelets de cuir pour les chevilles et un poids en fonte de cinq cents grammes comportant deux petites chaînettes à un mousqueton. Il fixa les chaînes à des anneaux du plafond et mis les chevillières à l’esclave. Il glissa sous les chaînes une table sur laquelle il fit allonger Inès sur le ventre. Il prit chacune de ses jambes et les attacha aux chaînes. Il fit de même pour ses bras toujours liés dans le dos. Ceci terminé, il retira la table. Inès se retrouva pendue au plafond, face vers le bas dans une position très inconfortable pour les bras. Il accrocha ensuite le poids aux anneaux de ses tétons. Ses seins se trouvèrent joliment et douloureusement étirés vers le bas. Geoffrey la laissa ainsi pour s’occuper de Véronique.
Il fit descendre le trapèze et détacha la jeune femme qui eut beaucoup de mal à se remettre debout. Toujours dans le but de la cambrer, il la mena à un appareil composé d’un cadre de bois, oblique, traversé par des tasseaux transversaux. Dessous, était posé un treuil autour duquel s’enroulait une corde qui passait par une poulie du plafond et au bout de laquelle était accrochée une sangle de cuir. Il fit coucher Véronique sur le dos sur le cadre et attacha aux tasseaux ses chevilles, ses coudes et ses poignets. Il passa la sangle autour de sa taille, sans la serrer et se mit ensuite à la manivelle du treuil qu’il tourna pour tendre la corde. Celle-ci tira sur la sangle et souleva la taille de Véronique du cadre de bois. Il la tendit au maximum sans s’occuper des larmes de douleur qui jaillissaient des yeux de l’esclave puis la laissa à son appareil pour descendre boire un coup au salon en compagnie d’Alexia.
En entrant dans le salon, Geoffrey surprit Alexia en train de donner une correction à la soumise de permanence. On appelait ainsi la soumise que chaque membre du club était tenu de fournir un soir par semaine pour servir de soubrette et de femme de ménage pour la soirée. Celle d’aujourd’hui, d’après Alexia, était arrivée en retard. Alexia l’avait mise à genoux et ligotée comme un poulet. Elle lui battait les fesses avec un battoir de caoutchouc, lui arrachant des cris étouffés par un mouchoir en travers de sa bouche.
- Parce que tu es en retard, dit Geoffrey en s’adressant à l’esclave, je suis obligé de me servir à boire moi-même. Double la correction s’il te plaît Alexia, en frappant de toutes tes forces.
Alexia s’exécuta avec plaisir et les coups continuèrent, redoublant de violence. La soubrette se tortillait dans ses liens, son fessier s’échauffant sérieusement sous la raquette.
Geoffrey se servit une bière et la sirota tranquillement, regardant l’esclave s’agiter en recevant sa correction, puis retourna en salle de travail. 
Il tendit un peu plus la corde qui tirait sur les reins de Véronique et alla détacher Inès. Il l’installa sur le trapèze, la tête en bas, la barre passant sous les genoux de telle sorte que la jeune femme ne restait accrochée qu’à la condition de garder les jambes pliées. Prenant un long fouet à brin unique, comme ceux qu’utilisent les dompteurs, il s’entraîna à son maniement en visant les fesses. N’étant pas très doué, c’était le moins qu’on pouvait dire, il frappait autant à côté que sur la cible, mais peu à peu, il arrivait à faire claquer la pointe juste sur la croupe. Inès se tordait sous chaque cinglement, mais elle tint bon et ne tomba pas de son perchoir.
Il finit par laisser tomber et alla s’occuper de Véronique. Il la détacha de son cadre et l’installa par terre, à genoux, contre le mur mais dos au mur. Les poignets liés aux chevilles, la tête maintenue contre le mur par une sangle de cuir passant autour de son cou et dans un anneau planté dans le mur. La taille fut séparée du même mur par un T en bois. Elle offrait ainsi totalement à Geoffrey ses seins, son ventre et ses cuisses. Fort de l’entraînement sur Inès, il la fouettait en visant bien évidemment les seins. Un quart d’heure plus tard, son corps était recouvert de marques rouge vif.
Il détacha de nouveau les deux filles, et les pendit toutes deux au plafond: Véronique par les bras, les jambes et son harnais de tête, le ventre vers le sol, Inès par les jambes largement écartées, la tête en bas. Il fixa ensuite une large ceinture de cuir à la taille de Véronique et suspendis à la boucle un poids de cinq kilos. Pour Inès, il prit un demi haltère qu’il enfonça dans son vagin. C’était un haltère classique, composé de deux poids séparés d’une quinzaine de centimètres par une tige. Il retira l’un des poids et enfila sur la tige une gaine en caoutchouc imitant un pénis initialement prévue pour aller sur un vibromasseur. Le poids appuyait sur la vulve enfonçant complètement la tige dans le vagin. C’est alors qu’Alexia l’appela. Il descendit donc laissant les filles à leur sort.
En entrant dans le salon, Geoffrey vit un homme qu’Alexia lui présenta. C’était Yves, un membre du club habitant la province. Il était venu avec son esclave, dont la tenue était des plus originales qu’il ait été donné de voir à Geoffrey. Elle portait un corset de cuir très épais rigidifié par des baleines métalliques, qui lui serrait étroitement la taille. Des jambières assez spéciales, du même cuir que le corset, recouvraient la moitié avant de ses jambes. Elles étaient maintenues en place par des lanières régulièrement espacées et serrées sur la jambe de sous les fesses aux chevilles. Ces espèces de demi jambières s’accrochaient par des boucles au devant du corset ainsi qu’aux chaussures, qui, comme il se doit, comportaient des talons d’une hauteur impressionnante. 

Les jambes ainsi immobilisées en position droite, étaient reliées au niveau des chevilles par une courte chaîne. Les bras de l’esclave, gantés de cuir eux aussi, étaient attachés de chaque côté de la taille par les poignets, les coudes serrés dans le dos. Une muselière de cuir souple bâillonnait la fille. Du sommet du crâne, partait vers l’arrière une lanière qui passait entre ses fesses et entre ses cuisses pour venir s’accrocher à une boucle sur le ventre. Fortement tendue, cette lanière tirait la tête de la jeune femme en arrière. L’esclave ne pouvait que se tenir droite, le torse bombé, la poitrine en avant et la tête rejetée en arrière. De ce fait, sa démarche était des plus curieuses. Yves l’avait amené ainsi, cachée par une couverture, allongée à l’arrière de sa fourgonnette. Geoffrey ne put s’empêcher de caresser les fesses et les jambes saucissonnées par les lanières des jambières.

- Yves, lui dit Alexia, avait pensé organiser une petite fête pour le deuxième anniversaire du club.
- C’est effectivement une excellente idée, répondit Geoffrey. Elle permettra de réunir tous les membres et leurs soumises.
- C’est exactement ce à quoi j’avais pensé, dit Yves. Je me suis dit aussi que se serait une bonne occasion pour dresser une nouvelle esclave. Le problème est que tous ceux à qui j’en ai parlé ne connaissent pas de fille susceptible de faire l’affaire. Tu n’en connaîtrais pas une par hasard?
- Peut-être, répondis Geoffrey devenu soudain songeur.
Il pensait à l’amie de Julia, Christine. Julia la lui avait présentée au cours d’un dîner. C’était vraiment un beau brin de fille. Accepterait-elle un dressage? Il faudra qu’il en parle à Julia.
- Je ne suis pas sûr qu’elle fasse l’affaire, continua-t-il, mais je vais me renseigner et je tiendrais Alexia au courant.
- Ce qui serait intéressant, reprit Yves, c’est qu’elle ne soit au courant de rien avant d’arriver ici.
Ils continuèrent à discuter sur un scénario pour l’accueil de cette fille et le reste de la soirée, si bien que Geoffrey en oublia les esclaves en salle de travail. Il quitta précipitamment le salon en s’excusant et remonta voir les filles.
Il détacha tout ce petit monde et les ramena à leur chambre. Un peu plus, il oubliait l’heure et les invités. Une heure plus tard, il quitta le club, ayant attaché les filles suivant les recommandations: l’une la tête en bas, l’autre de telle sorte qu’elle soit cambrée.
Véronique était ventre contre le mur, jambes écartées, attachée au mur par les chevilles et la taille. A chaque poignet pendait un poids de cinq kilos. Elle avait ainsi dix kilos qui tiraient son torse en arrière qu’elle ne pouvait de toute façon pas ramener vers l’avant puisque écarté du mur par une plaque couverte de pointes en bois.
Inès avait les chevilles fixées à un écarteur, lui-même séparé du mur par un bout de bois. Ses bras, liés dans le dos, étaient accrochés à un anneau dans le mur. Il lui avait fait enlever ses bas et avais cinglé méthodiquement à la cravache l’arrière de ses cuisses et ses jambes, les recouvrant d’un quadrillage de marques rouges.
Les deux filles, chacune dans leur position, eurent de plus l’honneur de le recevoir dans leur anus.
En partant, il prévint quand même Alexia de ne pas laisser les filles, surtout Véronique, en position toute la nuit.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 12:07
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Geoffrey était seul à table ce lundi soir. Il était rentré tard du boulot après une journée mouvementée et s’attendait à n’avoir rien à faire en rentrant que s’installer à table. Mais Julia n’était pas à la maison. Cela le mit de mauvaise humeur. Il n’interdisait pas à Julia de rentrer tard elle aussi, mais tout ce qu’il lui demandait était de le mettre au courant. Tant pis pour elle! Elle pendra une belle correction en arrivant.
Elle arriva enfin. Elle entra dans la salle à manger et le regarda. Il la dévisageait froidement. Elle fit en sorte de conserver une voix assurée, calme.
- Mais... qu’as-tu? Tu es en colère de ne pas m’avoir trouvé à ton arrivée? Oui... je sais, je suis un peu en retard et j’aurais dû te prévenir! Mais tout est de la faute de Christine, tu sais, cette amie que je t’ai présentée et dont je te parle souvent. Elle m’a invité à souper, et, avec elle, il n’est jamais temps de partir!...
D’un geste désinvolte, elle jeta ses chaussures et son sac à main sur le plus proche fauteuil, puis commença à déboutonner sa veste de tailleur qu’elle s’apprêtait à retirer quand Geoffrey dit enfin, d’une voix dure et cinglante:
- Que faisais-tu chez cette Christine?
- Je viens justement de te le dire! J’ai été invité...
- Pour la seconde fois, je te demande de me dire ce que tu as vraiment fait ce soir!
Il la soupçonnait d’avoir avec cette amie des liaisons plus qu’amicales. Elles se voyaient souvent et Julia en revenait toujours fraîche et pimpante.
- Nous avons dîné puis discuté...
A toute volée il la gifla par deux fois, la faisant presque chanceler tant il frappa fort. Elle cria. D’un bond, il lui saisit brutalement les poignets qu’il ramena dans le dos en lui tordant les bras et en la faisant gémir de douleur.
- Non!... Non, cria-t-elle, soudainement effrayée et en tentant vainement de se débattre pour lui échapper!
Geoffrey rassembla ses deux poignets minces et fragiles dans une seule de ses mains dont les doigts la blessèrent et la firent grimacer. Cambrée, son buste se tendit en avant et ses seins saillirent sous son corsage visible entre les revers de sa veste bâillante. De son autre main il chercha l’attache de sa jupe pour en dégrafer le gros-grain, puis tirailla la fermeture-éclair sur ses reins pour la faire glisser. Elle se débattit de plus belle en cherchant, par de folles contorsions, à lui échapper. Mais malgré ses efforts, Geoffrey parvint à faire glisser la jupe relativement peu ajustée sur les hanches rondes, puis sur les cuisses pleines et charnues barrées par les jarretelles tenant les bas clairs. Arrivée aux genoux, la jupe tomba d’elle même sur les jambes et jusqu’aux chevilles autour desquelles elle s’affaissa.
D’un geste sec, il agrippa le corsage au milieu du décolleté et le déchira d’un coup faisant sauter la plupart des boutons de nacre qui roulèrent sur la moquette, et la dépoitrailla violemment. Il craqua le devant du soutien-gorge, dont les deux quarts de balconnets glissèrent de côté et libérèrent les deux beaux fruits de son buste haletant. Il empauma le mamelon droit qu’il se mit à pétrir vigoureusement, hésitant un bref instant entre la caresse que lui suggérait le contact doux et soyeux du sein dont il aimait tant la forme et la lourde générosité, et la brutalité. Il écrasa la pâte souple entre ses doigts durs. Julia eut un long tressaillement et essaya une fois encore d’échapper à la main qui l’emprisonnait à un endroit aussi sensible en se tordant d’un côté et de l’autre. Apeurée, elle vit et sentit le pouce et l’index de son seigneur se saisir du bourgeon érigé sur l’aréole, puis se cabra violemment sous la douleur subite qui irradia son buste en profondeur quand, sèchement, les doigts fortement serrés tordirent sauvagement le petit bout de chair turgescente et terriblement sensible. Elle poussa un cri vibrant et les lames lui piquèrent les yeux. Geoffrey tordit aussitôt une nouvelle fois et la fit encore crier. Puis il recommença dans l’autre sens et sentit qu’elle se convulsait contre lui en jetant une plainte aiguë. Les cris jaillirent de sa bouche grande ouverte. Ses larmes coulèrent et glissèrent sur ses joues empourprées. Elle se laissa aller aux pleurs alors qu’il serrait toujours plus fort et tordait impitoyablement son téton.
Profitant qu’elle ne se débattait plus, il la lâcha subitement pour, sans hésitation, rabattre sa veste et son chemisier déchiré sur ses bras dont il les dégagea avant de saisir dans sa poche la paire de menottes qu’il lui passa. L’agrippant par un bras, il la gifla de nouveau, sèchement, durement, jetant alternativement d’un côté et de l’autre sa tête ballotante, aux traits crispés de souffrance et à la bouche ouverte sur ses cris affolés. A chaque assénement sonore de la main s’abattant violemment sur l’une ou l’autre de ses joues enflammées, elle jetait un cri strident en redoublant de sanglots convulsifs et hoquetants. Un dernier soufflet, brutalement appliqué lui fit perdre l’équilibre et l’envoya choir sur le sol où elle s’étala de tout son long en criant, ne pouvant se rattraper avec les mains menottées dans le dos.
Alors, Geoffrey se pencha sur Julia, lui arracha son soutien-gorge après avoir cassé les minces bretelles, puis s’attaqua aux bas et porte-jarretelles. Roulant ses bas en boule, il les enfonça de force dans sa bouche. Il alla chercher une corde, lui enleva les menottes et lia ses poignets dans le dos.
- A genoux, lui ordonna-t-il en enlevant sa ceinture!
Tenant la corde d’une main, il cingla sauvagement le corps de Julia avec la ceinture. On n’entendait que les claquements secs de la sangle de cuir sur sa peau fine et tendue, suivis à chaque coup d’un gémissement de douleur. Geoffrey insistait longuement sur ses fesses afin qu’elle se souvienne longtemps en s’asseyant qu’elle doit le prévenir de ses retards. Les fesses barrées de striures rosées se crispaient sous les impacts. Variant les angles de projection de la ceinture, il cinglait tour à tour le dos et les bras, les reins et les fesses, les mollets ou les cuisses, les seins tremblants ou le ventre tressaillant. La jeune femme tressautait sous les cinglées et ne pouvait se garantir et moins encore se soustraire à la punition enflammant son épiderme. Il la corrigeait sévèrement en s’échauffant de la voir se tordre comme un ver et s’offrir à ses yeux dans des postures incontrôlées. Les cris assourdis qu’elle poussait dans son bâillon improvisé, accompagnaient ses sursauts de douleur à chaque cinglement de la ceinture. Lorsqu’il arrêta, le corps de Julia, recouvert de zébrures, s’affala à plat ventre sur le sol, secoué de convulsions par les sanglots qui faisaient frémir les deux lobes charnus de ses fesses devenues rouge vif.
- Ce soir, non seulement tu ne mangeras pas, lui dit son seigneur, mais tu me serviras de siège pendant mon repas en attendant la suite de ta correction. De plus, je ne veux plus entendre un mot ou un bruit sortir de ta bouche. Pas un gémissement !
Geoffrey prit deux chaînettes d’une vingtaine de centimètres environs comportant un anneau à un bout et un mousqueton à l’autre. Il passa les mousquetons dans chacun des anneaux que portait la soumise aux seins et passa ensuite dans les anneaux des chaînes un manche à balais. Il fit relever Julia, lui délia les mains, l’amena devant la table où il la mit à quatre pattes, face contre terre, le manche à balais reposant sur le sol. Il se plaça au-dessus d’elle, une jambe de chaque côté, tourné vers ses fesses, les pieds sur le manche à balais pour fixer Julia au sol par l’intermédiaire de ses seins et continua la correction par une belle fessée. Julia se mordait les lèvres pour ne pas crier alors que Geoffrey s’en donnait à coeur joie, frappant sans réserve sur les deux masses de chair qui brûlaient sous sa main.
Il arrêta quand il vit que Julia n’en pouvait plus, et lui dit de se mettre dans cette position la tête sous la table. S’étant préparé une assiette de charcuterie, Geoffrey s’assit à table, la croupe de Julia lui servant de tabouret, bloquant le manche à balais au sol avec ses pieds. Tout en mangeant, il s’amusait à se tortiller, faisant rouler ses fesses sous les siennes et balançant la jeune femme d’un mouvement de va-et-vient qui étirait à chaque fois ses seins. Il prit son temps pour manger et regarda même une bonne partie du film qui passait à la télévision.
Pendant le message publicitaire Geoffrey fit accroupir Julia, retira le manche à balais pour le remplacer par une laisse. Il passa ensuite à ses chevilles des bracelets de cuir reliés par leur anneau à ceux de sa vulve par deux autres courtes chaînes d’une trentaine de centimètres. Tirant Julia avec la laisse par les seins, il la fit avancer en canard, à tout petit pas, jusqu’au canapé. Chaque pas étirait ses lèvres, la faisant grimacer de douleur, surtout lorsqu’elle perdit l’équilibre, et que, par réflexe, elle voulut tendre une jambe. Mais pas un cri ne sortit de sa gorge comme le lui avait ordonné son seigneur. Le film reprit et ils le regardèrent, Julia accroupie devant le canapé et Geoffrey affalé dedans.
A la fin du film, il ordonna à Julia de se coucher sur le dos sur le canapé. Avec ses chevilles attachées à sa vulve, la montée sur le canapé fut pour elle des plus délicates. Une fois en place, il se plaça entre ses jambes écartées. Les chevilles de la jeune femme de chaque côté de son bassin tiraient sur les chaînes. Sa vulve était donc grande ouverte pour l’accueillir. Sans attendre, il s’enfonça en elle et commença à la ramoner. Chaque mouvement se transmettait à ses jambes et, de ce fait, tirait sur les lèvres. Des larmes coulaient de ses yeux le long de ses tempes mais pas un gémissement ne se fit entendre, qu’il fut de douleur ou, à force, de plaisir. Stoïque, Julia se concentrait pour ne pas émettre un son en restant totalement passive. Lui, au contraire, accéléra la cadence, la secouant brutalement pour finir par éjaculer. Il se retira et lui dit:
- Pour te punir de ton retard, nous allons nous promener dans Paris. Mais c’est moi qui décide comment t’habiller. Il détacha ses chevilles et retira ses chaînes. Pendant qu’il débarrassait la table, il lui dit de mettre sa robe de satin noir ainsi que ses cuissardes de cuir épais qui donnent une démarche très particulière, les jambes pouvant difficilement se plier.
Lorsqu’elle revint avec sa robe moulante, juchée sur ses hauts talons, les jambes gainées de leur carcan de cuir, Geoffrey alla chercher la ceinture spéciale. Elle se composait d’une large bande de cuir qui comprimait fortement la taille. De derrière, partait une sangle, qui, passant entre les jambes, s’accrochait à une boucle devant. Il fit bien attention à écarter les lèvres afin qu’elle passa au milieu de la vulve en s’y enfonçant. Il prit ensuite les bras de la jeune femme qu’il passa dans le dos, relevant les mains vers la nuque. Il sangla fortement les poignets et les avant-bras au niveau de la jointure des coudes. Julia, les épaules tirées vers l’arrière, était ainsi obligée de pointer le buste en avant en faisant ressortir sa poitrine. Il fixa ensuite sur ses cuisses, juste au-dessus du genou, deux sangles comportant un anneau et les reliai par une courte chaîne. Ceci limitera les enjambées de Julia. Il alla ensuite chercher sa cape, la lui passa sur les épaules et la ferma. Seul un observateur attentif devinerait l’harnachement de l’esclave.
Ils allèrent en voiture jusqu’au Châtelet et, de là, remontèrent la rue Saint-Denis, qui, quel que soit le jour, est toujours très animée en début de nuit avec ses restaurants et ses clubs de jazz. Le maintient et la démarche de Julia attiraient beaucoup de regards sur elle. Plus d’une personne remarquèrent sans doute, même sans savoir comment, que Julia était entravée sous sa cape. Il y eut même un homme qui venant vers eux s’arrêta devant elle. Geoffrey le laissa la regarder de bas en haut et l’homme lui demanda:
- Elle est punie?
Geoffrey lui répondit affirmativement d’un hochement de tête et l’homme s’en alla. Julia, les yeux remplis de larmes, était blême d’humiliation et de honte. Ils marchèrent ainsi une bonne heure avant de revenir à la voiture puis à la maison.
Une fois chez eux, Geoffrey détacha ses bras et jambes et lui enleva sa ceinture et sa robe. Il put ainsi remarquer, en enlevant la sangle qui passait entre ses jambes, que sa chatte était bien lubrifiée, preuve que cette humiliation publique l’avait bien excitée. Elle se retrouva nue avec ses longues bottes montantes. Il alla chercher du large ruban adhésif d’emballage et lui en colla sur la bouche. Il attacha ensuite, à l’aide d’une corde, ses jambes bien jointes, serrant aux cuisses, juste au-dessus des genoux, et aux chevilles. Il prit derrière une armoire une grande planche de bois sur laquelle il avait monté un gros anneau. Il posa la planche par terre, anneau au-dessus, pile sous l’anneau du plafond auquel, autrefois, avait dû être accroché un lustre, et fit monter Julia en sautillant sur la planche, juste devant l’anneau auquel il fixa les chevilles. Il attacha ses bras dans le dos, serrant aux poignets et aux coudes. Attachant un bout d’une corde à ses poignets, il passa l’autre bout dans l’anneau du plafond et tira. Julia se retrouva courbée en deux, dans une position telle qu’au moindre mouvement de sa part, une fulgurante douleur lui déchirait les épaules.
Geoffrey prit le martinet, s’approcha de Julia, lui caressa avec les lanières de cuir les fesses, le ventre et termina par les seins dont les tétons durcirent. C’est sur ces tétons bien durs qu’il décida de frapper le premier coup. Un long gémissement sortit de derrière le ruban adhésif et des larmes jaillirent des yeux de Julia. Elle devait se concentrer sur son équilibre. Cependant, il continua à frapper sa peau nue et à sa merci. Au dixième coup il arrêta. Il se mit derrière elle, caressa ses fesses toutes chaudes et enfonça d’un coup sec le manche du martinet dans ses entrailles.
- Tu passeras la nuit comme ça, lui dit-il avant d’aller se coucher!
Au milieu de la nuit, les gémissements de Julia le réveillèrent. Il regarda la pendule et vit que cela faisait trois heures qu’elle était attachée dans cette position, et ses jambes menaçaient à tout moment de la lâcher, ce qui lui aurait sinon cassé les épaules, du moins fait horriblement mal. Il se leva et détacha la corde de l’anneau du plafond en retenant la jeune femme dans ses bras pendant un moment, caressant son corps endolori. Il défit ensuite les liens des cuisses afin qu’elle puisse s’accroupir et l’aida à se mettre à genoux sans détacher ses chevilles de l’anneau de la planche. Il la fit asseoir sur ses talons, ce qui lui comprimait fortement ses genoux à cause du cuir épais des bottes, et, passant une corde autour de sa taille et sur le haut de ses cuisses, il la lia de façon qu’elle restât dans cette position.
Julia avait dû croire qu’il la libérerait, car, comprenant qu’il la ligotait à nouveau, elle se remit à pleurer. N’en tenant pas compte, Geoffrey reprit la corde des poignets, la repassai dans l’anneau du plafond et tirai de nouveau ses bras en arrière. Elle se retrouva dans une position à peine plus confortable, mais au moins, ne risquait-elle plus de tomber. Pour éviter tout de même une coupure de la circulation sanguine au niveau des jambes, il délaça les bottes. Il alla se remettre au lit, la laissant ainsi pour le restant de la nuit. Il n’avait pas prononcé un mot de consolation à la pauvre Julia qui gémissait et pleurait de plus belle. Il se coucha, bercé par les pleurs de sa soumise et tomba dans un sommeil profond.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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Samedi 1 septembre 6 01 /09 /Sep 09:40
11

 

Xavier et Pierrick étaient partis mettre Inès au lit. Il ne restait dans la salle de travail que Geoffrey, Julia, vulve offerte, et Alexia qui s’occupait activement d’Aurélie qui avait de nouveau les yeux bandés.
Allant et venant dans le ventre de Julia, Geoffrey regardait les deux femmes qui lui offraient un spectacle de choix. Alexia s’était entièrement déshabillée. Ventre contre ventre, seins contre seins, bouche contre bouche, les deux femelles s’en donnaient à cœur joie. Complètement excitée, Alexia chevauchait Aurélie, se frottant la vulve contre les seins de sa partenaire à une cadence folle, enduisant son corps de sa cyprine. Elle glissait progressivement jusqu’à ce que sa tête se trouve entre les cuisses de l’esclave. Alexia plongea alors sauvagement son nez dans la fente à sa disposition. Aurélie gémit quand les lèvres étrangères qui appuyaient sur le renflement de chair d’où part la corolle intérieure, l’enflammèrent brusquement. Elles le quittèrent pour laisser la pointe chaude de la langue l’enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Les dents et les lèvres, en une longue morsure, aspiraient le clitoris, et ne le lâchaient plus. Une longue et douce morsure sous laquelle Aurélie haletait.
Alexia la quitta, la laissant le corps enduit de son jus et frustré de plaisir. Geoffrey sortit de Julia et s’approcha d’Alexia. Il la voyait dans toute la splendeur de son corps sculptural, orné au bas-ventre de son triangle noir. Ses hanches ondulaient langoureusement. Leurs deux corps se collèrent. Il commença à la caresser des épaules aux genoux, suivant la ligne de ses flancs frémissants, la courbe ample et régulière de ses hanches s’allongeant vers ses cuisses pleines et fermes. Il revenait galber ses seins sans les pétrir encore, pour redescendre lentement vers son ventre plat et dur qu’il abandonna soudainement avant d’arriver au pubis. Il désuni ses deux cuisses moites, et remonta entre elles jusqu’à la toison qu’il effleurait un instant avant de glisser deux doigts dans l’anfractuosité humide de son sexe en la faisant tressaillir de désir au moment où sa bouche prenait la sienne. Elle entrouvrit les lèvres et consentit au passage de sa langue avide.
Julia avait fermés les yeux en détournant la tête du couple car elle ne voulait pas voir son mari prendre autant de plaisir avec celle qui lui apporterait tant de tourments. Et surtout, attachée comme elle l’était, elle ne pouvait se caresser et, il fallait bien qu’elle l’admette, cela l’excitait.
Les doigts de Geoffrey, après s’être profondément enfoncés dans le vagin gluant d’Alexia, caressaient son entrejambes en allant très loin entre ses fesses chercher le petit cratère, le massant doucement. Puis ils progressaient vers sa vulve pour remonter lentement entre les lèvres douces et légèrement baillantes afin de se poser sur le bourgeon turgescent qu’ils sollicitaient longuement avant de redescendre et recommencer à la faire frissonner délicieusement.
Alexia, intensément émue, gémissait de plaisir dans la bouche de Geoffrey dont la langue active la pénétrait en un mouvement de va-et-vient phallique. Elle se plaça de telle sorte que le bout du pénis frôle la toison de son sexe. Elle leva une jambe pour que le gland vienne glisser sur les lèvres trempées. D’un coup de reins, il poussa son membre dans le con baveux. Elle se mit à exprimer son plaisir par des hululements et des commentaires d’une voix gutturale, se frottant contre lui d’un mouvement ondulatoire de tout son corps. Ces reptations l’excitaient tellement, qu’il éjacula. Alors qu’il se vidait, Alexia se liquéfia en empoissant sa queue.
Ils s’embrassèrent, sa verge toujours en elle, durant de longues minutes devant les yeux pleins de larmes de Julia.
Se séparant enfin, Alexia lui demanda d’aller coucher Aurélie pendant qu’elle s’occupait de Julia.
Arrivés dans sa chambre, Geoffrey remit sa cagoule et retira à Aurélie ses chaussures, son bandeau, ainsi que ses bracelets afin qu’elle aille faire sa toilette. Comme dans toutes les chambres d’esclave du club, la salle de bain et les W.C. ne comportaient pas de portes. Aurélie se leva d’une démarche hésitante, passa devant lui pour se rendre dans le petit cabinet et s’installa sur la cuvette.
- Redresses bien le buste, lui ordonna-t-il, et écarte les cuisses!
Elle obéit et, quand le jet puissant à l’odeur âcre jaillit de son ventre et gicla violemment dans la cuvette en un fort chuintement, elle ferma les yeux, luttant désespérément contre l’envie qui lui venait de pleurer en cédant aux tourments que subissait son orgueil affreusement mortifié. Le flot doré de sa miction s’étant tarie, il la regarda encore s’essuyer la vulve, la poitrine gonflée de sanglots difficilement contenus, et les yeux brillants de larmes impossibles à totalement contrôler.
Elle ressentit de nouveau une grande gêne de devoir procéder à sa toilette, surtout celle concernant les parties les plus intimes de son corps, là où le sperme avait séché, en se montrant nue si totalement dans des positions embarrassantes.
Geoffrey attendit dans la chambre qu’elle ait finit. Il pensait à Julia, qu’Alexia était en train de percer.
Encore un traitement particulier auquel il ne participait pas. Il se demandait s’il ne faisait pas une bêtise de plus. Déjà après le WE passée sans lui, Julia était revenue changée. Changée bien sûr parce que dressée et obéissante, mais plus subtilement aussi. Il avait du mal à se l’expliquer mais son attitude générale envers lui avait changé. Julia était devenue plus distante. Cela aurait pu passer pour du respect et de la soumission envers son seigneur mais Geoffrey n’était pas dupe ou du moins pas à l’aise. Il sentait bien qu’il y avait autre chose.
Aurélie revint. Il lui fit remettre ses chaussures qu’il cadenassa et lui remit ses bracelets et son collier. Il lui saisit les deux mains et attacha ensemble les anneaux de ses menottes à celui de son collier. Ses mains se trouvèrent jointes à la hauteur de son cou. Il ne restait plus qu’à l’enchaîner au mur, avec la chaîne qui reposait sur le lit et passait dans l’anneau scellé dans le mur au-dessus.
Geoffrey défit le crochet qui en fixait l’autre extrémité, et tira pour raccourcir la chaîne. Elle se tendit entre l’anneau du mur et le collier de l’esclave, la déséquilibrant. Juchée sur ses talons extrêmement hauts et les mains liées au collier, elle se tordit une cheville et s’affala de tout son long à côté du lit, arrachant la chaîne des mains de Geoffrey. Il la reprit et lui cingla les fesses avec en lui ordonnant de se lever. Aurélie fut obligée d’avancer vers la tête du lit où il la fit se coucher. Il tendit si bien la chaîne que la jeune femme pouvait à peine se déplacer sur la largeur du lit et encore moins se tenir debout à côté.
La laissant ainsi, nue avec ses chaussures, sur le lit, étroitement enchaînée, Geoffrey sortit de la chambre après lui avoir souhaité une bonne nuit et alla se coucher.
Aux dernières heures de la nuit, juste avant l’aube, Geoffrey retourna dans la chambre d’Aurélie, comme le lui avait demandé Xavier la veille. Il alluma la lumière de la salle de bain ce qui faisait un carré de clarté sur le milieu du lit, à l’endroit où le corps d’Aurélie, mince et recroquevillé, reposait. De sous sa tête il ôta l’oreiller et lui dit de se lever. Lorsqu’elle fut à genoux, ce qu’elle dut commencer à faire en s’accrochant à la chaîne, il l’aida en la prenant par les coudes pour qu’elle se dressât tout à fait, et s’accotât au mur. Il détacha alors la chaîne du mousqueton, et l’accrocha à un autre maillon de manière qu’elle reste tendue. Il détacha ensuite les bras d’Aurélie pour les attacher ensemble, croisés dans le dos, à sa nuque. Il prit sa cravache à sa ceinture, la leva. Elle s’abattit en sifflant sur le travers de ses reins. L’esclave hurla jusqu’à ce que, lui ayant mit un bâillon, elle ne puisse plus que gémir. Geoffrey la cravachait à toute volée, recommençant quatre fois en prenant bien soin à chaque fois de cingler soit plus haut, soit plus bas pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle gémissait encore, et que ses larmes coulaient sur son cou.
- Retournes-toi, lui ordonna-t-il!
Comme, éperdue, elle n’obéissait pas, il la prit par les hanches et la mis dos au mur. Il en profitait pour caresser son beau corps zébré des marques de la flagellation de la veille. Il prit un peu de recul, puis, de toute sa force, abattit la cravache sur le ventre et une deuxième fois sur le devant des cuisses.
Le tout n’avait duré que cinq minutes. Après avoir éteint la lumière et être ressorti, il regarda Aurélie par la petite fenêtre, gémissante, oscillant de douleur le long du mur, au bout de sa chaîne, à genoux sur le lit les bras attachés croisés dans le dos à sa nuque, dans le noir. Geoffrey la laissa ainsi et retourna se coucher en passant devant la chambre de sa femme. Il s’arrêta un moment pour la regarder dormir par la fenêtre du couloir. Bizarrement, il n’osait pas entrer la réveiller alors qu’il s’avait très bien que cela ferait plaisir à Julia qu’il s’occupa d’elle. En fait, c’est la pauvre Aurélie qui avait fait les frais de son malaise. C’est en colère contre lui-même qu’il se coucha et se rendormit.

Plus tard ce matin, Geoffrey entrait dans le salon afin d’y prendre le petit-déjeuner. Il était le dernier. Pierrick et Xavier étaient attablés devant un café et des croissants. Alexia se préparait un thé. Ils se saluèrent. C’est alors qu’il vit Aurélie debout au milieu de la pièce, un bandeau sur les yeux. Xavier la lui montra du doigt disant qu’elle était à la disposition de tout le monde pour la petite envie matinale. Le remerciant, il s’approcha d’elle. Les balafres sur ses fesses et son ventre s’étaient gonflées, et formaient des bourrelets étroits d’un rouge sombre, presque bleu.
Il la prit d’une main au ventre et la poussa vers le sofa. Il la fit mettre à genoux, le dos contre le canapé, et pour qu’elle s’y appuyât plus près des épaules que de la taille. Il lui fit écarter les cuisses. Ses mains reposaient contre ses chevilles, ainsi sa vulve était-elle entrebâillée, et au-dessus de ses seins offerts, sa gorge renversée. Geoffrey dénoua la ceinture de sa robe de chambre, enjamba Aurélie, la saisie par la nuque et s’enfonça dans sa bouche. Ce n’était pas la caresse de ses lèvres le long de sa verge qu’il recherchait, mais le fond de sa gorge. Il la fouilla longtemps et sentit gonfler et durcir en elle le bâillon de chair qui l’étouffait, et dont le choc lent et répété lui arrachait des larmes sous son bandeau. Pour mieux l’envahir, il avait fini par se mettre à genoux sur le sofa de part et d’autre de son visage, et ses fesses reposaient par instants sur sa poitrine. Sans achever son plaisir, il se retira de sa bouche en silence et se remis debout sans refermer sa robe de chambre.
Il la fit ensuite se courber, prosternée devant son maître, Xavier, les coudes à terre et la tête entre ses bras. Il alla prendre sur la table le beurrier et revint vers Aurélie. Sous les yeux hilare de Xavier, il étala avec ses doigts un gros morceau de beurre sur et dans son anus. Il fit de même avec sa verge avant d’aller se laver les mains. Il revint vers la jeune femme toujours prosternée devant Xavier, présentant son cul enduit de beurre. La soulevant aux hanches, il força ses reins pour la déchirer. Une première fois elle ne cria pas. Il s’y reprit plus brutalement, et elle cria. Et à chaque fois qu’il se retirait et revenait, donc à chaque fois qu’il le décidait, elle criait. Lorsqu’il en eut fini, il dit à Xavier:
- Pierrick a raison. Elle est trop étroite, il faut l’élargir.
- Pas trop tout de même, dit Pierrick.
- A votre gré, répondit Xavier, vous êtes aussi bon juges que moi.
Geoffrey fit relever Aurélie, la conduisit au sofa où il la fit asseoir devant, par terre, le dos appuyé contre l’assise du canapé, les jambes écartées et repliées le plus possible contre elle. De la table, tout le monde pouvait admirer le double sillon écartelé de son ventre et de ses reins brillant de beurre et de foutre. Il lui ordonna de se caresser elle-même, mais de ne pas refermer les jambes. Aurélie allongea docilement vers son ventre sa main droite, et rencontra sous ses doigts l’arête de chair où se rejoignaient les fragiles lèvres de sa vulve qu’elle se mit à masser.
Assis à table, tout le monde se mit à manger en regardant le spectacle. S’adressant à Alexia Geoffrey demanda :
- Comment cela s’est-il passé cette nuit, avec Julia?
- Oh, très bien! répondit-elle. Elle porte pour l’instant les anneaux d’essai.
- Quand pourra-t-on installer les anneaux définitifs?
- Dans une semaine ce sera bon. Vous n’au¬rez qu’à repasser, tout les deux, vendredi prochain.
- Fantastique!
Alexia se leva, sortit, puis revint de suite avec un coffret où, dans un compartiment, il y avait un assortiment de chaînettes et de ceintures, et dans l’autre, un choix de tiges d’ébonite faites à l’imitation d’un sexe dressé. Toutes avaient en commun qu’elles s’élargissaient à la base, pour qu’on fût certain qu’elles ne remonteraient pas à l’intérieur, ce qui aurait risqué de laisser se resserrer l’anneau de chair qu’elles devaient forcer et distendre. Ces tiges allaient des plus minces aux plus épaisses.
- Voilà pour l’anus d’Aurélie, dit Alexia.
Après avoir mangé, Geoffrey alla voir Julia dans sa chambre. Elle dormait encore, paisiblement, sous le drap où l’on devinait les formes accueillantes de son corps. Il la réveilla doucement, d’un baiser sur les lèvres:
- Bonjour mon amour. Bien dormi ?
Elle fit oui de la tête en s’étirant.
- Comment vas-tu, lui demanda-t-il ?
Sans attendre la réponse, il alla ouvrir les rideaux de la fenêtre. La lumière du jour inonda la pièce.
- Fait voir tes nouvelles parures.
Julia repoussa le drap, lui dévoilant son corps superbe. Elle portait effectivement maintenant un petit anneau dans chacun de ses tétons. Il voulut en prendre un dans ses doigts pour voir de plus près, mais une grimace de douleur de Julia au moment où il touchait son aréole lui fit comprendre de ne pas pousser plus loin ses investigations. Julia écarta les cuisses pour lui montrer sa vulve. Dans chacune de ses grandes lèvres se trouvait un anneau approximativement de la même taille que ceux de la chaîne qu’il avait achetée. Il effleura de ses lèvres sa vulve nouvellement parée, ainsi que ses deux seins, pour terminer en collant sa bouche à la sienne. Ils s’embrassèrent longuement.
Un quart d’heure plus tard, Geoffrey retourna au salon. Aurélie était habillée d’un harnais de cuir comportant un «soutient gorge» et une «culotte» reliés à un large collier. Alexia était en train de fixer sur Aurélie la dernière lanière retenant le godemiché. Désormais, huit jours durant, entre le levé du jour et le début de son service au bar, huit ou dix heures généralement, Aurélie portera un godemiché fixé au centre de ses reins par trois lanières tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne pu le repousser. Une lanière suivait le sillon des fesses, les deux autres le pli des cuisses de part et d’autre de la chatte, afin de ne pas empêcher qu’on y pénétrât au besoin.
Chaque jour elle était ainsi écartelée davantage car chaque jour, Alexia, qui la faisait mettre à genoux, ou plutôt se prosterner, fixait un gode de la taille supérieure. Au repas du soir, que les esclaves présentes prenaient ensemble, nues, dans la même salle, Aurélie le portait encore, et du fait des lanières et de la ceinture, tout le monde pouvait voir qu’elle le portait. Il ne lui était enlevé qu’au moment de la toilette avant le service du soir. Rares furent les nuits où il ne se trouva pas quelqu’un pour faire usage de cette voie ainsi rapidement rendue aussi aisée, bien que toujours plus étroite, que l’autre. Au bout de huit jours aucun appareil ne fut plus nécessaire et Xavier dit à Aurélie qu’il était heureux qu’elle fut doublement ouverte, et qu’il veillerait à ce qu’elle le demeurât.

Geoffrey, quant à lui, était revenu avec Julia pour la pose définitive de ses anneaux. Les fers, qui trouaient maintenant le lobe gauche de sa vulve et portaient en toutes lettres qu’elle était sa propriété, lui descendaient jusqu’au tiers de la cuisse, et, à chacun de ses pas, bougeaient entre ses jambes comme un battant de cloche. A chaque fois qu’ils sortaient, sauf pour aller voir des gens qu’ils connaissaient avant la pause des anneaux, Julia portait une robe ou un T-shirt moulant sans rien dessous. On devinait ainsi sous le tissu la forme des petits anneaux de ses seins. Julia ne semblait pas gênée par le port de ses fers, au contraire, Geoffrey ressentait en elle une certaine fierté. Même le jour où, une fois n’est pas coutume, il lui fit porter un pantalon moulant blanc. On voyait très bien les anneaux de son sexe et la chaîne collée à sa cuisse. Une seule fois elle eut honte lui raconta-t-elle : la première fois qu’elle alla voir sa gynécologue. Ce furent les lacérations toutes fraîches plus encore que les fers qui bouleversèrent le médecin.
La première chose qu’il fit en emmenant sa nouvelle Julia à la maison, fut de l’essayer. En entrant, elle se déshabilla, ne gardant que ses chaussures. C’était devenu un réflexe. Aguicheuse, elle le fixa de ses beaux yeux et, ayant dégrafé le gros grain de sa jupe étroite et tiré lentement le zip fermant le vêtement sur sa hanche gauche, elle se déhancha lascivement sur place en frottant l’une contre l’autre ses cuisses dont le nylon, qui les voilait, crissa doucement. Repoussée par les doigts fins aux ongles longs et carminés, la jupe glissa d’une hanche à l’autre qu’elle découvrit peu à peu pour laisser voir, en atteignant ses cuisses fuselées, que la jeune femme ne portait rien d’autre qu’une ceinture de dentelle blanche dont les longues jarretelles barraient ses hanches épanouies pour venir tendre des bas d’une extrême finesse. Elle laissa tomber la jupe à ses chevilles, puis l’enjamba gracieusement pour la saisir et la jeter sur un fauteuil inoccupé. Sous sa veste, elle n’avait effectivement aucun sous-vêtement et, quand elle se fut ainsi dénudée, elle écarta légèrement les jambes cambrées par ses escarpins, projeta son ventre en avant et présenta ses seins relevés sur ses mains en coupes puis, les faisant glisser sur son ventre elle dégrafa le porte-jarretelles. Dégrafant aussi ses bas, elle les roula doucement le long de ses cuisses, avec une superbe impudeur.
- Montres moi comme tu es belle, lui demanda son mari !
Julia tourna sur elle-même, minaudant pour l’exciter, le regardant à travers ses paupières à demi baissées et ses lèvres entrouvertes en un sourire d’une insolente et provocante promesse, jouant avec la chaîne qu’elle portait au bas-ventre.

Par Anatole - Publié dans : JULIA
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